Discours de haine

se sent trahit par le genre humain v26-27: hait tellement le genre humain qu'il serait capable de le fuir Atrabilaire : v13 : « sales emplois » : jugement v16-17 : « honteux », misérable : il s'indigne v24 : « têtebleu» Ce qui le pousse à cette haine, c'est l'hypocrisie qu'il dénonce à travers son réquisitoire. B. La dénonciation de l'hypocrisie. → « franc scérélat » v7 : traitre v8 : arrive à lire à travers le masque de l'hypocrisie champ lexical trahison : « scérélat, traitre, fourbe, infame »

d'une discussion auteur du sens donné par ces philosophes à l'Amitié, l'Amour, la Haine, la Lutte, la Justice, la Loi, au Moi et au Toi, à la Nécessité, à la Parole-récit et au Discours-argument et à la Raison comme au Savoir, au Monde-ordre, au Tout et à l'Un... que peut se dégager une certaine idée des différents débats qui agitent l'Antiquité et qui agitent aussi notre monde.     L'Amitié, l'Amour et la Haine et la Lutte voient leur statut théorique promu d'abord par des auteurs tels que PARMÉNIDE

sentiments comme la passion (ici amoureuse). Elle est ici traduite par un discours véhément empli de haine à l’égard de Rome et d’un frère meurtrier. Camille exprime sa haine envers son frère en laissant parler son amour pour Curiace, « Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! ». La haine de Camille envers Rome provient du fait que la cité honore le meurtrier de son amant, il y a autant d’amour pour Curiace que de haine pour son frère dans son cœur, quel que soit leur lien de sang. Le comportement

Volonté de faire accepter Dieu et la repentance à M. génère une confrontation, car les deux personnages sont en totale contradiction, M. est seul, il met une distance entre lui et l'autre. Il rapporte ce que fait l'aumônier, au discours indirect, pas de discours direct, il reste observateur, passif. Dans un premier temps. Il rejette l'hypothèse religieuse qui correspond à l'espoir: l'homme est voulu par D et Guidé par D Alors que M. est guidé par le non sens, donc, l'idée MM de D est

Le discours de Suède – Albert Camus Traitement du texte : - Etablir le plan du texte. - Quelle conception du métier d'écrivain Camus expose-t-il dans ce texte ? - Quel programme propose t-il à sa génération ? - Relever et commenter les mots clefs du texte. - Etablir des rapprochements entre La Peste et le discours de Suède (le discours illustre la Peste, même combat). Le rôle de l'art et de l'écrivain dans la société Albert Camus reçoit le Nobel en 1957 et c'est le 10 décembre qu'il prononce

qu’est réellement l’antisémitisme, il en donne d’ailleurs la définition dès le début du livre, dans son premier paragraphe. (lecture Adrien) Etat passionnel : Il essaye ensuite d’analyser les comportements, et qu’est ce qui les pousse vers cette haine du juif. Il cite d’ailleurs à plusieurs reprise que ce n’est pas le juif en lui-même qui dérange, mais l’idée que l’on a de lui. Exemple ; « Ce n’est pas le caractère juif qui provoque l’antisémitisme mais, au contraire, que c’est l’antisémitisme

médecins, la mère Pegg, le rat, la puce Conclusion: Le roi de cette partie II. Un symbole de la condition humaine a) Un personnage qui souffre: souffrance physique (aveugle, paralysé), déchéance, vieillesse et maladie (double plus jeune de Nagg?), haine de soi et des autres b) Roi sans divertissements c) Un comédien: le clown, toujours placé au centre, personnage principal, 3 longues tirades 6)En quoi le personnage de Clov révèle-t-il les dyfonctionnement d'un spectacle théâtral qui s'étiole

intérieur comme discours délibératif Lectures analytiques CORNEILLE, Cinna, 1642. Acte I- scène 1. v.1-52 Acte III- scène 1. v.709-756 Acte III- scène 3. v. 865-905 Acte IV- scène 3. v.1195-1244 Acte V- scène 3. v.1693-1732 Lectures complémentaires Un héros tragique Etude d'un personnage par le discours, le sien et celui des autres Les principes de la tragédie Abbé d’Aubignac, La Pratique du théâtre, 1657. Corneille, Discours de l’utilité

Commentaire Céline Plan : I. La vision des africains d'un colonial européen A. Une haine compulsive… B. ... Basée sur un racisme immuable II. Une critique de cette attitude A. Un blâme des nègres B. Qui vivent dans un environnement peu accueillant En 1932, Louis-Ferdinand Céline

contexte et dans un domaine où la recherche historique rencontrait des enjeux qui la dépassaient largement (la question de l’article 231 du traité de Versailles et de l’éventuelle révision de ce dernier), Pierre Renouvin prenait aussi le contre-pied du discours des pacifistes français, même s’il tenait à garder ses distances vis-à-vis de la polémique. Le contraste est par exemple frappant entre sa manière d'aborder les débats historiques sur la Grande Guerre et celle de Jules Isaac, autre historien du