Discours De Pierre Mendes

mars : Churchill dénonce le rideau de fer qui sépare l’Europe en 2 1947 : Kominform, organisation qui contrôle tous les régimes communiste et qui obéissent à Moscou. 1947 : Jdanov formule la théorie des blocs, doctrine Jdanov 1947 : Truman fait un discours qui donne naissance a la doctrine Truman, c’est le plan Marshall 1948-1949 : blocus de Berlin par les russes, les E.U font alors un pont aérien pour alimenter Berlin-ouest pendant 1 an. 1949 : L’OTAN (organisation du traité de l’atlantique nord)

volonté de revenir à la « Constitution Grévy », qui est un régime parlementaire moniste se rapprochant fortement du régime d’Assemblée, c’est-à-dire où le pouvoir législatif est dominant sur le pouvoir exécutif. De Gaulle critique se système dans son discours de Bayeux jugeant « démesurés » les pouvoirs accordés à l’organe législatif par rapport à celui de l’exécutif. Le projet a été rejeté par referendum et en Mai 1946 on adopte le deuxième projet qui va se traduire par un régime parlementaire rationalisé

droite et son évolution. # En 1958, aux élections législatives UNR obtient 20% des suffrages. Il devient donc le partie prédominant de la droite. UNR par son discours unitaire n'arrive pas à convertir les parties de gauches qui reste toujours ancrés dans leur parti. « DROITE GAULLISTE » étatiste #Extrême droite assez puissante, 19,5% discours très antisémite, anti-fiscale ... (Annexe Poujade en 58) Elle soutient l'OAS, qui a marqué énormément les français par leurs attentats. #Centre National

1958, le général De Gaulle plaide pour un projet de constitution pour la Vème république, puisqu'il est à l'époque président du conseil de la IV è république, et qu'il va demander aux français d'adopter à l'occasion du référendum (lire le texte). Ce discours est composé en deux temps. D'abord, De Gaulle enracine le projet de constitution dans l'histoire constitutionnelle française en marquant son attachement au maintien, à la pérennisation de ce qu'il appelle le « patrimoine républicain français ». Il

l’été, le projet de nouvelle constitution a été présenté par le général de Gaulle dans un discours prononcé place de la République à Paris, le 4 Septembre 1958, jour anniversaire de la proclamation, en 1870, de la 3ème République. Le 28 Septembre, le projet est soumis à référendum. Seuls le Parti Communiste, une minorité de socialistes et quelques personnalités de gauche dont François Mitterrand et Pierre Mendès-France appellent à voter non. L’approbation des Français est « franche et massive » : la

gouvernement modéré » selon lequel tout pouvoir, qui est populaire doit être limité. 4 jeudi 26 mars 2015 • Les conséquences de l’échec du référendum du 27 avril 1969 — Le Sénat aurait dû évoluer, comme le préconisait de Gaulle dès 1946 dans le discours de Bayeux, vers une chambre de représentation des intérêts économiques, sociaux, et territoriaux. Cette volonté de faire évoluer le Sénat en ce sens fut aussi reprise par d’autres hommes politiques, tant à droit qu’à gauche. — Cependant l’échec du

amputant d'un tiers le corps électoral. 10 octobre : affaire du camp de Santory (le gal Neumayer est limogé pour avoir empêché les troupes de crier "Vive l'empereur") 1851 19 janvier : l'Assemblée désapprouve le gouvernement. 1er juin : discours de Dijon du président excluant un retour à l'Ancien Régime. 19 juillet : l'Assemblée refuse de réviser la Constitution en faveur de la rééligibilité du président. 1er novembre : circulaire Saint-Arnaud, rappelant le devoir d'obéissance passive

chef-d’œuvre de grâce et de pittoresque, c’est autour d’elle que va se faire la concentration de toutes les forces éparses depuis quelques années contre notre mouvement réaliste. C’est un accident tertiaire du romantisme que sentaient bien venir Richepin, Mendès, Bergerat, Banville, d’autres encore, en tentant, depuis un quart de siècle, la grande pièce lyrique et en cherchant le vers comique, sans réaliser le miracle que vient d’accomplir Edmond Rostand”. Pendant ce temps-là, Claudel, né la même année

d'Algérie a été pratiquée sur les populations algérienne et française par les forces coloniales (l'armée française, ses supplétifs harkis, l'OAS, les barbouzes, les forces de police et des colons eux-mêmes) dans des proportions qui, selon l'historien Pierre Vidal-Naquet, concerneraient des centaines de milliers d'Algériens[1] [2]. Elle a aussi été employée à une moindre échelle et de manière non systématique sur des harkis et des Européens par le FLN et l'ALN comme le montrent l'ouvrage "La guerre d'Algérie"

simplement annoncé son refus catégorique d’utiliser le droit de dissolution à l’encontre de la Chambre des députés. Or, ce faisant, il abandonne le seul contrepoids constitutionnel dont dispose le président de la République à l’égard du Parlement. Avce ce discours, il n’est plus question des lois de 1875, mais de ce qu’il convient désormais d’appeler la "constitution Grévy". constitution Grévy ” était née et ouvrait la voie vers la souveraineté parlementaire. En définitive, le peu d'éléments, qui étaient