Didascalies Absurde

va révolutionner le théâtre peut paraître atypique pour certains. Il est caractérisé par l’importance de mettre le visuel au même niveau que l’auditif. En effet, une grande importance est donnée aux objets qui ont tous une signification et aux didascalies abondantes qui apportent de la précision. Ce genre

de repères datables, indétermination des indications temporelles : « un jour », « bientôt », « pas encore », « depuis toujours »…, sentiment de répétition : « tous les jours », « c’est toujours la même chose »…), le caractère répétitif et souvent absurde des actions montrées sur scène (va et vient de Clov, tentative de s’embrasser alors qu’ils savent que c’est impossible par Nell et Nagg, composition circulaire de la pièce qui se clôt sur une image rappelant l’ouverture, etc.), le peu de consistance

débarrasser de Dubois > c’est un jeu, un rôle !> il fait semblant d’être gêné par son ancien valet / obstacle > elle va refuser ! > ce procédé hypocrite sert à endormir la confiance d’Araminte« feignant  un peu d’embarras» (dernière didascalie)  : feindre (=faire semblant de ) Dorante joue la comédie ! Il ment, manipule Araminte...4. A la scène 2, en quoi Monsieur Remy fait-il un retour fracassant ? Que veut-il imposer à Dorante, voire à Araminte ? M. Remy veut que Dorante se marie avec

pièce, mélangé des cris de douleur. Tout de suite Portès est menotté comme les autres. Le curé réfus de confesser le Docteur. Cavacha ordonne que ses habits soient enlevés et qu'un soldat(Romeganto) les mis pour confesser le prisonnier. Une scène si absurde se déroule avec Romeganto qui essaie de confesser le sergent mais qui n'y réussit pas et Cavacha qui lui ordonne de le bénir plutôt. Le curé est si choqué par ces actions qu'il commence à prier à haute voix au Seigneur de revenir. Après il se met

 Le théâtre de l'absurde Le mot absurde vient du latin « absurdus » qui signifie « dissonant » = « qui sonne mal ». Définition : Ce genre de théâtre naît dans les années 1950 des polémiques d'après-guerre qui touchent les fondements de la littérature comme le langage, les personnes, le temps ect... Certains auteurs comme Samuel Beckett, Eugène Ionesco, Jean Genet ou Arthur Adamov, s’illustrent dans le théâtre de l'absurde. C'est l'écrivain et critique

et registres Règle des unités = cage Ruy Blas  Drame romantique = refus des règles, se débarrassent des « carcans » Ionesco : absurde, absence de sens Rhinocéros  incapacité à communiquer  La cantatrice chauve  se moque des vices des humains, de la langue, etc « Le théâtre est autant visuel qu’auditif » Beckett : théâtre absurde, Fin de Partie (beaucoup de didascalies) Selon Antonin Artaud, la représentation supprime la frontière entre la scène et le public. Richelieu reconnait en 1630 le

troisième personne. Amphitryon ne fait pas la différence entre Sosie « moi » et son double « ce moi ». Molière fait appel au comique de situation puisque l’intrigue repose sur un malentendu. En répétant maintes fois « moi », Sosie rend cette scène absurde, puisqu’il désigne son double et lui-même de la même façon. Molière utilise le comique de mots. Sosie apparaît comme un personnage assez farfelu, il se compare à son double, lui trouve des qualités et regrette presque de ne pas être lui « ce moi »

personnage de Perdican transite par les paroles d'un autre personnage, à savoir Maître Blazius) + texte D (la voix off brosse le double portrait des dictateurs). − paragraphe 2 : La présentation du cadre saptio-temporel • rôle rempli par la didascalie initiale : textes A, B et C • rôle rempli par la voix off qui joue un rôle de prologue : texte D (« Quelque part dans le monde »). − paragraphe 3 : La présentation des enjeux / thèmes / sujets de l'intrigue à venir • Rapports maîtres / valets

D’EXPOSITION QUESTIONS 1- Le texte de théâtre, un texte particulier. Les didascalies son des indications de mise en scène, elles se divisent en trois catégories : les didascalies initiales, internes et externes. Les didascalies initiales concernent la distribution des rôles et donnent des renseignements sur le lieu, le décor, la situation ou les relations familiales ou sociales entre les personnages. Les didascalies initiales sont écrites en caractères romains pour la distribution de rôles

la pièce, Hamm demande à avoir son chien, puis le jette, comme un enfant en colère. Etc. Hamm a aussi des « manies », des gestes rituels avec ses objets, comme essuyer ses lunettes (cf. début du premier et du dernier monologue), geste relativement absurde pour un aveugle ! Cf. aussi l’utilisation de sa « calotte » de façon quasi mécanique lorsque sont évoqués des êtres disparus (le fou, p. 61, Nell, p. 82 : il garde la main sur la calotte tant que Clov ne lui a pas dit si Nagg est mort ou non…), geste