Diphtongue

(vers 2), danse (vers 2), aurole et berceau (vers 3). Lapposition du vers 2, Un rond de danse ou de douceur, qui rend les mouvements des yeux mobiles et vifs, aprs le dynamisme du son r, rend londoiement de la courbe des yeux par la succession des diphtongues et des d. Ds le premier vers, un paralllisme de construction met en valeur la symtrie des adjectifs tes et mon tous deux sont respectivement complments de dtermination des noms courbe et tour, que rapproche une assonance en ou tous deux introduisent

deux premiers mots, l’abondance de la liquide [r], ces redites en fait, participent à cette incarnation de l’Identité du poète. Le rythme n’est pas de reste : première mesure : 1 syllabe, deuxième mesure : 2, troisième : 3, avec l’ouverture de la diphtongue finale, comme un cri de victoire : la quête du moi a été accomplie. Ici, le pseudonyme devient, par la transmutation poétique, la véritable identité : son pseudonyme littéraire : Guillaume Apollinaire se dégage comme une vérité absolue (donc détachée)

au vers 2. En ce qui concerne la versification - la dirse de ladditif allonge le rythme. - le grand nombre de e muets prononcs pour la versification allongent les mots ce qui ralentit encore le rythme. - le premier quatrain comporte beaucoup de diphtongues nasales, ce qui donne une sonorit alourdie lensemble. - on retrouve de nombreuses allitrations en s qui donnent limpression dun glissement discret. Tous ces procds contribuent mettre en place attente. b) 4 tapes (4 quatrains) - le premier quatrain

écrire le Sindarin, nous ne devons pas nous en inquiéter trop. En Sindarin, y compte aussi pour une voyelle (et est écrit avec un tehta) : il est représenté par ¨. Pour les diphtongues en Sindarin (qui sont ai, ei, ui, ae et au ; toute autre combinaison de voyelles représente deux sons distincts et n’est pas une diphtongue) on utilise la convention suivante : la première voyelle est écrite comme un tetha, mais la seconde est représentée par un tengwa. Pour ceci on utilise h pour i, l

pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s’ennuie O le chant de la pluie ! » (Verlaine) « Je revis ces campagnes où j’entendis si souvent siffler la grive » (Chateaubriand) L’assonance est la reprise de la même voyelle ou de la même diphtongue dans des mots, expressions, ou phrases proches. Les assonances suggèrent généralement un bruit (par harmonie imitative) ainsi qu’un sentiment : - Assonance majeure en [ø / œ ] attachée à la description lyrique, aux bruits ( la pluie / les pleurs

européennes et le latin n'a eu qu'une influence mineure, « bien que l'emprunt du vocabulaire latin soit important depuis le 14ème siècle ». Les caractéristiques exotiques de l'ancien français, comme un fort accent de stress et l'utilisation abondante de diphtongues et de voyelles nasales, sont souvent attribuées aux envahisseurs germaniques francs, mais au 15e siècle, la langue avait commencé à changer, et une intonation sobre « voire monotone » et la perte de l'accent de stress étaient devenues la norme.

retrouvent dans d’autres mots importants dans le poème « QueLLe » au v. 3, « Langueur » au v.3, « nuLLe » au v11 .Le R qui est aussi une liquide « pleuRe », « cœuR », »par teRRe », « Raison » insiste aussi sur cette impression de fluidité.De plus , la diphtongue ( groupe de deux sons) « ui » présent dans le mot « pluie » se retrouve dans le mot « brUIt »au v. 5 et le mot « ennUI » au v7. Cette ressemblance de sons fait que le lecteur garde en tête l’idée de pluie. Enfin les mots courts souvent d’une seule

« …qui se mettent à geindre opiniâtrement » + Diérèse de opini-âtrement pour marquer la douleur, le caractère insupportable. Diérèse = Division d’une diphtongue en deux syllabes ( Synérèse = Réunion en une Syllabe de deux voyelles qui se suivent dans un mot. ( 5e Strophe : ( Conséquence suprême = échec. Aboutissement causes/conséquences après une

peut montrer ainsi des habitudes. Il ne faut donc pas que la correction phonétique (l'orthophonie) se réduise uniquement à l'orthoépie. Le fait de prononcer la voyelle finale du mot " épais " avec un [e] ou un [E] n'empêche pas un anglophone de diphtonguer. Les règles d'orthoépie sont donc inopérantes et surtout inutiles pour les étudiants débutants voire moyens, mais il faut y avoir recours avec les étudiants qui maîtrisent déjà en grande partie le système oral et écrit de la langue. Dans un premier

genre poétique = association architecture / éléments naturels puissants et destructeurs III. Blâme de New York A. Une ville effrayante Paysages apocalyptiques : traversée du désert pour l’auteur Phénomène inquiétant : phrases nominales, négations, diphtongue en « en » + «ou » -> impression désagréable Feu Follets 15 + métaphore finale B. Une ville sans homme No man’s land : anaphore « pas un » Aseptisation physique Elimination des fluides corporels: sans sueur ni odeur Elimination du contact peau à