Discours indirect libre

n'est pas décrit physiquement. Il s'agit là d'une notion qui préfigure le nouveau roman dans laquelle la descritption des protagonistes n'est pas essentielle. L'utilisation de différents discours modernise le style. Le discours direct fait entendre la voix intérieure de Bernard tandis que le discours indirect libre confond la voix du narrateur et celle du personnage (« pas moyen de douter : c'est bien de lui, Bernard, qu'il s'agissait ». Le fait d'indiquer le cadre spatio-temporel uniquement dans

BUTOR, La Modification I) Exploration des états d’âme du héros. 1) Un monologue intérieur / absence d’intrigue. - Les connecteurs logiques Mais l. 9, Alors l. 13, Enfin l. 22 traduisent le cheminement de la pensée du personnage. - discours indirect libre - Les phrases interrogatives traduisent les doutes de Léon. 2)L’analyse d’un sentiment de malaise - champ lexical du mal-être : Ce malaise est tant physique ( l. 13-14 : cette inquiétude qui gêne la circulation de votre sang )que

l’esthétique rabelaisienne mais aussi quelques scènes de peintres flamands, tel Brauwer. 2) La polyphonie Cette impression de réunion, de communion autour de l’oie est renforcée par la polyphonie du texte. La narration est ainsi superposée à du discours indirect libre à un point qu’il est parfois difficile de déterminer qui prend en charge le récit, de qui il émane. Ainsi, Gervaise est peut-être racontée à travers le regard amoureux de Goujet. L’exclamative et l’adverbe initial soulignent le passage au

essentiellement de décrire le monde, mais aussi d’accomplir des actions. III/ 1) 1) convention sociale L’énoncé est réussi si le destinataire reconnait l’intention conventionnellement associée à son énonciation. L’émetteur doit se soumettre aux lois du discours que l’on peut résumer ainsi « n’importe qui ne peut pas dire n’importe quoi, en n’importe quelles circonstances ». III/ 1) 2) décomposition de l’acte de langage Trois activités complémentaires : -acte locutoire (=que dit-il ?) : production d’une

humaine : on y retrouve donc les couches populaires, le prolétariat, la prostitution… 5) Quels sont les procédés d’écriture privilégiés ? Les procédés d’écriture privilégiés sont : le point de vue interne, l’expansion de la description, le discours indirect libre, l’effet de réel. 6) Quels sont les thèmes privilégiés ? L’ascension sociale et la chute, la puissance de l’argent, l’amour et le désenchantement, la misère du peuple 7) Quels ont été les réactions des contemporains devant ces

regarder une femme « les yeux attendris, fixés sur la machine », « elle était bien gentille ». Il utilise également des verbes de perception tels que « entendait-on » afin de donner l’impression au lecteur d’y être. Il utilise également le discours indirect libre pour exprimer le point de vue de Mes-bottes afin Zola utilise un champ lexical technique afin de décrire l’alambic tel que « l’énorme cornue », «ce gros bedon de cuivre », « le bout du serpentin », afin de donner l’impression

vit intérieurement (15). Le narrateur va utiliser le discours indirect libre pour rapporter les pensées de Mme Walter, c'est à dire ce qu'elle se dit à elle-même, elle entre alors dans son monologue intérieur : "Et voila qu'un évêque mariait sa fille, et devant elle !". La ponctuation exclamative traduit la fureur du personnage "Et elle ne pouvait ren dire ?". La ponctuation interrogative marque son exaspération. On trouve aussi du discours direct : "elle ne pouvait pas crier :"Mais il est à moi

comme baigné de lumière : " s’allumaient ", " éclairaient toute la figure de leurs fils d’or ", " figure d’or ", " clarté autour de lui " : allusion à Vulcain, dieu des forgerons. " il devenait beau, tout-puissant, comme un bon Dieu " : discours indirect libre . C’est Gervaise qui pense (d’où la comparaison " comme un bon Dieu " et non " comme un dieu ") Conclusion : Cette évocation de Goujet a donc d’abord une portée argumentative : Zola veut démontrer la valeur du travail manuel (il

ne l'interpelleront pas. 1) Devant ceux qui son pour lui des "héros de chair et d'os", il éprouve tout d'abord un sentiment d'admiration et d'envie qu'exprime l'image "avec des yeux de pauvre" et la double exclamation hyperbolique au discours indirect libre "comme ils étaient forts et rapides! comme ils étaient beaux!" Sartre insiste sur le désir qu'éprouve l'enfant de participer, de partager les jeux des autres. Son humilité est telle qui l'en est a accepter des rôles de moins en moins glorieux

Chamalières-Clermont, Clermont-Paris, Paris-Valenciennes ». Le narrateur anonyme adopte le point de vue de Simon qui est d’économiser la dépense d’un parapluie parce que ce voyage lui a déjà couté chère. Il a acheté « un sandwich à prix d’or ». Par le discours indirect libre qui à pour principale fonction de rapporter les pensées intimes du personnages nous apprenons que l’essentiel dans la vie de Simon est de « casser sa croute, et trouver chaussure à son pied » c’est à dire de manger et d’avoir une compagne