Dialogue Entre Menon Et Socrate

bien dû le démarquer des réponses par un moyen autre que la proposition, laquelle est neutre par rapport à la différence question-réponse, qu’elle avale en ne la marquant pas. Le couple subjectif et objectif a longtemps tenu lieu de différenciation entre le problématique et le non-problématique, permettant ainsi de ne pas le penser comme tel, mais ce n’est qu’un exemple parmi d’autres. Le subjectif se présentait comme plus problématique, tandis que ce qui est objectif était vu comme assuré et vrai

parascolaires | |Les présocratiques |OC |Pléiade ou Fo 1 vol. |N(e) | | |TC :Les penseurs grecs avant Socrate |GF | | |*Héraclite |Fragments |GF |

/ de maniere complentative) + (saisie de notre ignorance ) =/ sophia: sagesse, savoir = / sophrosumé: temperance = / Ubris. (savoir) = episteme : saisie de notre ignorance (sage qui peut faire progresser la science) -> opposition entre dogmatisme et scepticisme. (on ne peut pas ne pas etre sceptique. on ne peut pas ne pas etre dogmatique.) DOGMATISME SCEPTICISME

sont innées, inscrites dans notre âme qui les auraient déjà vues lors de son existence séparées du corps. Les dialogues et les raisonnements visent à éliminer les opinions en les confrontant et en montrant leur contradiction. La maïeutique permet de saisir la vérité qui est en soi. Lorsque l’on découvre cette vérité, elle n’a plus besoin d’être prouvée. Socrate montre dans le dialogue Ménon que l’esclave possède en lui une vérité géométrique. Il veut lui faire trouver comment tracer un carré qui a

des connaissances en temps réel 4 1 L’exposition d’une nouvelle notion : théories et pratique 1.1 Un peu de théorie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Le choix des activités introductives . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Le dialogue avec les élèves . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Le choix des exemples et exercices accompagnant l’introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4 6 8 9 11 11 13 13 13

mal dans sa diversité (multiplicité d’expériences et de réalités) ou sous la forme d’un tout, d’une idée, d’une abstraction, d’un concept. On peut partir à la recherche de multiples exemples ou d’un invariant, d’un universel. C’est la distinction entre ce qu’Aristote appelle une essence (unité insécable) et une qualité (un accident de cette essence). • Seconde remarque, toujours à propos de l'article : le mal est souffrance mais estce la même chose de faire mal et de faire le mal? Un animal peut

(l’art de bien parler), sur le discours. L’opposition aux sophistes permet aussi la naissance de la philosophie. II – Socrate et Platon Socrate s’était donné pour mission de traquer les faux savoirs, de rechercher la vérité. Accusé de troubler l’ordre public, il est condamné à mort. Ayant la possibilité de s’évader, il ne le fait pas, pour la cohérence et la non opinion. Socrate utilisait une démarche rationnelle qui consistait en trois procédés : l’ironie, la maïeutique et l’induction. Cette démarche

crainte, et de dire la vérité rien que la vérité » On pense souvent à des questions d’ordre théorique : quel est le type de vérité que revendique tel ou tel type de discours. Comment à l’origine le concept grec d’alétheia faisait ? Distinction entre la vérité et la véracité : pour illustrer cette distinction on peut partir de Kant : « D’un prétendu droit de mentir par humanité ». L’essentiel c’est celle d’un ami qui peut protéger quelqu’un qui vient de se protéger chez lui : se mettre à l’abri

son enquête, des autres activités de l’esprit, religieuses ou philosophiques, ou s’il convient de noyer toutes les représentations dans une radicale indistinction. Est-il encore légitime de tracer une ligne de démarcation, même souple et modifiable, entre esprit religieux, esprit scientifique et esprit philosophique ? Faut-il au contraire les confondre ? La question est d’importance ; elle met en jeu l’autonomie de la pensée scientifique, mais aussi celle de la pensée religieuse et celle de la critique

dérivé de « religare » qui signifie « relier » et peut-être aussi de « relegere » qui veut dire à la fois « respecter » et « recueillir ». Or la religion, c’est à la fois ce qui relie les hommes à une puissance qui les dépasse, tout en les reliant entre eux. Mais c’est aussi un retour méditatif sur soi-même (« recueillement ») propice au respect, non seulement d’un Dieu, mais aussi éventuellement, de l’Humanité. Il est important de noter qu’il existe des religions sans Dieu (culte des ancêtres