Didon

internationales gérant les disciplines. La devise latine des Jeux olympiques est, depuis 1894, année du premier congrès olympique : (« plus vite, plus haut, plus fort »). C'est Pierre de COUBERTIN qui proposa cette devise, empruntée à son ami l'abbé Henri DIDON. Le calendrier olympique, le déroulement des cérémonies et leur symbolique est le résultat d'une évolution. Ainsi, il n'y a pas de cérémonie d'ouverture en 1900 à Paris. Le drapeau olympique dessiné par Coubertin en 1913 apparaît aux Jeux de 1920

est assuré de l'amour de Madame de Clèves est sans doute supérieure à celle de Napoléon à Marengo. Mais le désespoir qui envahit l'âme, dans le deuil où la séparation est plus significatif encore. On connaît le récit que donne Virgile du suicide de Didon, abandonnée par Enée ou la peinture par Racine de la folie d'Oreste. Régulièrement, la rubrique des faits divers confirme les descriptions des poètes. Ces conduites, exorbitantes de la normale, ont valeur de témoignage : elles attestent la détresse

l’hiver »et «Aube » J. K. Rowling, Harry Patter (le miroir, le patronus) Jean-Paul Sartre, Les mots (rêveries enfantines) Jules Vallès, L’enfant (rêveries autour de Robinson Crusoë) Paul Verlaine, « Mon rêve familier » Virgile, Énéide (rêves de Didon et d’Enée, chant IV) • Essais Gaston Bachelard, L’Air et les songes, La poétique de la rêverie Charles Baudelaire, «La reine des facultés » in Salon de 1859. Sigmund Freud, L ‘interprétation du rêve Neal Gabler, Le royaume de leurs rêves

qui seraient bien difficiles à rendre dans la déclamation d’un poème, ce qui ne va pas sans exceptions. On retiendra notamment l’exemple virgilien, qui fait préférer à Énée, après bien des interrogations, sa mission divine au bonheur conjugal avec Didon Épopée africaine L’épopée africaine, essentiellement orale est souvent chantée, dansée ou dite, sur un accompagnement musical à la harpe ou au mette. Généralement historique, l’une des plus représentatives du genre épique en Afrique est la geste

à Sparte : ils n’avaient garde d’eux assembler ! Ne lui fis-je dresser une armée de mer, aller chez Ménélas, faire la cour à sa femme, l’emmener par force, et puis défendre la querelle injuste contre toute la Grèce ? Qui eût parlé des amours de Didon, si elle n’eût fait semblant d’aller à la chasse pour avoir la commodité de parler à Énée seule à seul, et lui montrer telle privauté qu’il ne devait avoir honte de prendre ce que volontiers elle eût donné ? Si à la fin [elle] n’eût couronné son

abandonnant Didon. Désespérée, cette dernière se transperce avec l’épée d’Énée, puis se jette, mourante, dans un bûcher qu’elle a fait édifier. Afin de lui épargner de trop grandes souffrances, Junon, protectrice de la ville de Carthage, décide de hâter la fin de son agonie. Alors Junon la toute-puissante, apitoyée par cette souffrance infinie et ce pénible trépas, dépêche depuis l’Olympe la déesse Iris, chargée de délivrer des liens de ses membres son âme en lutte. Didon ne mourait pas

d’hospitalité à son maître, par le biais de l’ironie « Catherinon : Le beau paiement que tu réserves à son accueil ! », cependant, Don Juan ne veut rien entendre. Le libertin se justifie en se comparant à Enée, personnage de la mythologie qui abandonna Didon, la reine de Carthage, sous l’appelle des Dieux qui lui reprochent son inertie. « Don Juan : Sot ! Enée en fit de même avec la reine de Carthage. », Don Juan doit donc s’enfuir après avoir abusé la pêcheuse pour punir bien d’autres femmes, poursuivre

racontent-ils ? L’Iliade : court épisode de la guerre de Troie, la colère d’Achille. L’Odyssée : le retour d’Ulysse. L’Eneide de Virgile (Is. av. J.C.) : un ensemble des deux récits : Fuite d’Enée (livre 1 à 5) à Carthage après de la reine Didon (récit à Didon de la chute de Troie), les dernières livres racontent les luttes d’Enée contre le roi Latinus et Turnus. Ces récits sont crée entre le mythe et l’Histoire. Démarche finaliste : chercher dans le passé ce qui explique le présent. L’Iliade  et

personnages sont mis en scène: celui de la Châtelaine, celui du Chevalier, celui de la Duchesse, ainsi que celui du Duc. Le terme est cité explicitement à de nombreux endroits du roman. Il éclôt pour la 6 Edelgard DUBRUCK, « La rhétorique du désespoir: Didon et la Châtelaine de Vergy », in Relire le Roman d’Eneas, éd. par Jean Dufournet, Paris, Champion, 1985, p. 37. 7Idem. 8Ibid, p. 40. 9Ibid, p. 37. 10 Ibid, p. 38. 11 Ibid, p. 39. première fois au début du roman: « Que, s’il n’eüst le cuer aillors »

L’acte V qui ne comporte qu’une centaine de vers apporte l’apaisement final par le récit du suicide et par le chant du chœur qui exalte la gloire de la reine. Une lente maturation (La Taille, Garnier). – D’autres tragédies suivent : Jodelle publie une Didon se sacrifiant, La Péruse une Médée et Grévin un Jules César (1561). Dans ces pièces, moins abouties que La Cléopâtre, le tragique est plus lourd, les tirades sont pesantes. La mort en est le sujet principal. Avec Saül le furieux de Jean de La Taille