Discours De Leon Gambetta

parlementaire sont dès 1870 des éléments de discussion. I. La 3e République : la fondation de la République parlementaire Le 2 septembre 1870, la France perd à Sedan une bataille et la guerre. Le second empire s’effondre. Le 4 septembre à Paris, Léon Gambetta proclame la république pour la 3e fois et organise un gouvernement révolutionnaire de défense nationale dirigée par le général Trochut. En janvier 1871, le gouvernement révolutionnaire signe l’armistice avec Bismark. Le 8 février 1871, des élections

Jules Simon. Quelques semaines plus tard le 26 juin Mac Mahon dissout la chambre des députés. Des élections sont alors organisés. En oct. 1877 les élections donnent une large majorité à la gauche : Mac Mahon se trouve dans une position difficile Gambetta a dit «  Lorsque le peuple aura parlé il faudra Mac Mahon se soumettre ou se démettre ». Finalement il se soumet en appelant un président du conseil de Gauche et un an plus tard le 30 janv. 1879 il démissionne. Il faut élire un nouveau président

c’est fait de façon empirique, les députés useront de trois moyens pour mettre en cause le gouvernement : - L’adresse en réponse du discours du trône : Lorsqu’il y a une cession, c’est le Roi qui l’ouvre solennellement en prononçant « le discours du trône ». En réponse, les députés ont le droit de discuter et de voter une adresse qui est une réponse au discours. Ils se servent de cette adresse pour critiquer le gouvernement en place. - On attribue à chaque député un droit de pétition. Les

Individualité, subjectivité, humanité se gagnent ensemble, du dedans, par la liberté vis-à-vis de ce qui vous détermine"[7]. Il reste que ce modèle semble aujourd’hui ne plus inspirer les politiques publiques sous l'effet du développement d'un discours et de pratiques relevant : - du communautarisme au sens d'une tendance à l'institutionnalisation des identités collectives par le biais d’associations représentatives (homosexuels, jeunes, femmes, etc, ...), favorisant une fragmentation de l’imaginaire

synonyme de démocratie. Au 18ème siècle, on oppose les 2 termes : démocratie : gouvernement direct d’un petit nombre issu du peuple (par opposition à l’aristocratie) ceci par opposition au gouvernement représentatif qui est celui de tous. Cf. le discours de Sieyès le 16 septembre 1789. Il oppose les 2 et montre que la dictature du petit nombre est contenue dans la démocratie Il faut donc un gouvernement représentatif, avec des élus, indépendants et guidés par l’intérêt général. Ils doivent s’abstraire

Londres en 1662, Académie française en 1635, Ponts et Chaussées en 1747, Ecole du Génie en 1749, les Mines en 1789 … 11 « Bildung durch Wissenschaft » : la formation par le savoir 12 A rapprocher de la conception républicaine de l’Education de Léon Gambetta, qui l’imagine comme « l’éducation du suffrage universel » 8 Guillaume Sylvestre, mémoire portant sur l’Europe de l’Education, M1 Etudes Européennes c) Pour ou contre la professionnalisation ? A l’aube du 20ème siècle, le débat sur l’intérêt

devient le véritable pouvoir politique. Le devoir civique se constitue qui pousse chacun à devoir avoir des convictions, cela pour appréhender préférence. Cette qualification morale du geste de vote est liée aux propriétés de la technique elle-même. Léon Marlin (historien) a restitué la variété des techniques délibératrices de l'Europe médiévale et moderne : Le « concordie selectione » ou « vote par compromis » : Pendant longtemps, les assemblées ecclésiales ont pratiqué le vote plutôt que l'élection

constituant est le peuple souverain, le roi étant un organe constitué. Les travaux de la constitution aboutissent à une constitution libérale : elle tend à restreindre et contrôler la puissance publique. Le constitutionnalisme se pare d'un discours selon lequel il est souhaitable de posséder une constitution présentant plusieurs caractères : être écrite, révéler une séparation des pouvoirs, être supérieur à la loi ordinaire. Il s'agit, pour ce faire, de fixer les principes les plus importants

interventionnistes. Cette opposition est évidemment une opposition récurrente et se retrouve aujourd’hui. Cette opposition, en droit administratif, se formalise fin 19ème, début 20ème. Maurice Hauriou (1856 – 1929) doyen de la Fac de Toulouse 1906 - 1926 Léon Duguit (1859-1922) Doyen de la Fac de Bordeaux de 1919 à 1928 Autres : Gaston Jèze, Louis Roland. Intitulés (opposition entre l’école de… et) Ecole de Toulouse, Ecole de Bordeaux école de la puissance publique Ecole du service public

interventionnistes. Cette opposition est évidemment une opposition récurrente et se retrouve aujourd’hui. Cette opposition, en droit administratif, se formalise fin 19ème, début 20ème. Maurice Hauriou (1856 – 1929) doyen de la Fac de Toulouse 1906 - 1926 Léon Duguit (1859-1922) Doyen de la Fac de Bordeaux de 1919 à 1928 Autres : Gaston Jèze, Louis Roland. Intitulés (opposition entre l’école de… et) Ecole de Toulouse, école de la puissance publique Ecole de Bordeaux Ecole du service public Ecole sociologique