Dieu

Le Messager de Dieu (Sala Allahu 3alayhi wa salam), a dit: "Dieu a quatre-vingt-dix neuf noms, [ou] cent moins un; celui qui les dénombre entrera au paradis." [Ces noms sont]. Le Miséricordieux - [Ar-Rahmân]. Le Tout Miséricordieux - [Ar-Rahim]. Le Souverain - [Al-Malek]. Le Saint - [Al-Qoddôus]. La Paix - [As-Salâm]. Le Protecteur -[Al-Mou'men]. Le Vigilant - [Al-Mouhaymen]. Le Puissant - [Al-'Aziz]. Le Très Fort - [Al-Jabbâr]. Le Superbe - [Al-Moutakabber]. Le Créateur - [Al-Khâleq]

doute, désirons tout ! Tant de belles choses sont rendues impossibles uniquement parce que nous croyons qu'elles sont impossibles... On pourrait même dire que désirer l'impossible est un devoir : car notre devoir est de désirer l'Idéal, l'Absolu (Dieu), qu'il s'agisse de de Justice (le Bien), de Beauté ou de Vérité. Ainsi Platon n'hésite pas à défendre le mensonge politique pour pousser les hommes à désirer ce qui est peut-être impossible, car c'est un devoir éthique : ainsi faut-il dire que le

valeur. Le « Mais » marque cette opposition. Il y a donc une insistance sur le caractère péjoratif de la condition humaine tout comme sur le caractère mélioratif de la nature. 3) Le rapprochement entre la nature et Dieu - Dans la dernière strophe, on note un rapprochement entre Dieu et la nature : « Sous la nature enfin découvre son auteur ! ». - Cela fait ressortir l’aspect mystique, divin et spirituel de la nature tout comme le vocabulaire : « l’astre du mystère » ; « l’esprit ». - On note

balbutiais : «Monsieur... -- Pas de raisons ! Vingt fois l'ode à Panclus et l'épître aux Pisons !» Or j'avais justement, ce jour là, -- douce idée Qui me faisait rêver d'Armide et d'Haydée, -- Un rendez-vous avec la fille du portier. Grand Dieu ! perdre un tel jour ! le perdre tout entier ! Je devais, en parlant d'amour, extase pure ! En l'enivrant avec le ciel et la nature, La mener, si le temps n'était pas trop mauvais, Manger de la galette aux buttes Saint-Gervais ! Rêve heureux

donnant presque un statut divin, « Vous nous redressez trop bien sur nos deux pieds pour cesser de vous tenir sur les vôtres » Voltaire est comme un dieu qui lui seul pourrait faire tenir ses lecteurs sur leurs deux pieds. Rousseau ne relève pas les critiques acides de Voltaire, lui trouve de bonnes raisons et semble en presque béatitude face à son dieu vivant.

proposition L’autorité royale est sacrée Dieu établit les rois comme ses ministres et règne par eux sur les peuples. Nous avons déjà vu que toute puissance vient de Dieu. « Le prince, ajoute Saint Paul, est ministre de Dieu pour le bien. Si vous faites mal, tremblez ; car ce n’est pas en vain qu’il a le glaive : et il est ministre de Dieu, vengeur des mauvaises actions ». Les princes agissent donc comme ministres de Dieu et ses lieutenants sur la terre. C’est par eux qu’il exerce

La Bible décrit ses crimes et son châtiment : Dieu, alerté par « le cri contre Sodome », dont le « péché est énorme », est résolu à détruire la ville pour punir ses habitants (Genèse 18:20-21). Il envoie alors deux anges vérifier si le « péché » est avéré. Ces anges arrivent à Sodome et Loth, le neveu d'Abraham, les invite à loger chez lui. Tous les hommes de la ville entourent la maison de Loth en demandant qu'il leur livre les deux étrangers pour qu'ils les « connaissent » (Genèse 19:5). Dans ce

« Ce que l’on comprend » Cette œuvre, comme son nom l’indique, fait référence à une annonce. Il s’agit de l'annonce faite à la Vierge Marie de sa maternité divine par l'Archange Gabriel. Ce dernier révèle à Marie son nouveau statut de mère du Fils de Dieu, Jésus Christ, et lui explique qu'elle portera un enfant en son sein tout en restant vierge (la couleur rouge présente sur le tableau représente le sang de Marie qui sera nécessaire pour la « conception » du futur né). Jésus, après sa naissance, va

Les Sonnets de la mort (1588) un recueil de douze pomes, trs condens (travail sur la langue). Ce pome est le dernier des douze. Sujet Le combat de lhomme contre la tentation inspire par le diable, combat dont il ne sortira vainqueur quavec laide de Dieu et, plus compltement (dfinitivement), dans la mort. I Le Diable tentateur - Majuscules sens philosophique, dsignent des concepts, des abstractions. - Trois mots pour voquer la tentation Monde sens religieux ce bas monde oppos lautre monde

voie assurée pour parvenir aux vaines satisfactions qu’ils recherchent) et traitent la sagesse humaine de vanité ; au contraire les délires de l’imagina tion, les songes et les puériles inepties leur semblent être des réponses divines ; bien mieux, Dieu a les sages en aversion ; ce n’est pas dans l’âme, c’est dans les entrailles des animaux que sont écrits ses décrets, ou encore ce sont les insensés, les d éments, les oiseaux qui, par un instinct, un souffle divin, les font connaître. Voilà à quel