Diphtongue

pluriel « des lyres » (v. 13) peut faire écho aux « délires » de la dérive poétique – et l’emploi de rimes insolites : « trou »/ « frou-frou » (v. 5 et 8), « fantastiques »/ »élastiques » (v. 12-13). Le hiatus (juxtaposition deux voyelles ou diphtongues) du vers 2 (« paletot aussi »), désagréable et laid à l’oreille, est sans doute volontaire et participe au mélange du noble et du trivial. C – Une fantaisie Le poème est sous-titré : « fantaisie ». La fantaisie se définit comme une œuvre originale

précédemment. Vers 3 : «Se lever matin» est une formule archaïque dont la rapidité suggère l’ardeur du début de la journée Vers 4 : ardeur contredite par «désoeuvrés, incertains», l’appesantissement étant renforcé par la rime intérieure : «eux - oeu», diphtongues qui allongent et amollissent le vers. Toute cette journée, «matin, soir», est symbolique de toute une vie, qui, à sa fin, se révèle vide, inutile. Vers 5 : La vie de l’être humain en général est devenue la vie du poète, mais il en est séparé par

billet de rupture qu’a reçu l’amoureux ou un texte que le poète a tenté d’écrire, l’un ou l’autre étant rejetés avec rage et déception. Et cela dans un vers où le sens est renforcé par le redoublement des sonorités : les cinq «k» durs, les quatre diphtongues sourdes. Deuxième strophe Au premier vers, à la «bonté» de l’«ange», le poète oppose sa «haine», qui est décrite dans les trois vers suivants. On peut penser que cette haine est celle qui fut suscitée par Jeanne Duval, sa liaison orageuse avec

fin des vers alors que les rimes masculines ne se terminent jamais avec « e ». Alors qu’il n’y a dans ce poème que peu d’hiatus (soulignés), nous observons de multiples exemples exposant les « e » élidés car ils sont suivis d’une autre voyelle, diphtongue ou « h » aspiré (en gras). Il n’y a dans ce poème qu’une seule diérèse au v18 (en rouge), qui stipule clairement le rôle du poète à joindre les éléments célestes au terrestres et le macrocosme au microcosme . Les figures de style qui m’ont le plus

le pluriel « des lyres » (v. 13) peut faire écho aux « délires » de la dérive poétique – et l’emploi de rimes insolites : « trou »/ « frou-frou » (v. 5 et 8), « fantastiques »/ »élastiques » (v. 12-13). Le hiatus (juxtaposition deux voyelles ou diphtongues) du vers 2 (« paletot aussi »), désagréable et laid à l’oreille, est sans doute volontaire et participe au mélange du noble et du trivial. C – Une fantaisie Le poème est sous-titré : « fantaisie ». La fantaisie se définit comme une œuvre originale

des cordes vocales (pas de fermeture). L’air passe sans entraves. Les consonnes sont sourdes. Il y a obstacle (fermeture complète ou friction/constriction). Un ou plusieurs points dans la cavité buccale. Le Fr ne connait pas les voyelles à diphtongue. /t/ sourde, pas de vibration/d/ sonore, vibration/n/ nasale Allomorphe : Il va Nous allons Elle va Car du même mot, ALLER Aucuns des organes n’a été créé pour l’articulation.Appareil phonatoire :a) Diaphragme b) Poumons c) Trachée d) Larynxe)

fin des vers alors que les rimes masculines ne se terminent jamais avec « e ». Alors qu’il n’y a dans ce poème que peu d’hiatus (soulignés), nous observons de multiples exemples exposant les « e » élidés car ils sont suivis d’une autre voyelle, diphtongue ou « h » aspiré (en gras). Il n’y a dans ce poème qu’une seule diérèse au v18 (en rouge), qui stipule clairement le rôle du poète à joindre les éléments célestes au terrestres et le macrocosme au microcosme . Les figures de style qui m’ont le plus

vers lequel tend (➙) la - le modification corrective de l'enseignant. la boîte carrée (ou rectangulaire) indique que le contenu est une erreur/faute/incorrection par rapport au modèle/ son-cible: ainsi le [e] final de «épée» incorrectement diphtongué et prononcé phone ou hispanophone e°È par un apprenant anglo- Fiches correctives des sons du français 11 ____________________________________________________________ ≠ différent de, opposé phonologiquement à : /y ≠ u / comme

personnages soit sur son milieu ou soit sur son éducation ou autre. Toujours dans le mouvement du joual, donnons un autre exemple : « Je l’emmenai à Montréal pour faîter [sic] ça, […][6] ». Le signifiant [faite] renvoie indéniablement à une diphtongue typique à la langue parlée au Québec. Alors que le mot devrait s’écrire « fêter » et se prononcer [fete] en se référant à l’autorité linguistique française, Ducharme en transforme l’orthographe de manière à ce que le lecteur lise et entende la distinction

l’espagnol (Día ) Méthodologie : La formation des mots en espagnol e Objectifs linguistiques Le présent de l’indicatif : – les verbes réguliers et irréguliers p. 21, Index grammatical p. 208 n°1, 2 – les verbes à diphtongue et à alternance p. 26, Index grammatical p. 219 n°1 La numération p. 21, Index grammatical p. 211 n°2 Le comparatif p. 22, Index grammatical p. 199 Le tutoiement et le vouvoiement p. 24, Index grammatical p. 218 Les pronoms personnels