Digression

ème siècle : le libertinage - scène d'ouverture : * traditionnelle : délivre des informations ,personnalité du maitre « mise en « appétit » * originale : car ces informations sont présentées par des personnages secondaires et se mêlent à une digression en apparence inutile. - scène d'exposition : elle fait entrer le spectateur/lecteur dans la pièce, présente les personnages principaux et les enjeux de la pièce Plan : I)Informations données sur le personnage de DJ, un portrait en action d’un

ramène avec tact mais fermement Il facilite la motivation, la participation. Il facilite l’explication, l’analyse, la solution. La discussion s’égare(le groupe perde de vue l’objet de la discussion, voire le sujet de l’étude). Attitudes : Des digressions apparentes peuvent parfois être nécessaires pour maintenir l’allant de la discussion mais l’animateur ne doit jamais se laisser trop éloigner de son objectif Reprendre le contrôle en posant des questions propres à recentrer la discussion(question

position difficile. De plus, Rastignac est modelé par la société et subit une métamorphose :§ Métaphore : Ligne 21 à 23 => renaissance & ouverture d'esprit de R.§ Présent de vérité générale : Ligne 21 à 23commentaire du narrateur omniscient +§ Digression (généralisation de l'étudiant) : Ligne 53 à 57 tout cela réuni avec § Comparaison à un '' aubier '' : il se détache pour évoluer. De surcroit, Rastignac sous l'emprise de la société : ligne 26 '' : avait subi '' renforcé par l 27 : '' A son insu

gaines[...] ». D'autre part l'extrait fait l'apologie de l'importance de la parole dans le récit. Ainsi Jacques par la suite conte son enfance chez ses grands parents , «les Jason». Le ton est anodin, nous avons ici une anecdote qui paraît être une digression de plus de la part de Jacques, il était bâillonné enfant pour l'empêcher de parler. Mais nous avons ici la mise en valeur de la parole. En effet tout d'abord la parole pour Jacques apparaît comme un « outil » essentiel à l'homme «  c'est à ce maudit

repose sur une organisation (a10) qui s’articule autour d’un champ lexical bien précis du tabac (a6) : vertu, âme, instruire, honnête, sentiment d’honneur, etc… * Dans l’ordre du récit (a11), ce passage sur le tabac est identifié comme une digression (a12) par le personnage lui-même * En termes d’énonciation (a13), le personnage est en situation de communication (a131), il utilise comme procédé linguistique (a132) des indications de personnes (a1321) et comme figures de styles (a133)

programme : Horace, tragédie historique de Corneille ; Mémoires d’outre tombe de Chateaubriand et Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte de Karl Marx. Nos trois œuvres reviennent en effet sur des faits historiques passés. Si nous pouvons relever quelques digressions dans le récit de trois auteurs nous ne pouvons pas pour autant nier l’existence de ces faits. Nous nous interrogeons alors sur les mesures à observer pour assurer à l’historien davantage de rigueur et à l’histoire davantage de vérité et de crédibilité

de l’adverbe d’intensité « si », qui le renforce. L’adverbe « si » entre en corrélation avec la conjonction « que », qui viendra plus loin, pour former une subordonnée de conséquence. La subordonnée est en fait interrompue à la ligne 8 par une digression. L’action de Frère Jean est donc présentée comme efficace : elle est immédiatement suivie d’effets. La relative « qui vendangeaient à travers le clos » est explicative (mais sans virgule). Il faut comprendre que l’ensemble des habitants de Lerné

la suppression de la description du nez, qui avait le défaut et d’allonger et d’avoir une connotation obscène avérée, ce qui n’est pas dans le ton léger du conte, même s’il doit être un peu salé. Entre la hauteur et le tour de taille, une longue digression pour prouver par A+B que ce qui est évoqué est possible, que le scepticisme face à de telles… fadaises ? n’est pas de mise ici, c’est une preuve d’étroitesse d’esprit. Paradoxalement, à la constatation de l’observation clinique avec les mensuration

une seule fois. La nouvelle a un sujet restreint : il s’agit de narrer un instant clé qui ne nécessite pas un long développement. - Le récit doit être rapide et resserré. L’entrée en matière est immédiate. Il ne saurait y avoir ni longueurs ni digressions. Elle comporte généralement peu de personnages. Elle peut se terminer par une chute ou une pointe, mais ce n’est pas obligatoire. - - 

| |discussion restée dans les limites fixées ? | | |arrêté digressions ? |O | |types questions posées adaptées ?