Diphtongue

Commentaire de Demain, dès l’aubeVictor Hugo publie son recueil, intitulé Les Contemplations, constitué de 158 poèmes rassemblés en 6 livres, y compris Demain, dès l’aube, pendant son exil en 1856. Un poème en même temps lyrique et pathétique, portant pour thème le pèlerinage à la tombe de sa fille Léopoldine, morte noyée avec son mari dans la Seine. Ce poème est une ode à l'amour et la souffrance. Est-ce que la souffrance est aimer ou l'amour souffrir? Dans un premier temps nous allons voir l’amour

l’extérieur, ce qui leur donne plus de volume. 1/ La robotisation Elle est évoquée à travers les vers 1 (« automatiques ») ,3 (« règle le mouvement ») et 6 (« entêtement »). Le poète suggère le brouhaha de fond (grâce au « m » et aux diphtongues sourdes) et les éclats brutaux grâce aux sons « t » « c » (qui sont des explosives). On note des gestes rituels (que soulignent le rythme et les rimes plates).  Le verbe « règlent » (v.3) connote l’absence de créativité et d’initiative

caduc » → se prononce devant une consonne → s’élide devant une autre voyelle, en fin de vers ou parfois devant un « h » « Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercl(e) » (Baudelaire) « Je me dis seulement : A cette heure, en ce lieu » Diphtongue → diérèse : allongemement d’une syllabe → synérèse : contraction s’une syllabe « Vous, mon ange et ma passion ! » (Baudelaire) → alexandrin : pas-si-on « Mais cestrui-là, Morel, n’est pas mauvais ouvrier » (Du Bellay) → alexandrin : ou-vrier

« e caduc » → se prononce devant une consonne → s’élide devant une autre voyelle, en fin de vers ou parfois devant un « h » « Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercl(e) » (Baudelaire) « Je me dis seulement : A cette heure, en ce lieu » Diphtongue → diérèse : allongemement d’une syllabe → synérèse : contraction s’une syllabe « Vous, mon ange et ma passion ! » (Baudelaire) → alexandrin : pas-si-on « Mais cestrui-là, Morel, n’est pas mauvais ouvrier » (Du Bellay) → alexandrin : ou-vrier Rythme

d’une progression calme, régulière - idée que l’on retrouve dans l’emploi du verbe « procéder » (v. 4) : « s’avancer d’une marche égale » (sens latin). L’adjectif « muets » (v. 4) mis en relief par la diérèse (dissociation des deux éléments de la diphtongue UE) reprend « lente­ment » et annonce « retenus » (v. 6) : le retour de la femme n’est pas précipité. Quant à « glacés » (v. 4), il s’explique par « pieds nus » (v. 8). Dans la strophe III, le narrateur imagine ensuite (« Si », v. 9) que cette

                                      Hugo Vers 1 et 3 : rimes féminines, 3 phonèmes (a-v-i)     -> rimes richesVers 2 et 4 : rimes masculines, 1 phonème (i)     -> rimes pauvres Diérèse et synérèse :On parle de diérèse et la synérèse en cas de diphtongue (collusion de deux voyelles distinctes).- On fait la diérèse lorsqu'on prononce distinctement les deux sons des voyelles, prononçant ainsi deux syllabes.- On fait la synérèse lorsqu'on ne prononce pas distinctement les deux sons des voyelles, ne

de l'initiale d'un mot : aphérèse suppression d'une partie intérieure du mot : syncope suppression du e muet final d'un mot : élision suppression de la partie finale d'un mot : apocope dissociation des éléments d'une diphtongue : diérèse déplacement de lettres ou de sons : métathèse prononciation groupant en une seule syllabe deux voyelles contiguës d'un même mot :(en grammaire grecque, on dit crase) synérèse Le rythme Essentiel, le rythme du vers

empêche la confusion entre homographes. Dialecte: Forme régionale, nettement distincte, d’une langue. Diglossie: Situation linguistique d’un groupe humain qui pratique deux langues en leur accordant des statuts hiérarchiquement différents. Diphtongues: Voyelle qui change de timbre en cours d’émission. Double articulation : La double articulation du langage, axiome de base de la théorie d’André Martinet, signifie que les énoncés linguistiques sont articulés, c’est-à-dire construits avec des

nasales 9.classification des phonèmes : -les consonnes orales occlusives, -les consonnes orales constrictives, -les semi-voyelles ou semi-consonnes, -les consonnes nasales. 10.d'autres phénomènes accoustiques : les affriquées, les diphtongues, les géminées... 11.la syntaxe de Martinet, présentation générale. Introduction aux grandes questions de la linguistique comme une discipline de sciences humaines. La double articulation comme caractère spécifique au langage. :

rire (Henri Bergson => le rire et dc capacité à exprimer les émotions= le propre de l'homme). Nous marchons sur deux pieds et avons un langage articulé ; nous avons un larynx qui a basculé ce qui ns permet d'avoir un langage articulé avec des diphtongues. Cela fait-il de nous des humains au sens d’Aristote cela a peu d’intérêt si ce langage articulé ne devient pas parole de savoir et de décision du juste bien, du dikaion du dire le droit qui se confond avec le juste ? 3. La Cité (polis) et la