Différences Entre Platon Et Aristote

administration domestique, est censée être transposable à la cité toute entière (la "polis"). Il n'y aurait pas de différence entre l'art de diriger son domaine, et l'art de diriger la cité. Thèse qui n'est pas complètement dépassée : beaucoup de politiciens pensent être capables de gérer l'économie d'un pays parce qu'ils ont été capables de gérer une entreprise. A - Platon et Aristote - Platon (427-347) : élabore l'économie normale d'une cité état avec constance du nombre de citoyens et richesse stationnaire

que la “science” des grecs de l’Antiquité ne put jamais aboutir en raison, notamment, du grand mépris que cette époque voua à la pratique. Les tâches manuelles étaient réservées aux esclaves dont l’existence ne semble pas avoir choqué un Platon ni même un Aristote. C’est ainsi que la méthode expérimentale ébauchée par les Ioniens (penseurs du 6e siècle av. J.C. issus des cités côtières de l’Asie mineure notamment Milet et Ephèse) non seulement ne perdura pas mais tomba de surcroît en désuétude durant

dit, Platon et Aristote font appel à un discours philosophique, car tous les deux ont une vision de la connaissance étant une réalité. Malgré cette similarité, ils ont aussi des différences. Ces derniers jouent avec le relativisme et l'universalisme. Le relativisme est objectif, c'est-à-dire que nos propres sens s'interposent entre nous et l'observé. Cependant, l'universalisme est une vérité dont les relations entre les humains par la raison humaine. Selon les théories idéalistes de Platon, la connaissance

esthétique est réellement devenu autonome depuis le 18ème. Le beau (la beauté) n'est pas forcement l’objet d'une connaissance sensible, ce n'est pas forcement quelque chose que l'on perçoit, cela peut être hors du domaine esthétique. Dans Le Banquet Platon met en scène une femme qui explique que l'appréciation de la beauté par les sens est le plus bas niveau de beauté, au dessus de cette beauté par les sens, il y a la beauté des actions, le mieux est de comprendre intellectuellement l'harmonie des proportions

solutions de l’exemple : * Passer par la fenêtre, casser la porte, chercher les clefs… Deux types de solutions : * Pb résolu : retrouver ses clefs * Pb maintenu et étendu : casser la porte Les problèmes philosophiques sont un conflit entre 2 propositions incompatibles. Une contradiction, c’est deux énoncés qui s’opposent de telle sorte qu’ils ne peuvent être vrais tous les deux à la fois. Mais toutes contradictions n’est pas un problème philosophique. Un problème philosophique c’est

Philosophie du droit Distinction entre philosophie du droit et théorie du droit : La philosophie du droit revient à savoir Qu’elles valeurs sont à l’origine du droit ? Différence avec la théorie du droit. : refus de toutes les valeurs et prendre le droit comme une science. Définition : L’interrogation sur le sens, les valeurs, les fondements de la norme. Un point de vue descriptif. Un point de vue normatif : ce que devrait être le droit. Tous les grands systèmes philosophiques

ETHIQUES Les éthiques concrètes: Aristote: éthique du juste milieu Épicure : éthique de hédonisme Diderot et Locke : éthique sensualiste Bentham et mill : éthique du l'utilitarisme L'éthique du juste milieu de Aristote : La théorie du juste milieu, pour lui, la vertu est toujours un milieu entre 2 contraires, l'un par excès l'autre par défaut. Il se rapproche de la doctrine Confucéène de Confucius. Le courage est une vertu et c'est le juste milieu entre la témérité, le kamikaze ou la lâcheté

est celle de la raison démonstrative qui introduit à l’univers stable des identités logiques et mathématiques. Platon poussera à fond cette logique idéaliste et métaphysique dans sa célèbre Allégorie de la Caverne (Livre VII de La république). Au niveau humain, cela implique que le « moi=moi » subsiste éternellement hors du temps : ainsi est réhabilitée la notion religieuse d’âme (Platon va jusqu’à reprendre le mythe orphique de la métempsycose, de la réincarnation des âmes). Dans ces conditions

théorique (discours et raisonnements) : le besoin de réfléchir, penser pour savoir vivre, savoir ce que nous voulons. Avoir une pensée cohérente, capable de justifier ses choix. La philosophie est le combat contre l’opinion qui conduit aux déchirements entre les hommes. Il faut donc trouver le chemin de la raison. C’est donc apprendre à penser par soi-même mais avec tous les autres. On ne peut pas échapper à la philosophie, en effet on ne peut pas ne pas se poser de questions, à part dans la bêtise et

l’idéalisme du penseur. C’est le point de vue subjectif de l’auteur qui compte, surtout pas notre point de vue. On voit très souvent des courants réapparaitre. Les auteurs ne sont donc pas complètement indépendants : il a très souvent un legs entre les auteurs. Antiquité <>révolution Sur de nombreux points fondamentaux : énorme influence de l’antiquité. A partir de la formation de certaines idées politiques, certaines s’appliquent aux institutions politiques et publiques d’aujourd’hui