Diodore de Sicile

L’oraison funèbre de Périclès. Thucydide, La guerre du Péloponnèse, II, 34, 37-41. Page 61. Introduction. Parmi les diverses sources traitant de la guerre du Péloponnèse sous différents aspects, comme Xénophon ou Diodore de Sicile pour la guerre elle-même, ou bien les vies de chefs Plutarque voire les pièces Aristophane, la référence la plus célèbre reste La guerre du Péloponnèse de Thucydide. Athénien comme Xénophon ou Aristophane et contemporain comme eux des événements, il fut pourtant le seul

guerre de Troie, mais des faits très récents, les guerres médiques. c) Composition L'Enquête se compose de neuf livres, chacun portant le nom d'une muse. Ce découpage ne semble pas être le fait de l'auteur : la première mention en est due à Diodore de Sicile au Ier siècle, et c'est probablement au IIe siècle, du fait de grammairiens alexandrins, que l'ouvrage fut ainsi sectionné. • Prologue : les enlèvements survenus entre l'Asie mineure et la Grèce : Io enlevée par les Phéniciens ; Europe et Médée

historiques de son temps et en ignorant leurs aspects merveilleux, mais, pour lui, ces personnages sont aussi historiques que Périclès19. L'attitude des historiens demeure tout aussi prudente jusqu'à l'époque romaine. Au Ier siècle av. J.-C., Diodore de Sicile fait une plus grande place au légendaire et s'attache plutôt à rapporter les différentes traditions sans prétendre les rationaliser. Au IIe siècle, Plutarque, au début de la Vie de Thésée, l'une des rares Vies parallèles à traiter d'une figure

— From the Etruscan Religion to the Postmodern Theories of Law, éd. Kairosz, Budapest, 2005. 5. ↑ Tite-Live, Histoire romaine, Livre III, 9-55. 6. ↑ Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, Livre X, 56-60 / (en) [archive]. 7. ↑ Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, Livre XII, 9-10. 8. ↑ Olga Tellegen-Couperus, A Short History of Roman Law, pp.19–20. 9. ↑ A ne pas confondre avec ce que les Romains nomment « constitution » à savoir une norme émanant de l'empereur 10. ↑

Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la citéKernos Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique  20 | 2007 Varia Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la cité L’exemple de Tanagra en Béotie Dominique Jaillard Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/kernos/177 DOI : 10.4000/kernos.177 ISSN : 2034-7871 Éditeur Centre international d'étude de la religion grecque antique Édition imprimée Date de publication : 1 janvier 2007

complémentarité) entre les éléments visuels et écrits. Les élèves établissent des liens possibles entre En ce qui concerne le choix du titre, lire à ce sujet les informations données par Sophie Chérer lors de son • l’image (le lieu supposé Italie, Sicile, …) et le titre (la référence à l'olive…) • le titre et certaines références intertextuelles, telles que les titres des films de James Bond, (Demain ne meurt interview.22 jamais, On ne meurt que deux fois, Meurs un autre jour). 3. Les élèves repèrent

..............................................................................................179 LE COLONEL SANTA−CROCE.......................................................................................................188 L'INTERIEUR DE LA SICILE...........................................................................................................201 PALERME L'HEUREUSE..................................................................................................................210

pharaonique : On ne sait pas grand chose sur ce droit. A .Un droit méconnu : la pénurie des sources : Droit que l’on connaît le moins bien. Le premier code connu est très tardif avec Darius Ier, roi des perses (-522 -486) mais c’est déjà un perse. Diodore de Sicile, historien du Ier siècle avant notre ère ; Ménès (-3150) aura légiférer mais elles n’ont jamais été mise par écrit et on n’a pas de preuves. Lois écrites avec les traces les plus certaines avec la stèle du pharaon Horemheb au temps de Karnak

assez tardive (472). En 457, il obtint un triomphe avec sa trilogie de l’Orestie. Après avoir été probablement accusé par les autorités athéniennes d'avoir divulgué certains secrets des Mystères d'Éleusis, auxquels il avait été initié, il partit en Sicile où il mourut accidentellement à Géla en 456. D’après les érudits d’époque tardive, Eschyle aurait laissé quelque quatre-vingt-dix tragédies ainsi qu'un quinzaine de drames satyriques. De cette œuvre abondante, il ne reste plus que des fragments

Callisthène[5] ont rédigé des écrits qui sont malheureusement perdus pour nous aujourd'hui. Par la suite, des historiens qui voulurent retracer les expéditions d'Alexandre s'inspirèrent d'eux pour rédiger une Vie d'Alexandre. On a ainsi conservé Diodore de Sicile[6] (entre 54 et 36 avant J-C), Quinte-Curce[7] (du Ier siècle ou du IIe après J-C), Plutarque[8] (environ 40 et 120 après J-C), Arrien[9] (IIe siècle après J-C)... Au fil des siècles, certains inventèrent des faits qu'ils prêtèrent à Alexandre