Différence Entre Sous Traitance Et Externalisation

L’internationalisation est l’ouverture des économies nationales aux transactions internationales et au développement des échanges de biens et de services. Au sens strict, elle concerne les échanges entre nations donc la dimension internationale. Le phénomène de mondialisation va au-delà de l’échange entre nations ; en effet, il a 3 dimensions : * l’internationalisation * la mobilité internationale des facteurs de production (capital et travail, où le capital est le plus mobile) * la

l’entreprise qui intègre les aspects, sociologiques, économiques, juridiques, techniques… tant nationaux qu’internationaux. - un Micro-Environnement : c’est un environnement spécifique de l’entreprise constitué de ses clients, ses fournisseurs, ses sous-traitants, ses concurrents… L’environnement est constitué de l’ensemble des forces extérieures à l’entreprise qui agissent et réagissent au profit ou à l’encontre de l’entreprise. Démographie Social Technologie Clients Economie

stratégique • Benchmarking • Balanced scorecard • Analyse des parties prenantes • Scenarii and contingency planning • Projets stratégiques d’entreprise • Référentiels de management • Séminaires de management participatifs • Knowledge management • Externalisation • Filialisation d’activités • Centres de services partagés (CSP) • Business process management/business process reengineering (BPM/BPR) 6 Les pratiques et outils de management des entreprises Prédominance des pratiques de planification

un marché spécifique auquel on attribue une stratégie unique :  Métier : ce que l’entreprise fait, comment ? avec quel niveau de technologie ? Brevets ?  l’offre  Mission : vocation, à qui ?  la demande  Objectifs stratégiques : rencontre entre l’offre et la demande, le métier et la mission (Base du DAS) 2- Les facteurs clés de succès (FCS)     Combinaison d’attitudes nécessaires pour avoir une position défendable dans le DAS considéré. Segmentation cohérente si les FCS des

d’entreprises a permis d’enrichir les analyses en sciences économiques et en gestion notamment en introduisant l’entreprise et le territoire comme des acteurs déterminants et spécifiques de la dynamique productive. L’attention portée aux interactions entre les acteurs et aux mécanismes d’articulation des ressources hétérogènes a, toutefois, détourné l’attention des spécialistes de ce qui se réalisait dans les petites et moyennes entreprises des technopôles, et dans la façon dont celles-ci élaboraient

2,2 % du PIB a ainsi été investi par l’État et les entreprises dans la R & D contre 2,5 % en Allemagne, 2,7 % aux ÉtatsUnis et 3 % au Japon. Parmi les raisons invoquées pour justifier ce retard, figurent principalement la trop faible coopération entre les entreprises et les chercheurs, le manque de soutien public aux laboratoires de recherche et l’insuffisance de l’investissement des entreprises françaises en R & D souvent expliquée par des facteurs organisationnels ou culturels. Cependant, les

juste à temps Contrôle budgétaire 2 Chapitre IV : Budget de production I. Techniques de gestion de la production 1. La programmation linéaire 2. Pilotage du système de production II. Budget de la production 1. Partage des taches entre services de production et de contrôle de gestion 2. Valorisation de la production Chapitre V : Analyse des écarts I. Les données prévisionnelles spécifiques de production 1. Notion de budget flexible 2. Fiche de coût standard ou de coûts

promouvoir le développement de leur économie néanmoins dans le même temps au plan international était adopté les accords du GATT en 1947 remplacé par l’OMC en 1994 de même en plan européen 6 états dont la France choisissait de fondée un marché commun entre 1951 et 1957 bientôt des logiques de nationalisation et de monopole public très caractéristique de l’économie public française allait se heurté aux exigence très concurrentiel de l’économie mondiale et du marché commun en Europe .Ce sont ces réalité

fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ? Notions : Avantage comparatif, dotation factorielle, libre-échange et protectionnisme, commerce intra-firme, compétitivité prix et hors prix, délocalisation, externalisation, firmes multinationales, spécialisation. En partant d’une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion d’avantage comparatif, on s’interrogera sur les déterminants des échanges internationaux de

destinés à un marché spécifique auquel on attribue une stratégie unique :  Métier : ce que l’entreprise fait, comment ? avec quel niveau de technologie ? Brevets ?  l’offre  Mission : vocation, à qui ?  la demande  Objectifs stratégiques : rencontre entre l’offre et la demande, le métier et la mission (Base du DAS) 2- Les facteurs clés de succès (FCS)     Combinaison d’attitudes nécessaires pour avoir une position défendable dans le DAS considéré. Segmentation cohérente si les FCS des différents