Difference Entre Taylorisme Et Fordisme

normative sur la division du travail est porté par Taylor. 1. F.W. Taylor (1856 – 1915) Cette ingénieur américain souhaite augmenter la productivité au travail pour cela il va créer l’Organisation Scientifique du Travail (OST) aussi appelé le Taylorisme. Il observe les travailleurs et remarque une « flânerie systématique ». Selon Taylor et les classiques, l’individu travail pour avoir un salaire, il échange sa force de travail contre un salaire. Pour cela il propose une division du travail :

* 1945-1970 : forte croissance au sein des pays de l’OCDE. En France  5%. * Ralentissement puis reprise à la fin des années 1980. * 4% de croissance aux EU dans les années 1990. Récession en Europe à partir de 93 puis croissance marquée entre 1997 et 2000. I. L’analyse économique des fluctuations cycliques 1. Le cycle économique peut revêtir des formes très diverses * Jusqu’à la 2nde GM : cycle = alternance de phase d’expansion et de dépression autour d’un trend horizontal

Exposé sur la productivité (script) Définition : (selon l’INSEE et le Dictionnaire d’économie et de Sciences Sociales Nathan), Rapport entre une quantité produite (tonnes d’acier, automobiles, production nationale) et les moyens mis en œuvre pour l’obtenir (travail et capital). A productivité mesure l’efficacité des facteurs de production et l’efficacité de leur combinaison. On mesure l’efficacité de la combinaison productive d’une entreprise par l’évolution de sa productivité d’année en année

sont les éléments clés de cette 2ème phase de l'industrialisation. Questions : 3. En 1913, les pays dont les économies sont les plus ouvertes, c’est-à-dire les pays exportant le plus sont l’Allemagne et le Royaume-Uni. Nous pouvons expliquer la différence entre leurs taux de croissance et leurs taux d’exportation par le fait que leurs taux de croissance est tout d’abord une moyenne sur 40 ans (1873-1913) et que, en 1913 est à son apogée la seconde industrialisation. Celle qui profite aux Etats-Unis

l’espoir d’une libération et dans l’autre, elle provoque de la crainte d’un asservissement. Il y a donc une tension entre ces évaluations contrastées et divergentes. Cette tension est particulièrement visible quand on oppose la dimension de puissance (puissance incontestable que la technique donne à l’homme sur la nature) à l’asservissement de l’homme aux machines (fordisme ou taylorisme) ou à la dépendance de l’homme envers la technique. On explique ainsi pourquoi tantôt on peut faire l’éloge des machines

justice, de sécurité, de s’instruire…). La satisfaction d’un besoin collectif se fait donc au niveau d’une collectivité et est assurée par des pouvoirs publics comme l’Etat, les provinces, les communes, les régions et les communautés. La distinction entre besoin individuel et collectif n’est pas toujours aisée à établir. Par exemple, le besoin de se déplacer est un besoin individuel et collectif ; c’est pourquoi, les pouvoirs publics financent les infrastructures de transport en commun, construisent

importante entre histoire de la pensée économique et histoire économique (philosophe économiste tel Marx). La connaissance historique permet d’analyser les événements présents de manière critique. On considère en général l’histoire économique depuis la révolution économique. Comment cette discipline est née ? Les faits n’arrivent pas comme çà, toujours dans un contexte.  Les faits sont « fragiles » et auraient pu être différents ! Les historiens économistes étudient la relation entre le contexte

problème des récoltes) ainsi que celui de la natalité (mentalité des mœurs, pas de moyens de contraception). Au XVIIIe siècle, nous pouvons remarquer une hausse de l’espérance de vie. Grâce aux progrès de la médecine, les femmes gagnent 55,5 années entre 1750 et 1993 ; 49,3 années chez les hommes. La prise de conscience du coût d’un enfant (nourriture et scolarité) fait baisser le nombre des naissances. Cette baisse des naissances peut aussi s’expliquer par le recul de l’âge du mariage. Nous passons

pour le suivi RH des opérateurs. Triple objectif : préventif, curatif (soigner rapidement), analytique (traiter la cause et pas le symptôme) Dans les faits : usages déformés ou détournés de l’autocontrôle I) Les théories rationalistes : le taylorisme Il fait parti des 1ères réflexions sur les org° Ces théories rationalistes ont cherché à introduite plus de rationalité ds les organisations. Elles ont une visée normative et pragmatique : elles disent ce qui doit être et non pas ce qui est

GodefroyJulien GodefroyJulien Godefroy2021Julien Godefroy67Julien Godefroy26Julien GodefroyJulien Godefroy7Julien GodefroyJulien Godefroy93Julien Godefroy reussir-son-management.com6 In tr od uc ti on et de management ne sont pas très éloignées du Fordisme et du Taylorisme du début du 20e siècle. Les entreprises ont beaucoup investi dans l’innovation des procédures, des produits ou des stratégies. Le management, quant à lui, est resté très proche de ce qu’il était au début du 20e siècle. Avant la révolution