Dioptre

cercles tangents entre eux. Il est utilisé pour construire un quatrième cercle tangent à trois autres. II- Descartes et la physique : a) L’optique : Lorsqu'elle traverse une surface qui sépare deux milieux transparents (dioptre), la lumière subit deux modifications, elle ralentit et les rayons lumineux sont déviés en un point que l’on appelle le point d’incidence. Descartes met donc au point les lois de la réfraction qui permettent de calculer la déviation des rayons lumineux

dans l’ordre, la cornée, l’humeur aqueuse, le cristallin et le vitré. Ainsi sont traversés un certain nombre de dioptres successifs où se situent les phénomènes de réfraction : le dioptre cornéen antérieur, face antérieure de la cornée (le dioptre cornéen postérieur est quasi négligeable, car il sépare deux milieux – cornée et humeur aqueuse – d’indices pratiquement égaux) ; les dioptres cristalliniens antérieur et postérieur. L’intérieur même du cristallin n’est pas homogène, mais possède une structure

sinusoïdales. La pression augmente avec la profondeur Ici, on simplifie en modélisant par tranches pour des pressions différentes Chaque tranche constitue un milieu d'indice différent Au passage d'une tranche à la suivante (dioptre) Il y a phénomène de réfraction sur les dioptres selon la loi de Snell-Descartes: n sin i = n' sin i'

optique n a la même valeur en tout point du milieu. II Lois de Snell (1620) et de Descartes (1637) II.1 ´ Enonc´ e ♦ D´ efinition : On appelle : - dioptre la surface de s´eparation entre deux milieux mat´eriels d’indices diff´erents ; − → - plan d’incidence le plan contenant le rayon incident et la normale N au dioptre. ❚ Lois de Snell-Descartes : (1) Rayon incident, rayon r´efl´echi et rayon r´efract´e sont dans le plan d’incidence. (2) L’angle i1 entre le rayon incident et

FA = = SI AB AB AB = AB AB FA FS = FA ·F A = f Grandissement On vient de le démontrer :   γ=  FA FS = FS FA  3 Lentilles sphériques minces 3.1 Définition Une lentille sphérique est l’association de deux dioptres sphériques coaxiaux (centres C 1 , C 2 , sommets S 1 , S 2 ) délimitant une portion de matériau d’indice de réfraction n (voir F IG. 19). Ce système n’est pas rigoureusement stigmatique et donc la recherche de l’image d’un objet demanderait l’application

l’indice réfractif de l'œil. Par exemple, en cas de cataracte, le cristallin augmente la convergence des rayons qui se projettent devant la rétine et non sur la rétine. Myopie de courbure : par augmentation excessive de la courbure d'un ou plusieurs dioptres de l'œil, particulièrement la cornée. La convergence excessive de la cornée peut créer une myopie. III LES AMÉTROPIES III-1-2 Hypermétropie Se manifeste par une BAV de près, associée parfois à des céphalées frontales. -On a: a- Hypermétropie

l’axe de l’œil : cas d’hétérophories ou cas où le verre d’appui n’est pas perpendiculaire à l’axe de l’œil. L'étude est faite dans les conditions de Gauss, aux échelles axiale 1:1 et transversale 10:1. ( CADRES Q1 ) L'œil est schématisé par un dioptre sphérique de sommet So séparant deux milieux d'indices 1 et 1,34. Ses foyers principaux objet et image sont notés respectivement Fo et F'o. L'image A'rB'r, placée dans le plan de la rétine [R'], est l'image finale obtenue lorsque l'axe de l'œil est

donc sur la rotation de la terre. (obélisque) Une simple règle, l’alidade, que le grec Hipparque muni aussi d' un système de visée, appelée aussi dioptre d’Archimède permet d’évaluer la distance angulaire entre deux astres ou de l'horizon à un astre ainsi hipparque réussit à mesurer le diamètre apparent entre le soleil et la lune avec son dioptre amélioré. La sphère armillaire est un assemblage de plusieurs cercles gradués mobiles et munis d'alidades à pinnules utilisé pour les observations

professeur |TP : Fonctionnement comparé de l’œil et d’un l’appareil photo | L’appareil photo, tout comme l’œil, est un système optique complexe qui comprend plusieurs dioptres optiques. I- Modélisation : L’œil ( objectif ; ( lame semi réfléchissante ;( pellicule ; ( boîtier ; ( diaphragme ; ( lentille ; ( prisme ; ( viseur. Dans une approche simplifiée, on modélise les deux

sécrètent les larmes à partir du sang qui les alimente. Les larmes sont composées d'eau ( 98%), de sel (78g/L), de protéines, de glucose, d'oxygène, de dioxyde de carbone, de lysozyme. Le rôle des larmes est de lubrifier la cornée (pour avoir un bon dioptre oculaire, pour avoir une vision de bonne qualité), de la nourrir, de nettoyer la cornée par élimination des déchets et de défendre la cornée contre les infections grâce à la présence de lysozyme. Les larmes sécrétées par la glande lacrymale principale