Dilemme Cornélien

Eléments de correction Pbtiq : « En quoi ce monologue est-il un texte pathétique et tragique ? » I. Un monologue pathétique a. L’expression d’un trouble intérieur Cœur X 2, langueur, charmes, larmes, adore, aime, amour Champ lexical de l’amour Le dilemme source du trouble Rome X 5, palais, l’Etat, lois Champ lexical du pouvoir « Rome » métonymique Consulté, expliqué, avouer, mette dans la balance, justifier Vocabulaire de la délibération La décision n’est pas prise : souffrance Cruauté, combat, barbare

nombreux pronoms personnels de la 1 P du singulier (« ma vengeance », « mon âme », « me », « je »….)La délibération est un type particulier de discours argumentatif. Or ce monologue a toutes les caractéristiques de l’argumentation, et en particulier du dilemme (expression d’une alternative dont les issues sont en tous les cas dommageables au personnage). Médée doit choisir entre la réalisation de sa vengeance et son amour pour ses enfants (ou encore entre son amour-propre et son amour.) Dans l’acte

Première partie:  Quel est le dilemme moral?    Le dilemme moral dans cette situation est: Michel L. ne sait pas si il doit promouvoir le  projet d’exploitation dans le Grand Nord québécois d’une compagnie de prospection  d’or et de diamants en écrivant une série d’articles. Même si la compagnie promet la  création de plusieurs emplois, il y a un risque d'endommager sérieusement le territoire  d'une petite communauté autochtone. Toutefois, si il rédige une série d’articles  négative, il risque de perdre son emploi

différence entre complexe et compliqué ? Complexe : plusieurs éléments associés I- L’analyse de la situation Doit être faite sous forme de discussion, entre les différents membres du groupe. Afin d’éclaircir la situation ou le thème posant un dilemme éthique Résumé la situation (centré sur le patient) Quelle est la situation ? Quels sont les éléments cliniques ? (antécédent, pathologie, pronostic, degrés d’urgence) Quels sont les acteurs ? (absent ou présent) Quels sont les éléments contextuels 

Tous les champs impliquant des interactions stratégiques sont susceptibles de bénéficier d’une approche par la théorie des jeux. Le texte nous met en face d’un exemple précis : le dilemme du prisonnier. La théorie des jeux sert donc surtout à préciser des situations où des acteurs sociaux prennent des décisions individuelles séparées, mais ayant un impact combiné sur les acteurs. La théorie des jeux suppose en règle générale que les gains et les pertes d'un jeu sont fixés à l'avance. A la limite

Le dilemme du prisonnier Le résultat d’une négociation résultant avant tout de la stratégie adoptée par chacun des protagonistes est souvent illustrée avec l’histoire du « dilemme du prisonnier », jeu conçu et enseigné à Princeton à la fin des années 1940 par le mathématicien Albert Tucker (alors directeur de thèse de John Nash). L’histoire est la suivante : deux individus (A et B) qui ont commis un délit ensemble sont arrêtés et interrogés séparément. Chaque prisonnier a le choix entre deux stratégies

: celui-ci consiste à passer d'un jugement sur un ou plusieurs cas particuliers à un jugement général sans avoir pris en considération un échantillonnage représentatif. C'est par exemple : Tous les athéniens sont les mêmes. Le sophisme du faux dilemme : celui-ci consiste à dire que l'une des deux possibilités devant laquelle on se trouve est indésirable et qu'il convient donc de choisir l'autre possibilité, le raisonnement est fallacieux dans la mesure où il existait d'autres possibilités que les

Notre but serait-ce de les réconcilier ? Si je résous cet énigme tel que Bernoulli avec le paradoxe de St Petersburg, je devrai alors renoncer à mon espérance pour mon utilité. Ainsi, je suis rationnel et je maximise mon bien être. Toutefois, le dilemme du prisonnier énoncé A. Tucker nous a montré la limite de la rationalité humaine. Elle ne maximise pas systématiquement notre bien-être. Compte tenu de ce fait, devrais-je renoncer à mon espérance qui de toute évidence ne maximise pas mon bien-être

à l’autorité d’une personne pour appuyer un argument.  La double faute : Justifier un comportement en disant que d’autre font la même faute.  La caricature : Déformer la point de vue de quelqu’un en le simplifiant ou le exagérant.  Le faux dilemme : Dire de faire une choix entre deux possibilité et à cause qu’un choix est moins aimable on est obligé de sélecter l’autre qui encore non aimable, mais qui moins pire.  La fausse causalité : faire un lien, qui ne marche pas toujours, de cause

aux relations internationales contemporaines que le dilemme du prisonnier. Les théories etudiées répondent toutes à cette description de Mearsheimer : "The most attractive strategy for each state is to cheat and hope the other state pursues a cooperative strategy. In other words, a state’s ideal outcome is to suggest to other side into thinking it is going to cooperate” Seulement il existe des différences. La plus importance est que le dilemme du prisonnier repose sur une situation ou les deux joueurs