Différentialisme

universel ? Oui. Mais, l’universalisme est-il accepté partout et par tous les Etats ? Non. A l’horizon du XXIe siècle c’est le concept même des droits de l’homme qui est remis en question. A cet égard, je note que les Etats les plus partisans du "différentialisme" culturel ou d’une autre vision des droits de l’homme, sont souvent ceux qui méconnaissent ou violent les droits de l’homme. "Les droits de l’homme sont universels parce que tous les êtres humains ont des droits fondamentaux, que l’on ne peut

assimilationniste produit par la colonisation. Gobineau, Robert Knox, Gustave Le Bon, ou Hitler marquent tous leur réprobation devant les aventures coloniales de leurs pays respectifs[53]. Le philosophe Pierre-André Taguieff considère que l’ethno-différentialisme est l’actualisation sur des bases culturalistes de cette position mixophobe[54]. Sur le plan de la politique intérieure, la conséquence logique de ce racisme d’exclusion est l’instauration d’un système ségrégationniste : les lois de Nuremberg

par les armes, comme le démontrent les démêlés de l’armée américaine en Irak. Cependant le risque est grand de tomber dans l’idée qu’il est impossible de juger objectivement une culture parce que l’on est déjà membre d’une culture. C’est le différentialisme, qui correspond d’abord à l’attitude scientifique de l’éthnologue, qui refuse toute attitude ethnocentrique. Il s’interdit juger et s’en tient au constat des différences. C’est donc une attitude qui s’interdit de valoriser et s’en tient au constat

la déterritorialisation, et le développement autonome des régions peut alors soutenir une adhésion à un système plus vaste que l’Etat. Aujourd’hui, le développement spatial ne soutient plus les centralités, et la polarisation s’appuie sur le différentialisme. L’action publique a du mal à se définir. Elle veut développer les centralités avec une économie polarisante, et renforcer l’enracinement spatial en s’appuyant sur une identité acquise par héritage. La ville durable serait donc un système polycentrique

autonome. Plus généralement, s'agit-il, comme le croyaient certains romantiques allemands, de libérer le propre de la femme, afin qu'il nourrisse enfin la culture et la société dans son ensemble, influence et civilise le comportement des hommes ? (Différentialisme) Ou bien cette prétendue nature féminine n'est-elle que le sous-produit de la domination masculine ? C'est là la problématique essentielle que le féminisme contemporain se doit de résoudre, en pratique comme en théorie. La lutte des sexes ?

domaines, chaque Etat est souverain, il s’organise comme elle veut, il instaure les lois qu’elle veut. Il y a une Déclaration universelle des droits de l’homme pour la défense des hommes des femmes et des enfants, pour éviter les débordements. La différentialisme culturel : Attention, cela fait partit de la culture propre à un pays (sauf atteintes à la personne, violence…) K Fukuyama et Robert Kagan Fukuyama a écrit un livre de la fin de l’histoire en 1992. L’Europe est devenu une démocratie

assimilationniste produit par la colonisation. Gobineau, Robert Knox, Gustave Le Bon, ou Hitler marquent tous leur réprobation devant les aventures coloniales de leurs pays respectifs[70]. Le philosophe Pierre-André Taguieff considère que l’ethno-différentialisme est l’actualisation sur des bases culturalistes de cette position mixophobe[71]. Sur le plan de la politique intérieure, la conséquence logique de ce racisme d’exclusion est l’instauration d’un système ségrégationniste : les lois de Nuremberg

assimilationniste produit par la colonisation. Gobineau, Robert Knox, Gustave Le Bon, ou Hitler marquent tous leur réprobation devant les aventures coloniales de leurs pays respectifs68. Le philosophe Pierre-André Taguieff considère que l’ethno-différentialisme est l’actualisation sur des bases culturalistes de cette position mixophobe74. Sur le plan de la politique intérieure, la conséquence logique de ce racisme d’exclusion est l’instauration d’un système ségrégationniste : les lois de Nuremberg

l'efficacité du modèle français d'intégration. En ce sens, le discours dominant sur l'intégration républicaine est d'abord un discours communautaire qui s'ignore. À l'inverse du discours assimilationniste pur et dur, il ne prétend pas abolir les différentialismes à l'oeuvre dans notre société mais les agencer conformément à une prétendue « logique républicaine ». À travers les thèmes politico-médiatiques du « vote beur » et des « élites beurs », on voit se profiler chez les acteurs et les observateurs

politique du problème de la liberté d’expression, comme préservation d’un espace public, pour socialiser et intellectualiser simultanément la question. Elles visent ou trop haut (œcuménisme rationaliste) ou trop bas (pluralisme communautaire et différentialisme) ; au risque de donner libre cours aux violences et à toutes les hypocrisies, pour aboutir finalement au discrédit du politique lui-même… Le rite ; forme fondamentale de la vie religieuse, le rite fait la synthèse de tout ce qui précède. Il