Discours de haine

présent : « cela passe vite onze ans » (v.3) -> c’est le moment de l’écriture du poème qui renvoie à l’année de l’exécution -fatalité de la guerre -> référence à la 2GM ->« allemand » (v.20), « couvre-feu » (v.13) => les variations de modalités de discours et de temps donnent l’impression que le poète s’efforce de rendre compte de la réalité, c.à.d de cette condamnation injuste. Il est à la fois celui qui raconte ce qu’il s’est passé, mais aussi celui qui se rappelle et qui rappelle aux lecteurs les

également de la haine de Clytemnestre pour Agamemnon (II, 8, v. 309 : « Oui, je le haïssais ») et d’une liaison « politique » (II,7, 225 : « depuis dix ans, notre liaison traîne dans l’indifférence et dans l’oubli » déclare Egisthe) ? Le jardinier ne peut se marier avec Electre. Le mariage est arrangé, donc le jardinier et Electre n’éprouvent pas de passion l’un pour l’autre. Toutefois le jardinier montre qu’il était le seul à avoir de l’affection pour Electre et son discours inspire la pitié

Oreste ne répond pas, il se sent étouffé par elle. Il tente de la questionner sur la haine qu'elle nourrit contre leur mère dont il ignore tout. Durant leur échange, ils se rendent compte que Clytemnestre les observe. Electre en vient à évoquer ses sentiments inégaux envers ses parents : elle hait d'autant plus sa mère qu'elle vénère son père. Elle reconnaît ne pas savoir encore quelle est la source de cette haine, mais elle la sent décupler par l'arrivée de son frère. Oreste, lui, cherche

Elle revit son amour pour son mari par le fils. On comprend ainsi le côté insoluble de ce dilemme. Le texte prend deux arguments majeurs. D'un côté la cruauté de Pyrrhus qui a été sans bornes et qui ne laisse place à aucun autre sentiment hormis la haine et de l'autre l'amour maternel et conjugal réunis dans la figure de Astyanax. Le premier argument est longuement développé, il réside dans un passé revécu au moment où il est raconté, le second n'a même pas besoin d'être développé pour être percutant

Polynice pourrissant - rappel de la guerre civile Etude de l’Episode II I] Un agôn sans concession - étude de l’argumentation d’Antigone - étude de l’argumentation de Créon - la force de la transgression II] Deux folies intransigeantes - haine de Créon pour un cadavre - Antigone jusqu’à la mort pour un principe - commentaire du philosophe Hegel (droit de la cité et droit familial) III] L’instant tragique - Des héros seuls dans une cité désertée des dieux, analyse nietzschéenne, le surhomme

là-haut, je me sens tout autre. Dominant les toits bleus de La Belle Angerie et uniquement dominé par les vents d’ouest ou les ramiers8 qui tournent longuement autour de leurs nids, je me détache de ma vie. […] Que ce soit l’amour ou que ce soit la haine, comme je suis bien lavé de vent ! Comme je suis infiniment pur ! 25 Je fais le point. Tu n’es pas ce que tu veux, mais tu seras ce que tu voudras. […] Tu es né Rezeau, mais tu ne le resteras pas. Tu n’accepteras pas le handicap que tu sens sans

omniprésente, dans des systèmes où la mise en scène et l'usage de la violence dominent. En fait, si leurs idéologies se distinguent sur plusieurs points, elles ont en commun une haine de la démocratie et un mépris total de la dignité humaine. il n’en demeure pas moins qu’elles ont un point en commun : leur haine de la démocratie libérale et de l’ordre qu’elle a établi. En somme, deux systèmes aux idéologies complètement différentes, voire même antagonistes, en arrivent à produire des régimes

Kant, dans sa Fondation de la métaphysique des mœurs, met cette haine de la raison en lien avec l'incapacité qu'a cette dernière de mener l'homme au bonheur. Les hommes qui cultivent la raison et la réflexion (les intellectuels) en viennent en effet à envier les hommes conduits par leurs seuls instincts (les gens simples), qui semblent accéder à un bonheur que la raison ne permettra jamais d'atteindre : « Plus une raison cultivée s'occupe de poursuivre la jouissance de la vie et du bonheur, plus

peuple. Cet exil à Jersey (1852/1855) se prolongera du côté de Guernesey jusqu'en 1870 et l'effondrement du régime de « Napoléon le petit ». Ce détail souligne toute la combativité d'un Hugo capable de rester hors de sa patrie pendant 18 années par haine du despotisme. Aussi, Les châtiments se ressentent de toute cette hargne et cette énergie satirique. Le recueil est subdivisé en 7 livres encadrés par les poèmes « Nox » (Nuit) et « Lux » (Lumière). Ces livres reprennent avec une ironie dévastatrice

des femmes à la vie économique et politique des pays en voie de développement, ainsi améliorer la condition des femmes à travers le monde. Elle doit prendre une place importante dans la politique pour quelle puisse être entendu. Emma Watson fait un discours ou elle insiste sur le fait que l’égalité des sexes et un problème qui concerne aussi les hommes et pas que les femmes. · Ensuite il y a le problème de la signification du terme « féminisme » qui n’est pas reconnue. Ce terme à était pendant des