Discours Sur La Misère V Hugo

écœurante du labeur automatique sans amour et sous la loi inexorable du salariat, qu'est-ce que vous voulez que ça leur foute Cyrano de Bergerac? […] Comment! À la veille d'un drame prodigieux qui va bouleverser le globe et qui aura pour protagonistes la Misère prolétarienne et ses succédanés révoltés contre la servitude de l'Argent, on s'amuse encore à des blagues comme Rostand en compose? […] Je ne veux pas qu'un Shakespeare à la manque m'escroque ma pitié pour des infortunes illusoires ou périmées. […]

bouchées de vingt et de trente », « cinq par cinq, jusqu’à cinquante d’un coup ». L’insistance sur la démesure qui caractérise les manifestations du Progrès est donc ambivalente, entre admiration et révolte : elle relève du registre épique. Mais le discours implicite délivré par Zola n’est pas ambigu ; il s’agit bel et bien d’une triple condamnation : celle de l’alcoolisme d’abord, qui fait des ravages au XIX° siècle dans le monde ouvrier. La réflexion de Gervaise : « ça me fait froid, cette machine…

Séquence 1 : Comment les hommes parlent ils de la guerre ? Texte 1 : Ronsard, Discours des misères de ce temps, 1562, humanisme Introduction : Ronsard, s'inscrit dans le mouvement humaniste. Il écrit en 1562 un poème adressé à Catherine de Médicis, la reine de France. Ce poème est Discours des misères de ce temps. On distingue dans cette poésie, la division entre les catholiques et les protestants (Ronsard était catholique). Ronsard crée un effet de suspens pour appuyer sur la haine qu'il leur

de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. R OM ANTISME O U C LA SSIC IS M E ? L’IM AGE PA THÉTIQ U E D ANS LES « SC ÈN ES DE LA V IE DE PRO VIN C E » Si l’opinion de Lousteau à propos du « roman moderne où tout se traduit par des images »1 comporte quelque ambi guïté, celle de Balzac dans son article sur La Chartreuse de Parme est claire puisqu’il fait de l’image, avec l’élément

| | |a) QUI ? Le narrateur utilise la 1° personne : « je » (anaphore en début de 6 vers + | | | | |insistance « moi, je » v.31 – vraisemblablement le poète) s’adresse aux bois : | | | |[pic] |« Salut, bois » + aux « feuillages » et aux « derniers beaux jours » + à la « terre, |

poésie. Convaincre, persuader et délibérer.................................................... Texte A. Victor Hugo, « La Victoire », Histoire d’un crime .................................................................................... Texte B. Victor Hugo, « Souvenir de la nuit du 4 », Les Châtiments ....................................................................... Texte C. Victor Hugo, Lettre à Hetzel..........................................................................................

|entre eux. | | | | | | | |Le but du discours est d’encourager les animaux à se | | | | | | | |rebeller contre l’exploitation de

« moi, je » v.31 – vraisemblablement le poète) s’adresse aux bois : « Salut, bois » + aux « feuillages » et aux « derniers beaux jours » + à la « terre, soleil, vallons, belle et douce nature » = la nature ; « je vous dois » v18 b) OU ? Sur « le sentier solitaire » que suit le poète. c) QUAND ? Pendant l’automne (cf. titre). III. La nature, un grand thème romantique : a) « je vous » : échange poète / nature. b) champ lexical de la nature. c) personnification de la nature : « ses regards » v.10, « l’adieu

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur l’argumentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 VERS LE BAC Question sur un corpus : Pascal, Fénelon, Hugo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90-95 Vers un espace culturel européen : Renaissance et humanisme Première L 27 28 29 30 La

républicaine), qui ne va pas au-delà du deuxième numéro. Le 15 juillet 1848, paraît dans La Liberté de penser un texte d'Edgar Allan Poe traduit par Baudelaire : Révélation magnétique. Plus tard, il partage la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s'engager outre mesure dans son œuvre Le 24 avril 1864, le poète, très endetté, part pour la Belgique afin d'entreprendre une tournée de conférences mais ses talents de critique d'art éclairé ne font plus venir grand monde