Didascalie

le duel entre Cyrano et De Guiche à l’effet de donner à repenser la notion de bravoure. Nous verrons d’abord que les didascalies, engagées, soulignent le comique de la scène. Nous étudierons ensuite la symbolique du panache dans l’extrait et montrerons enfin que cette scène illustre bien le motif du théâtre dans le théâtre avec Cyrano en metteur en scène. I - Une didascalie éloquenteLa scène 3 de l’acte 4 se ferme sur une sorte d’ironie dramatique qui révèle déjà au spectateur l’accueil qui

particulier : la scène de balcon à tonalité amoureuse, comme une déclaration (voir scène du balcon dans Roméo et Juliette de Shakespeare) -Christian : 1ères répliques très courtes, il est peu éloquent et manque de vocabulaire // contr. de Cyrano. -Didascalie de Roxane qui affiche son mépris et sa déception. Roxane incarne un personnage de précieuse et de coquette qui aime le beau langage. Roxane est déçue par Christian qu’elle trouve beau mais fade. -Voir la réponse plate de Christian. (v.2) phrase

Problématique : quelles sont les étapes de la transformation de Jean ? Problématique : quelles sont les étapes de la transformation de Jean ? Axe Outils d’analyse Relevé Interprétation I 1 ou II Didascalies (Il barrit presque.) (Il barrit de nouveau.) l’interrompant. d’une voix très rauque, difficilement compréhensible Jean fait une apparition effrayante. En effet, Jean est devenu tout à fait vert. La bosse de son front est presque devenue une

Il se distingue avec situation d'énonciation, et action et temps qui sont assez singuliers en comparaison de la littérature ordinaire. En effet, différents types d'énoncés peuvent être distingués par la typographie et la mise en page, comme les didascalies qui indiquent au lecteur les informations relatives aux lieux comme dans le texte de Musset On ne badine pas avec l'amour (1834) où est indiqué « Une place devant le château » lors de la scène première, aux gestes, comme dans le texte de Ionesco

vue ci doit donc surtout ne pas être changer par le metteur en scène ou imaginer différemment par le lecteur ou le spectateur. En revanche, on a certains passages de la pièce qui peuvent être imaginer différemment certainement par le manque de didascalies. Cela nous empêche nous imaginer la réaction d'un personnage, la manière dont il fait son entrée ou autre. Tous ces points de vues sont principalement modifiés par l'époque ou l'on vit. Autrefois, il est sûr que tout le publique connaissait les

dispositif complexe du jeu des personnages. Pour finir nous analyserons les fonctions de la mise en abyme. I- a- Le cadre spatio-temporel Les didascalies donnent aux lecteurs des indications scéniques et des descriptions assez précises du lieu , donc du cadre spatio-temporel. Cette scène se déroule le soir comme nous l'indique la didascalie initiale : « C'est le soir. » Ce qui peut justifier l'absence de Madame. En effet, l'histoire se déroulant le soir, nous pouvons logiquement la supposer

intime : c'est la chambre de la Comtesse didascalie qui indique le lieu dans lequel l'acte II se déroulera : « chambre à coucher » « un grand lit » lieu clos : impératif : « ferme la porte » → 1ers mots => clôture le lieu + associé à un verbe de parole « Conte moi » dans la même phrase => Lien entre l'espace fermé et une parole libre didascalie à la fin « Suzanne court ouvrir en chantant » => ouverture après la discussion + annonce de l'arrivée de Figaro didascalie : « Suzanne va ouvrir la croisée » →

monologue d'Électre exprime-t-il une crise personnelle ?1er mouvement : l. 1 à 13Monologue puisqu’Électre est « seule » (cf. didascalie). S’interroge sur la réaction de sa mère lorsqu’elle sera attaquée par Oreste (cf. forme interrogative, futur proche), réaction qu’elle suppose violente (verbe « crier »), mise à distance par l’usage du pronom personnel « elle ». Didascalie qui signale au spectateur qu’Électre cherche à entendre le crime qu’elle ne voit pas, puis récit au présent d’énonciation qui

(jouée aux XVI et XVII siècles, en Italie et en France), où le texte est réduit à un canevas sur lequel les acteurs improvisent, une pièce de théâtre est écrite par un auteur dramatique et composée de deux éléments distincts : le dialogue, et les didascalies. Le rôle du metteur en e scène est de mettre en valeur les qualités littéraires du texte car depuis la fin du XVI siècle, le théâtre est devenu un genre littéraire à part entière et ses auteurs ont ciselé les dialogues en répliques, tirades, stichomythies

celui-ci. Pour commencer, nous pouvons donc remarquer la place très importante du caractère de l'héroïne de tragédie classique dans sa manière de parler et d'agir. On note cela, par exemple, dans la ligne 5 dans les didascalies: «a les yeux fermés...rictus». Effectivement dans cette didascalie, Antigone nous donne l'impression d'être hautaine face aux paroles du garde et se moque de ce qu'il dit grâce au mot «rictus» qui est un mot péjoratif et qui induit la moquerie. Pour compléter le côté hautain de