Diodore de Sicile

l'arrière pays barbares. La viticulture gauloise au Ier siècle avant J.C. reste limitée Le vignoble Narbonnais fournissait qu'une petite partie du vin en Gaule, le commerce des vins italiens inondait la partie nord de la Gaule. Le témoigne Diodore de Sicile et les récentes études archéologiques ont démontré que ce commerce des vins italiens dans les terres gauloises existait. En effet, des amphores portant le nom d'une riche famille de Pompéi, ont été retrouvées près d'Anthéor (suite au naufrage

ennuis, ils trouvent tout en abondance pour organiser des sacrifices et des chœurs et ainsi ils ont tout leur temps pour s'occuper de certaines questions et de philosophie. De fait la nature de l'île est merveilleuse ainsi que son climat...» 1 Diodore de Sicile, dans sa Bibliothèque historique, II, 55-60, parle d'un certain Iamboulos, ce Grec qui se faisait passer pour un Oriental, qui aurait connu, en naviguant vers le sud-est, au départ de l'Arabie heureuse, les Héliopolites 2, habitants des îles

Cresphontès obtient par la ruse la Messénie. la première mention des Héraclides apparaît chez le poète Tyrtée (milieu du VIIème). on les retrouve chez Hérodote et Thucydide également. les récits les plus circonstanciés arrivent avec Appolodore et Diodore de Sicile (ces récits sont des compilations de toutes les traditions antérieures). selon les spartiates eux-mêmes, ce ne sont pas Eurysthénès et Proclès qui auraient pris le territoire spatiate, mais leur père Aristodémos. les traditions disent qu'ils

donne l’exemple. 1- L’Egypte : sa géographie et sa culture L’Egypte ancienne est, géographiquement et culturellement un pays africain. Ceci était un fait d’évidence chez les Anciens : Eschyle, Hérodote, Aristote, Lucien, Apollodore, Strabon, Diodore de Sicile, Diogène Laërce, Ammien Marcellin, etc, en ont témoigné. Même au XIXè siècle, malgré plusieurs siècles d’esclavage et d’asservissement de l’Afrique et du peuple noir, l’idée d’une Egypte africaine et nègre était encore une évidence parmi les

l’un de ceux qui ont communiqué à Flaubert le « frisson historique » constitutif de son « moi » rêvé ; il dit plus tard être « sûr d’avoir été, sous l’empire romain, directeur de quelque troupe de comédiens ambulants, un de ces drôles qui allaient en Sicile acheter des femmes pour en faire des comédiennes, et qui étaient, tout ensemble, professeur, maquereau et artiste. Ce sont de belles balles, dans les comédies de Plaute, que ces gredins-là, et en les lisant il me revient comme des souvenirs. » (Ibid

trame générale du drame de Byron — on reconnaît Myrrha dans la femme à demi allongée sur le lit aux pieds du monarque — Il semble en revanche avoir emprunté l’holocauste des femmes, des chevaux et du trésor à un autre auteur, antique cette fois, Diodore de Sicile, qui, dans sa Bibliothèque historique, raconte une scène analogue : « Pour ne pas se retrouver prisonnier de l’ennemi, il fit installer dans son palais un gigantesque bûcher sur lequel il plaça son or, son argent et tous ses habits de monarque

succès passés leur faisaient concevoir. Ils voulaient aller reconquérir l’Egypte, attaquer les provinces maritimes du roi de Perse63. Déjà même commençait à s’allumer dans le coeur de la plupart d’entre eux ce fatal et malheureux désir de subjuguer la Sicile, que les orateurs du parti d’Alcibiade enflammèrent depuis avec tant de violence64. Quelques uns rêvaient la conquête de l’Etrurie et de Carthage ; et ces projets n’étaient pas sans quelque espoir de succès, fondé sur la grandeur de leur empire et

sommet de l'Egypte. Il est absolu, parfois despotique et a, en dessous de lui toute une hiérarchie de fonctionnaires. Son premier conseiller est un vizir. Nous avons peu de renseignements sur le droit Egyptiens. Les grecs mentionnent des législateurs, Diodore attribue des lois écrites à Menes. On prétend que le roi père Darius qui avait conquis l'Egypte aurait fait mettre tout le droit égyptien en 8 livres. On a un décret d'un des successeurs de Toutânkhamon, Horemheb. On trouve le mot législation et on

(A Labrosse) Suis-moi.LABROSSE. — Parbleu oui !je te suis, et je ne te quitte pas de l'œil; je ne voudrais pas te perdre aujourd'hui pour tous les trésors des dieux. (Ils sortent).1. Allusion au combat d'Hercule contre l'Amazone, dont parle Diodore de Sicile IV, 16, combat dans lequel il s'empara de la ceinture qu'Ares avait donnée à Hippolyte, pour en faire ensuite présent à Admète, fille d'Eurysthée. — Cette réflexion de Méneoume est attribuée par quelqjues éditeurs à Labrosse.EROTIE (à ses esclaves)

sacrifice humain 9 Sacrifices humains et sépultures anciennes de Mélanésie orientale et de Polynésie occidentale Frédérique Valentin 212 Le spectacle de la mort sacrificielle chez les Aztèques Patrick Johansson 234 À propos de la scène d’Addaura (Sicile) Jean Guilaine 248 Sacrifices humains chez les Gaulois. Réalités du sacrifice, réalités archéologiques Jean-Louis Brunaux 256 sommaire Les puits dits « funéraires » en Gaule romaine : pour une nouvelle lecture Michel Petit 274 S a c r i