Devoir De Fidélité

Le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal tout d’ abord , par définition un vassal à l’epoque féodale c’ est un seigneur qui a juré fidélité à un autre seigneur plus puissant (le suzerain) en échange d'une terre ou appelé egalement « fief » . cependant après que le contrat soit conclu avec le seigneur Le vassal a des obligations , il a comme obligations de : de ne pouvoir nuire d'aucune façon à son suzerain . Il doit l'assistance militaire à son suzerain, que ce soit pour la défense ou

l’inculture, qui ne connaît que le présent. « L’esprit, c’est la mémoire » disait saint Augustin. Cela vaut pour les peuples comme pour les individus. » Une religion relève donc moins de la communion (qui relie) que de ce que l’on pourrait appeler la fidélité (qui recueille et relit), ou plutôt elle ne relève de celle-là qu’à proportion de celle-ci. C’est en recueillant-répétant-relisant les mêmes paroles, mythes ou textes (selon qu’il s’agit de cultures orales ou écrites) qu’on finit par communier dans

raison d'une passion sincère et réciproque.     La désolation de Tristan au moment de se séparer de celle qu'il aime témoigne de sa lucidité et de la conscience de son devoir : il peut faire valoir sa raison : " Il a bien mal celui qui perd son amie. Mais il faut pourtant le faire." (79)     L'échange de serments et de gages de fidélité " Pour l'amour de moi", " au nom de notre parfait amour" (80), témoigne d'un engagement mutuel et sincère. de plus, lorsqu'Yseut confie à Tristan : " Si je vois la

gouvernement, dans sa naissance, dérive du consentement, ou des volontés combinées du peuple ; ils prétendent qu’aujourd’hui même, qu’il est parvenu à sa maturité, il n’a point d’autres fondements. Tous les hommes, disent-ils, naissent libres sans rien devoir à aucun prince, ni à aucun gouvernement, à moins qu’ils ne soient censés s’obliger eux-mêmes, et se lier par la sanction d’une promesse. Or, comme personne ne voudrait résigner sa liberté naturelle, et s’assujettir à la volonté d’autrui, sans attendre

Les effets du mariage Section 1 : les effets personnels du mariage Le code civil impose des devoirs réciproques aux époux et prévoit des fonctions conjointes. I. les devoirs réciproques La plupart de ces devoirs sont énoncé article 212 et suivants du code civil. A. Le devoir de respect. Un respect mutuel= loi du 4 avril 2006. Le respect de l’autre dans son corps (sanctions des violences conjugales), dans son esprit (conditions religieuses et idéologiques de son conjoint), dans

partenaires concubins, s’ils veulent avoir le statut définissant le concubinage, doivent notamment vivre ensemble, et donc agir en fonction de ce facteur. Le concubinage ne possède cependant pas certains effets exclusifs au mariage. En effet, certains devoirs sont uniquement accordés aux époux. Le concubinage possède une histoire datant notamment du consulat de Napoléon. Celui-ci disait alors que « les concubins se passent de la loi. La loi se désintéresse d’eux. ». Cependant, bien qu’en ce temps là

courante. Mme Dupont peut-elle obtenir une aide pécuniaire de la part de son mari suite à son infidélité ? Le mariage implique entre les conjoints des devoirs et des obligations réciproques que l'on retrouve aux articles 212 et 215 du code civil : « Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours et assistance ». Le devoir de fidélité entraîne qu'aucun époux ne peut entretenir avec une autre personne que son conjoint des relations amoureuses consommées ou non. L'adultère est un outrage suprême

mariage a été une institution indissoluble, la base de la famille. Souvent, l’homme était considéré le chef et avait un pouvoir bien plus important que celui de la femme. Mais dans la loi française, ces inégalités ont beaucoup évolué. Les droits et devoirs entre les conjoints sont maintenant les mêmes et les limites de leurs libertés beaucoup plus atténuées. Néanmoins, il persiste toujours un axe du mariage qui lui est limité : le choix de son conjoint. Ce débat, plus politique que juridique, règne

de la féodalité La féodalité est une société qui va reposer sur un sytème particulier. Le système de la féodalité est global et non que politique. Les dimensions de la féodalité reposent sur une hiérarchie (A) et sur ses charges et devoirs (B). A) Une hiérachie: fidélité contre une protection La féodalité est une organisation politique qui donne pouvoir à une multitude de seigneurs. Le système de féodalité repose sur l’idée du fief. En l’absence de pouvoir souverain, les seigneurs en ont profité

conclus du consentement des deux époux, pour les achats à tempérament ni pour les emprunts à moins que ces derniers ne portent sur des sommes modestes nécessaires aux besoins de la vie courante. Jean peut se désolidariser des actes de sa femme. Le devoir de secours que doivent se porter les époux n’est pas obligatoire dans ce cas car Michel a effectué des dépenses qui ne serviront pas les besoins de la vie commune. Michel ne pourra contester les actions de son mari car la donation qu’il a effectuée