Différentialisme

suivant le sexe désigné : un/une collègue, un/une comptable, un/une élève, un/une enfant.) pour la circonstance (la ministre), peut ne pas satisfaire les tenants du “ différentialisme ” qui pourraient considérer que la différence doit être marquée au-delà de la détermination du genre par le seul article (la ministresse ?). Ce “ différentialisme ” pourrait culminer en un “ visibilisme ” revendiquant une féminisation qui, non contente de se lire, soit clairement perceptible dans l’usage oral. “ Apprentie

sollicitude : relations d’attachement précoce avec les parents -origine de l’éthique de justice : expérience d’inégalités durant l’enfance -importance du contexte, des aspects interpersonnels et affectifs. Les « deux » féminismes Féminisme différentialisme : mets-en avant les spécificités de la femme. Féminisme égalitariste : considère que l’objectif c’est l’homogénéité, l’égalité stricte des chances. « On ne naît pas femme on le devient » - Mise à jour de ces différences : Étude qualitative

pays) o Implications philosophiques Égalité de traitement >< différentialisme (enseignement ≠ selon l’origine, le sexe,…) Universalisme >< communautarisme ▪ Egalité des acquis (ou égalité des résultats) L’école garantit que tous les élèves arqueront un certain nombre de chance. o Définition

ici la seule féconde, qui échappe à la fois aux illusions des synthèses molles et autres syncrétismes (que typise par exemple la vulgate antiraciste contemporaine : mélange d'universalisme éthique ou cognitif et de relativisme culturel ou de « différentialisme », aussi absolus qu'impenses), à la méconnaissance dogmatique, par les universalismes abstraits, du multiple, et aux fuites en avant des pluralismes absolus sans espoir, ces philosophies d'esthètes néo-tragiques (de style nietzschéen ou weberien)

sexuels" catégoriels car cela pourrait devenir stigmatisation de diverses pratiques sexuelles. Et l'on sait les dégâts produits par l'étiquetage et le fichage, la difficulté représentée tient à la différence fondamentale (ni naturalisme, ni différentialisme, ni essentialisme) et numérique entre la violence sexospécifique féminicide et androcide, ainsi qu'à l'absence de tout masculicide. La Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide ne prend pas en compte la catégorie sexuelle

certains auteurs separent ces deux groupes. ´ Le premier groupe reprend les adeptes du racisme et de l’antisemi´ tisme (et par extension logique et argumentative, du negationnisme), `me groupe reprend les adeptes du ‘differentialisme culturel’ ´ le deuxie ´ ou encore de ‘l’ethno-differentialisme’. 3.1.1 ´ Inegalitarisme biologisant Pour le politologue et philosophe Castoriadis, le racisme participe de quelque chose de beaucoup plus universel, et donc de beaucoup plus courant et banal que l’on veut bien

universel ? Oui. Mais, l’universalisme est-il accepté partout et par tous les Etats ? Non. A l’horizon du XXIe siècle c’est le concept même des droits de l’homme qui est remis en question. A cet égard, je note que les Etats les plus partisans du "différentialisme" culturel ou d’une autre vision des droits de l’homme, sont souvent ceux qui méconnaissent ou violent les droits de l’homme. "Les droits de l’homme sont universels parce que tous les êtres humains ont des droits fondamentaux, que l’on ne peut

pensée face aux autres, européens et non européens, soit la culture, la langue, le peuple, la race constituent une « essence », soit l’homme est doté d’une essence unique au-delà des différences de race, de langue, de religion, de culture. Le différentialisme (ou culturalisme) et l’universalisme sont d’abord pensés dans un cadre intra-européen (l’Allemagne et les autres) avant de s’étendre au reste du monde comme le montre en Russie l’opposition entre « slavophiles » et « occidentaux ». Les guerres

L`Harmattan ‐ Ciemi, 361p., (Migrations et changements).  BOUBEKER A. [1999], Famille de l'intégration : Les ritournelles de l'ethnicité en pays jacobin, Paris : Stock, 331p.  BOUCHER M. [2000], Les théories de l'intégration entre universalisme et différentialisme, Paris : L`Harmattan, 247p.  BOUZID [1984], La Marche : Traversée de la France profonde, Paris : Sindbad, 155p.  CAHEN M. [1994], Ethnicité politique : Pour une lecture réaliste de l'identité, Paris : L`Harmattan, 168p., (Logiques politiques)

L`Harmattan ‐ Ciemi, 361p., (Migrations et changements).  BOUBEKER A. [1999], Famille de l'intégration : Les ritournelles de l'ethnicité en pays jacobin, Paris : Stock, 331p.  BOUCHER M. [2000], Les théories de l'intégration entre universalisme et différentialisme, Paris : L`Harmattan, 247p.  BOUZID [1984], La Marche : Traversée de la France profonde, Paris : Sindbad, 155p.  CAHEN M. [1994], Ethnicité politique : Pour une lecture réaliste de l'identité, Paris : L`Harmattan, 168p., (Logiques politiques)