Dévaluation

l’Office du blé pour les paysans : régulation du cours du blé et salaire minimum * Problème lié aux grèves des industries jusqu’au printemps 37 et reprise en 38 : formation de commissions pour régler les conflits * Le problème monétaire : dévaluation du franc en septembre 36 alors que le programme luttait contre celle-ci = influence de la Grande Bretagne, sentiment de trahison éprouvé par le PCF et la CGT tenu à l’écart de cette mesure C. Les crises politiques du Front jusqu’à sa dislocation

paiements est analysée à l’aide de la courbe en J (2.4) et des cercles vicieux (2.4). 2.1. L'ajustement par les prix : les élasticités Le graphique 1 montre le processus de correction du déficit courant d’un pays à la suite d’une dépréciation ou d’une dévaluation de la monnaie domestique. On suppose que les RoyaumeUni et les Etats-Unis sont les deux seules nations composant le monde. On ignore les flux de capitaux. Autrement dit, sur le graphique, les offres et demandes de livres sterling par les Etats-Unis

plein emploi. 7Difficultés de la Reconstruction malgré le « miracle britannique » (= rapidité de la reprise) - problèmes financiers graves : le RU ne peut plus assumer seul l’Empire et les problèmes intérieurs. - grave crise monétaire : forte dévaluation de la livre 1949. - mesures draconiennes d’austérité, qui prolongent l’effort de guerre (comme en France) : la consommation reprend le niveau d’avant guerre en 1950 seulement. - hivers rigoureux… - MAIS heureux apports du Plan Marshall après

figurant au bilan du 31-12-1987 et susceptible de servir pendant au moins trois ans. Cette réévaluation s'est avérée insuffisante puisque la distinction entre les équipements et les biens meubles n'a pas été faite. 2. LA REEVALUATION DE 1993 La dévaluation importante qu'a subi le dinars a conduit les décideurs de l'époque à instituer une nouvelle réévaluation qui devait permettre aux entreprises de rééquilibrer leur situation financière qui s'était gravement détérioré du fait des pertes de change

de parités irrévocables au sein de l'U.E.M, il n'y aura plus de fluctuation monétaire entre les monnaies des pays ayant adoptés l’euro. La mise en place de l'euro marque la fin des dévaluations compétitives entre les monnaies nationales de la zone Euro, un élément fondamental pour les entreprises. Ces dévaluations ont en effet coûté cher à ces dernières. Dans certains secteurs (biens d'équipement, textiles, automobiles...), elles ont été obligées de baisser leurs prix à l'exportation et donc diminuer

agences économiques vont adapter les comportements économiques et les comportements monétaires. Ex : Anticipation de la dévaluation, dans ce cas ils vont demander la hausse des salaires, ils vont se séparer au plus vite de la monnaie. Ils vont exprimer leur défiance et vont remplacer la monnaie par une autre monnaie, transférer d'une monnaie à une autre afin d'éviter la dévaluation. B) Moyen d'échange : Moyen de paiements. Si monnaie stable, elle garde son pouvoir d'achat, alors la valeur monétaire

libéralisés, grâce à un consensus politique et à une forte cohésion sociale tout en conservant un Etat-providence parmi les plus généreux du monde. mise en place des règles strictes sur les finances publiques en imposant 1% d'excédent budgétaire. Dévaluation de la monnaie, la couronne, de 25 % pour regagner de la compétitivité. État-providence en baisse, L'OCDE confirme une baisse des dépenses sociales, désormais moins élevées qu'en France. «Le système est moins généreux mais fournit encore des services

toujours s'affranchir de la contrainte de stabilité du change, par la dévaluation : La dévaluation a deux effets : 1) une détérioration des termes de l'échange ; 2) un effet volume, on espère une augmentation des exportations et une baisse des importations. Mais l'enchainement vertueux de la dévaluation sur les exportations et les importations est soumis à de nombreuses conditions qui rendent son efficacité douteuse. Une dévaluation ne se traduit pas forcément par une baisse du prix des exportations

change quand une monnaie se déprécie => c'est plus compétitif quand une monnaie se déprécie, une autre suit et comme personne ne veut céder du terrain il en résulte une guerre des devises différence entre dépréciation et dévaluation de la monnaie : On parle de dévaluation car quand on change de la monnaie quand on est dans un régime de change fixe, c'est décidé. On parle de dépréciation car la monnaie diminue dans un régime de change flottant. C'est du à un mouvement de marché. Quel est le

produit intérieur brut (PIB); l'endettement public ne doit pas dépasser 60% du PIB; les taux d'intérêt à long terme ne doivent pas excéder de 2% celui des trois pays membres où ils sont les plus faibles; et le pays ne doit pas avoir procédé à une dévaluation dans les deux années précédant son intégration à l'union monétaire. Comme le montrent les problèmes actuels (nous y reviendrons), ces critères n'étaient pas dépourvus de sens: pour vivre avec une monnaie commune, il faut en effet que les taux d'inflation