Deuxième concile de Nicée

fin du Xème, installation gaule romaine, les Francs jusqu’au Xème siècle. Malgré l’influence de l’Eglise, pas d’idées d’Etat. Après période Franque, la féodalité. L’avènement d’Hugues Capet 987 c’est le début du Moyen Age jusqu’au milieu du XVème. Deuxième Moyen Age, XIIème siècle c’est alors le renouveau de l’Europe. Royauté domine, la féodalité. Au milieu du XVème c’est l’Ancien régime  renouveau de l’Etat, Monarchie Absolue). PREMIERE PARTIE : L’EPOQUE FRANQUE:

qui nait à Alexandrie, pour les chrétiens d’Alexandrie qui ont une philosophie grecque la question est de savoir qui est le Christ ? Le prêtre Arius nous dit que le Christ n’est pas vraiment Dieu, cette affirmation d’Arius va à l’encontre du Concile de Nicée qui affirme le contraire. Un certain nombre de rois barbares vont se convertirent à cette hérésie. Lorsqu’il est fait roi, Grégoire de Tours dit de Clovis qu’il est le nouveau Constantin, le témoignage de Avit qui est évêque de Vienne, lorsqu’il

d’Occident. Cette fin de l’antiquité est la période qui s’étend du 1er au Ve siècle. L’antiquité tardive est la période qui commence avec l’invasion romaine de la Gaule, et s’achève au 5e siècle avec l’invasion germanique et la chute de Rome. La deuxième époque est le haut Moyen Age ou époque Franc, car c’est l’époque ou la Gaule est occupée par les francs, du 5e siècle au 10e siècle. On appelle cette période « les siècles obscures » car ce serait pendant cette période que l’anarchie c’est installée

Jésus, Matthieu et Jean, qui auraient donc été témoins directs de la prédication de Jésus, ou à des proches de ses disciples, Marc et Luc • aujourd’hui, les historiens estiment que les Evangiles ont en fait été écrits en plusieurs phases, par la deuxième ou troisième génération de disciples, entre 65 et 110 ad. • les Evangiles ne sont donc pas les textes les plus anciens du Nouveau Testament ; ils sont précédés dans le temps par une partie des épîtres de Paul (5057 ad) ou par l’épître de Jacques

= tuteur de l'Eglise. Constantin et ses successeurs portent différents titres => Isapostolos (égal aux apôtres). Favorise la diffusion du christianisme, et du CATHOLICISME (vraie foi). L'empereur réunit les évêques en Concil, le Prmeier date de 325 à Nicée. Les décisions du Concil sont avalisées par l'Empereur et prennent la forme de lois de l'Etat. Confusion entre Etat et Religion. Les non-conformistes seront poursuivis comme rebelles. Au Ivè siècle, les Empereurs vont multiplier les interventions

Puis la situation change au milieu du 3 siècle : des édits prévoyant des répression de porté général contre les chrétiens. On leur reprochait en particulier le fait qu'il refuse de se prêter au culte impérial et de prêter serment à l'empereur. Puis deuxième vague de répression sous le règne de l'empereur Dioclétien. Puis Constantin viendra reconnaître l'importance de la doctrine chrétienne. Puis l'empereur Galère reconnaitra officiellement du christianisme mais seulement dans la partie orientale de

mises en œuvre plusieurs années consécutives2. S'il était utilisé correctement, ce système permettait à l'année romaine de rester grossièrement alignée sur l'année tropique. Cependant, lorsque trop d'intercalations furent omises, comme lors de la Deuxième Guerre punique ou des Guerres civiles romaines, le calendrier se décala rapidement. De plus, comme les intercalations étaient déterminées assez tardivement, un citoyen romain ordinaire ne connaissait pas la date officielle, particulièrement s'il

marquée par le péché et que la vrai cité est la cité céleste que l’on rejoint après la mort, après la résurrection. Argument de type exégétique et qui vise à conforter, à réconforter les chrétiens dans leur foi. Au-delà de cette visée immédiate, deuxième conséquence est qu’aux yeux d’Augustin il n’est pas de cité terrestre possible comme cité parfaite. Augustin condamne comme totalement vain / absurde ambition qui a été celle des philosophes de l’antiquité (en particulier les grecs) de dégager les

juridique. - Ensuite une caractéristique chrétienne : Le caractère sacré de l’Empereur. On introduit des passages bibliques dans les textes législatifs. On introduit la confession de foi chrétienne : le Credo. On y met également les principes des conciles (réunion des évêques). - Des caractéristiques orientales : on les retrouve à travers l’esprit grec, c’est lui qui va permettre la généralisation, de théoriser le droit. → Le rêve de Justinien était de prévoir un code pour tous les peuples.

au point de vue disciplinaire; l'organisation de l'Église tend à être calquée sur celle de l État. L'autorité dogmatique appartient au concile, convoqué et présidé par l'empereur, constitué en principe par l'ensemble des évêques de la chrétienté. En fait, le concile de 786 (concile de Nicée, restaurant le culte des images et des reliques) est le dernier concile oecuménique. Le principe collégial s'étend aux cinq patriarches (Rome, Constantinople, Antioche, Alexandrie, Jérusalem), Rome n'ayant que