Discours De Gaulle 31 Janvier 1964

septembre Ouverture du congrès socialiste international à Paris. 1 décembre Ouverture du barreau aux femmes. 14 décembre Loi supprimant la messe du Saint-Esprit dans les écoles et tribunaux. 28 décembre Loi d'amnistie sur l'affaire Dreyfus. 1901 22 janvier Mort de la reine Victoria, Edouard VII lui succède. 6 mai Reprise du travail à Montceau-les-Mines après 700 jours de grève. 10 mai Troubles en Nouvelle-Calédonie. 1 juillet Loi sur les associations à but non lucratif. 1902 5 février Réduction

premier responsable national.” énonce le Général de Gaulle lors de sa conférence de presse du 31 janvier 1964, ce qui a définitivement permis de le mettre à cette place. Nous pouvons également rappeler que le titre II de la Constitution est consacré au Président de la République ce qui illustre fondamentalement la présidentalisation du régime. La constitution de 1958, conformément au souhait exprimé par le Général de Gaulle depuis son célèbre discours de Bayeux de 1946, met le Président de la République

- indépendance de la justice (gouvernement des juges) ? B°/ Les crises de la III et IV ème République • l’instabilité constitutionnelle de la III république, La crise de 1877 : Les élections sénatoriales du 30 janvier 1876 donnent une très légère majorité à la droite : la victoire échappe de peu aux républicains qui remportent 149 sièges (84 pour le centre gauche, 50 pour la gauche, et 15 pour les radicaux) contre 151 à la droite (98 pour le centre droit orléaniste

François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac (Charente) et mort le 8 janvier 1996 à Paris, est un homme d'État français. Fonctionnaire sous le Régime de Vichy, puis résistant, il est onze fois ministre sous la IVe République. Opposé au retour du général de Gaulle, il affronte celui-ci au second tour de l'élection présidentielle de 1965, qu'il perd. Il devient premier secrétaire du jeune Parti socialiste en 1971. Candidat de l'Union de la gauche à la présidentielle de 1974, il est battu

4 novembre 1848 République démocratique 10 décembre 1848 : élection au suffrage universel direct masculin de Louis-Napoléon Bonaparte à la Présidence de la République 2 décembre 1851 : Coup d’État du Président de la République Constitution du 14 janvier 1852 République autoritaire et plébiscitaire puis Second Empire 2 décembre 1852 : rétablissement de l’Empire héréditaire À partir de 1860 : libéralisation progressive du régime 2 septembre 1870 : Défaite de Sedan 4 septembre 1870 Gouvernement de défense

deuxième examinera que cette légitimité au départ constitutionnelle peut être très variable en fait. I/ Une légitimité effectivement prévue par la constitution La Constitution de la cinquième République a été dirigée certes par le général de Gaulle entre autres, mais l’auteur juridique de la Constitution reste le peuple et non pas les rédacteurs, puisqu’il s’est prononcé par référendum sur l’acceptation du texte. Si l’auteur de la Constitution est bien le peuple, ce dernier a donc légitimé

fondateur et statut juridique de la Ve République. Texte constitutionnel présenté par le gouvernement du Général de Gaulle dont la rédaction s’est déroulée démocratiquement, le peuple français l’ayant adopté par référendum constituant le 28 septembre 1958, en devenant ainsi juridiquement l’auteur de la Constitution. Bien qu’il s’agisse d’une œuvre collective rédigée par le Général de Gaulle, assisté principalement par le garde des Sceaux Michel Debré, ainsi que par d’autres ministres d’Etat de la Ve République

Max Gallo . Max Gallo | | Max Gallo au Salon du Livre de Paris le 14 mars 2009 | | Naissance | 7 janvier 1932 (1932-01-07) (78 ans) Nice | Profession(s) | Écrivain Historien Homme politique | Conjoint(s) | Marielle Boullier | Max Gallo (né le 7 janvier 1932 à Nice), est un écrivain, historien et homme politique français. Il est membre de l'Académie française depuis le 31 mai 2007, au fauteuil 24. Écrivain à succès et fécond, il a publié un grand nombre d'œuvres, souvent à fort

Président est au dessus de ce conflit, de par son rôle de neutralité. Si il s’immisce dans le jeu politique des majorités, il perd son rôle d’arbitre neutre et devient un homme politique au même statut que les députés par exemple. Dans son discours du 27 janvier 1978 a Verdun, Valéry Giscard d’Estaing annonce que le Président de la République est « a la fois arbitre et responsable ». Selon lui le Président ne doit pas être « un spectateur muet ». Il se considère « comme [un] arbitre ». Le Président

consistant à «inaugurer les chrysanthèmes» et ne disposant d’aucun pouvoir affranchi de contreseing), les Constituants de 1958 décidèrent d’instaurer un exécutif bicéphale fort, composé d’un Président de la République «clé de voûte des institutions» (discours de Michel Debré devant le Conseil d’Etat le 27 août 1958) et d’un Gouvernement comportant à sa tête un Premier ministre Primus inter pares, chargé de la conduite et de la mise en œuvre de la politique nationale. Cette consécration constitutionnelle