Difference Entre Taylorisme Et Fordisme

outil de mesure de la production et de la croissance. Le PIB (produit Intérieur Brut) mesure la richesse produite dans un pays. Il fait la somme des valeurs ajoutées à laquelle on ajoute les droits de douane et la TVA. La valeur ajoutée est la différence entre la valeur de la production et celle des consommations intermédiaires. Cet agrégat mesure donc la contribution productive d’un agent. 2 – les sources de la croissance Ce sont les facteurs de production qui permettent de produire : - Le capital

démographique + nouvelle forme de distribution de commerce + d'achat. Concours à la croissance économique. B apogée de l'industrialisation. Secteur qui tient la croissance, le secteur le plus riche. Repose sur le Fordisme = mélange d' OST ( organisation scientifique du travail ) = taylorisme OST permet d'augmenter la productivité donc peut augmenter les salaires ( primes ) OST + standardisation de la production= fait baisser les prix. OST + Standardisation permet d'arriver à une production de masse

d’histoire = l’un dans la première partie du programme portant sur le monde depuis 1945 « de la sté indus à la sté de communication » et l’autre dans la troisième partie portant sur « éco, sté et culture en France depuis 1945 » Après 1945, le monde est entré dans une formidable ère de croissance : d’abord exceptionnelle, elle se ralentit à partir des années 73. Elle s’accompagne d’une forte augmentation de la population mondiale. ➢ Quels sont les facteurs de cette croissance  au rythme particulier?

d'un pays La production des richesses dépasse les besoins du taux de la population. La croissance se mesure par le PIB (la richesse d'un pays = Produit Intérieur Brut, sur le territoire national) ou le PIB/hab (niveau moyen de la population). Entre le milieu du XIXe siècle au milieu du XXe siècle, le moteur de la croissance est l'industrie. Depuis la fin du XXe siècle, ce sont les services. 2.Les principaux facteurs de la croissance économique (DOC 1 p.21) La croissance démographique (ex :

bien comprendre les mécanismes réels du chômage. I. L'analyse théorique. L'analyse théorique des causes du chômage est centrée autour de deux courants, opposés sur la forme. Il s'agit des libéraux et des keynésiens. A. L'opposition de forme entre analyse libérale et keynésienne du chômage. 1. L'analyse libérale. Elle a constitué la pensée dominante jusque dans le milieu des années 30. Le courant libéral considère que le chômage résulte de conditions de production trop coûteuses (les salaires

du capitalisme libéral et du libre échange), créant une interdépendance entre elles (échanges, délocalisations), par le biais des différents types de flux internationalisés (multiplication des échanges internationaux. Ce sont les progrès successifs des transports et des communications qui ont favorisés son processus. En effet, à partir de 1945, ce dernier connaît une dynamique exceptionnelle. Dans un monde où l'interaction entre les territoires s'intensifie, la hiérarchie des puissances évolue.

progressivement devenu la voie d'accès la plus direct à un ensemble de protections contre les risques sociaux (accidents, maladie, chômage, vieillesse). De ce fait, il est devenu le mécanisme essentiel d'intégration sociale des individus. Ainsi, entre le début du 20ème siècle et les années 60: " on est passé de cette réalité du salariat précaire " à une situation où " le salariat est devenu la matrice de l’intégration dans la société, grâce au plein-emploi et aux droits sociaux garanties aux travailleurs

quantités produites (ou de la production en volume) calculé en général sur une période d'un an. 4- les causes des gains de productivité : ( = hausse de la productivité) → l'investissement matériel innovant → Nouvelle organisation de travail (Fordisme / Taylorisme) → Hausse des salaires pour motiver les salariés → Amélioration de la formation 5- les conséquences des gains de productivité : 1) Gains de productivités → baisse des coûts unitaires → baisse des prix de ventes ( si forte concurrence)

fragilise positions internationales de la France + France n’arrive pas à imposer ses vues sur le sort de l’Allemagne * Illusion de 1929 → pouvoir échapper à la crise → France en 1929 = ilot de prospérité jusqu’en 1931 * Années de contrastes entre incontestables dynamismes (une des plus fortes croissances éco des pays développés + décennie de modernisation + « années folles ») et des blocages + fragilités structurelles (dans domaine éco + social + politique → qui font de la France un des pays

méthodes de travail, changement du rythme du travail : LE CAPITALISME (adorer l’argent) * Adam Smith * Taylorisme (du grand industriel Américain Taylor) : Division du travail, répartition des taches, pour gagner du temps Productivité augmente. Travail a la chaine : Lorsque des ouvriers font le même travail ou des travaux qui se succèdent et se complètent. * Fordisme : qui consiste à payer un peu plus les ouvriers et les inciter à consommer davantage. (BONUS : augmentation du salaire