Difference Entre Philosophie Et Religion

suit un fil conducteur qui vise à parvenir à une unité entre tous les Etats du monde. C’est ici le sens du mot « cosmopolitique » qui est une variation du terme « cosmopolite » qui signifie en grec « citoyen du monde ». Cette idée du cosmopolitisme remonte à l’antiquité et on la retrouve chez Diogène de Sinope ainsi que chez les stoïciens. Pour Kant, l’histoire a un sens, et ce sens, c’est celui d’une humanité unie grâce une paix mondiale entre les Etats.Intro : Derrière l’apparente irrégularité

PLAN DE L’EXPOSE INTRODUCTION I- LA PAROLE COMME FONDEMENT DE LA CREATION 1- La parole créatrice 2- La présence de la mentalité judaïque dans le christianisme II- LE RAPPORT ENTRE LA PHENOMENOLOGIE ET LES TEXTES BIBLIQUES 1- La création comme élément phénoménologique 2- La genèse comme base d’une ontologie fondamentale III- ELEMENTS D’UNE ONTOLOGIE FONDAMENTALE CHRETIENNE 1-  Présentation d’une ontologie chrétienne 2- Critique de l’ontologie chrétienne

Introduction à la philosophie « philos » : grec = ami sagesse I/ La philosophie au lycée « lycée » inventé par Aristote au IIIe siècle avant Jésus-Christ Pendant la IIIe République : décide que les citoyens ont le droit à l'accès aux savoirs, à l'esprit critique (démocratie) A quoi sert la philosophie ? Thalès : VIe siècle avant J-C Présupposé : quelque chose qui est supposé avant l'affirmation implicite (pas formulé) mais présente qui se cache dans nos questions La question porte

René Descartes (1596-1650) Discours de la méthode (1637) Thèmes traités dans le discours philosophique : la raison, les sciences, la vérité, le doute, la morale, la religion, Dieu, la nature Première partie Quelle est la définition de la raison selon l’auteur ? Descartes affirme que tous les hommes possèdent la raison, c’est-à-dire la faculté de bien juger, de “distinguer le vrai du faux”. Mais cette disposition naturelle est insuffisante, puisque certains esprits naturellement doués ont

La valeur qui est mise de l'avant est l'autonomie. De plus, la philosophie des lumières est empiriste. C'est à ce moment que la philosophie est centrée sur l'être humain. Il y a aussi, l'optimisme culturel, le progrès et la civilisation sont valorisé. Dans ces années, il y a quatre attitudes par rapport à la divinité. La première est le fait que les croyants ont une foi religieuse. La deuxième est le déisme, c'est-à-dire que la religion est épurée des rites et des dogmes. Le troisième étant l'agnostique

l’esprit de concorde principielle qui la définit positivement. Comment « vivre les différences » sans renoncer au partage des références communes ? Le pluralisme de fait des convictions peut dessiner une mosaïque de communautés exclusives, dont les membres sont aliénés à leurs « différences » avec les risques d’affrontements intercommunautaires d’autant plus violents que les appartenances sont fondées sur des religions transcendantales, ou des idéologies totalitaires. Or la communauté politique – la

More est un philosophe anglais de la renaissance. Très avant-gardiste pour son époque, il fut un des seuls à mettre sur pied une philosophie de vie autre que celle dictée par l’église Chrétienne. Extravagant dans ses pensées et son idéal d’une cohabitation entre êtres humains, il nous en apprend toujours et encore sur le bon fonctionnement d’une société libre, basée sur des valeurs d’équité, de discipline et de tolérance. Ce projet nous a fait comprendre qu’il est possible de fondée un pays où argent

dans les sociétés modernes, mais ils ont différentes approches : Conte parle d’ « âge positif », Tocqueville d’égalité statutaire et Marx de polarisation sociale et de révolution. La révolution technologique, la mondialisation des échanges, les différences sociales, les aspirations démocratiques et les crispations identitaires sont les thèmes étudiés par les sociologues. Différentes questions sont abordées : -Comment s’opèrent, à travers les migrations, les chocs de civilisation ? Quelles conséquences

raison. Or, la religion ne l’est pas. En effet, si la religion était rationnelle, il devrait y avoir des preuves démonstratives ainsi que des données empiriques certaines. Mais, il n’existe rien de tel. La religion est donc probable, mais non rationnelle. Par exemple, rien ne prouve que les choses mentionnées dans la bible, l’arche de Noé par exemple, ont réellement existé. On se base donc sur des croyances et sur des paroles pour croire à une religion. Selon Marcel Conche, "La philosophie n’a pas en

l’État qui l’empêchent d’avoir recours à l’avortement. En effet, l’écrivaine tombe enceinte accidentellement à l’âge de 23 ans et désire se défaire de l’enfant. Cependant, la loi de l’État l’oblige à conserver l’enfant non désiré. Elle est donc coincée entre le désir d’avorter et une loi qui le lui interdit, ce qui l’amène à se poser le questionnement suivant: « il était impossible de déterminer si l’avortement était interdit parce que c’était mal ou si c’était mal parce que c’était interdit.»(p. 47) À