Discours indirect

personnages tels le lion qui incarne la figure du roi : ici un roi féodal puisqu’il réunit un conseil pour solliciter son avis (« Le Lion tint conseil » vers 15). Il prétend vouloir protéger ses vassaux face à l’épidémie de peste. Les premiers vers de son discours (« Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous [..] » vers 16-18) sont des octosyllabes avec des modalisateurs (« crois » vers 16 « peut-être » vers 20) qui montrent une certaine humilité qui se révèle

avec le chapitre 8 de l’Ingénue. Que pouvez-vous en conclure ? __________________________________________ L’extrait est un article de l’Encyclopédie, c’est une définition philosophique du terme refugié. Il s’agit d un discours argumentatif mais à la fois d’un récit polémique. Cette œuvre, a comme thématique, la politique de Louis XIV avec la révocation de l’édit de Nantes qui condamne les protestants à la clandestinité ou l’exil. Cet article dénonce les abus de l’autorité

absence du sérieux ; parodie : imite un genre où un style pour s’en moquer ; caricature : exagération/déformation des défauts ; grotesque : comique de caricature qui imite avec des exagération évidentes, poussés à l’irréel ; la satire : écrit ou discours qui s’attaque à quelqu’un quelque chose en se moquant). Comique verbal / Comique de répétition / Comique de répétition / Comique de gestes / Comique de situation / Comique de caractère. Tragique : Inspire la terreur et la pitié, personnage lutte

Ponctuation forte, point à la fin du vers, qui installe le lecteur dans un univers serein. • V. 2. Réaction brutale sous forme d’alexandrin. - Le discours des jeunes gens est provoqué par un spectacle qu’ils jugent incongru (v. 1). - V. 3. Le narrateur prend implicitement parti en faveur du vieillard : « jouvenceaux ». - V. 4. Discours indirect libre. • V. 5-12 : longue tirade des « jouvenceaux » (8 vers). • V. 13-27 : plus longue tirade du vieillard (15 vers). - V. 13. Vivacité d’esprit

composé de « m’est apparu », « je l’ai reconnu » témoigne de son agilité à se placer en tant que spectateur de la scène qu’il évoque. Le récit est enchâssé, il rapporte les paroles de la reine. Il parvient à convaincre le roi grâce à la sérénité de son discours. On remarque une certaine cruauté de la part des courtisans (« un flatteur l’allât dire »), de la part de la reine (« étranglé ») ainsi que de la part du cerf (« venger ») et du roi (« immolé », « ongle »), de même que son mépris (« chétif hôte

terreur, guerre » - Hyperbole, vocabulaire violent, rimes masculines (fureur, terreur) : dureté b. Variété, diversité : • Versification (rimes embrassées et longueurs irrégulières), accélération • Alternance récit / discours : discours direct aux personnages importants, indirects aux autres c. Des animaux qui font allusion aux Hommes et à leur relation : - Cadre de la scène : procès tribunal (champ lexical de la justice), intervention : plaidoyer, réquisitoire (Prise de parole par ordre hiérarchique

courtisans sont prêts à faire n’importe quoi pour le Roi  extrême servilité. Il faut toujours faire ( et savoir faire ) ce qui plait au Roi. Différents types de discours :  Discours direct réservé au Lion + rythme ternaire, vers 28 : « Que sens-tu ? Dis le moi : parle sans déguiser » + mode impératif  Discours indirect libre : vers 23/24  Discours narrativisé : résume les paroles des animaux ( moins importantes que celles du Lion ). Temps des verbes :  Passé simple = volonté soudaine  Imparfait :

description chronologique A partir d’un point fixe, un élément ou personnage est décrit dans la durée et donc à travers ses transformations. Types et formes de phrases, le nom et ses expansions, formes du discours rapporté : La phrase simple et la phrase complexe : Dans une phrase simple il n’y a qu’un seul verbe conjugué alors que dans une phrase complexe il y en a au moins deux. Les types de phrases Déclarative Interrogatives Impérative Exclamative

mystérieux et étrange. Enfin, la simple crainte de Gervaise se mue en terreur, « prise d’un frisson », elle recule. Le regard de Coupeau est venu prendre le relais de celui de Gervaise. Il veut alors se montrer tel un guide rassurant, même si son discours théorique et scientifique sur la machine n’aura pas l’effet escompté sur Gervaise. Le liquide distillé par l’alambic n’est qu’un « filet limpide d’alcool », une expression qui suggère l’aspect anodin de la production de la machine. Il tente en réalité

transition : grâce aux deux verbes juxtaposés, LF prépare le passage suivant dans lequel on pénétrera dans les pensées du personnage : met bas instaure une pause propice au monologue intérieur / songe, en tant que verbe de pensée introducteur de discours, annonce les vers suivants c) L’art de la concision dans le retournement de situation et la chute (v. 13 à 16) De même que la S.I., cette étape du récit fonctionne en épisode clos et homogène avec l’utilisation des rimes croisées. ● Rebondissement :