Discours épidictique

-registre épique - dieu = puissance, bête = férocité -vu du côté français -lieu précis, nombre précis -valorisation des anglais -jeu sur la longueur des phrase = rythme - centaures : comparaison avec la mythologie grecque - registre épidictique (éloge et blâme) Préparation du commentaire composé : 1/ Eléments historiques - Lieux précis, noms propres, nombre pour la répartition du combat, allusion à un épisode héroïque de la campagne de Russie. Pourquoi ces éléments historiques

24 : D. évoque la façon de procéder mais de façon ténue et incertaine. Conditionnel : « on dirait » (l. 25 ) * l.26-27 : Il en appelle au spécialistes : « Rubens, Berghem, Greuze, Loutherbourg » B/ L’éloge de Chardin * Registre épidictique, laudatif. * l. 1 : Parallélisme + mise en relief avec le présentatif « c’est » Mise en valeur de l’artiste * l. 16 : L’auteur apostrophe Chardin ave une interjection : « O Chardin ! » * Termes très valorisant : « harmonie »

alors repérer des antiphrases « Ô sauveur ,Ô héros, vainqueur du crépuscule, César » l8-9. Le registre polémique est également présent l22 « scélérat vivant »,et celui du satirique » je regardais rouler cette tête coupée »l28. Puis le registre épidictique critique ces mises à morts l19 « Ô contrecoups du crime au fond de l’âme humaine !»

son charme elle est comparée à une déesse. On retrouve alors le champ lexical des qualités : "lumière divine" "la grâce" etc... La métaphore "la grâce lui servait d'unité" montre que grâce à la grâce tout s'embellissait sur elle. Le registre épidictique est alors présent dans cet extrait avec le blâme et l'éloge Enfin, toute les phrases sont longues comme pour souligner qu'il y a beaucoup de choses à dire sur Mlle de Langeais du fait des contradictions qui existe dans son caractère. II.

Question : Dans quelle mesure ce corpus illustre-t-il le registre épidictique ? Nous avons affaire ici, à un corpus composé de six documents portant tous sur Louis XIV. Tout d’abord nous avons quatre documents sous forme de texte. Le premier est un éloge historique de 1684 écrit par Racine et Boileau. Le second est de Saint-Simon c’est quant à lui s’intitule Mémoires de 1739-1755. Le troisième document est un discours adressé à l’académie française de Bossuet en 1671 et pour finaliser

Sestius I. L’éloge du type de gouvernement idéal Dans cette digression introduite dans la plaidoirie pour Sestius, l’orateur va construire unvéritable éloge de la République en montrant que pour lui, c’est le type de gouvernement idéal. 1) Un discours épidictique (= ce qui relève de l’éloge ou du blâme !) Cet éloge se marque par les champslexicaux dominants du texte qui permettent, en précisant le système institutionnel, une allusion à tous les grands organes du gouvernement : Sénat, magistratures

L’éloge du type de gouvernement idéal Dans cette digression introduite dans la plaidoirie pour Sestius, l’orateur va construire un véritable éloge de la République en montrant que pour lui, c’est le type de gouvernement idéal. 1) Un discours épidictique (= ce qui relève de l’éloge ou du blâme !) Cet éloge se marque par les champs lexicaux dominants du texte qui permettent, en précisant le système institutionnel, une allusion à tous les grands organes du gouvernement : Sénat, magistratures

Platon cherche la moralité. (Sophiste : amorale). III. Aristote et la réhabilitation de la parole Sophistique ← Aristote et la théorie du discours. Aristote : IVème siècle avant J.C Aristote réhabilite la parole sophistique dans la rhétorique d’Aristote. Le dernier ouvrage écrit par Aristote en 324 av J.C. La théorie du discours d’Aristote : Platon disait que la parole Phi était rationnelle et avait pour but la vérité. Pour Platon, la marque de la rationalité et de la vérité

Les Thibault Roger Martin du Gard Le discours de Jaurès De "Jacques, penché en avant..." à "...C’est l’éruption de la fin !" Introduction Présenter l'auteur et l'œuvre. I. Un texte épidictique Le discours épidictique loue ou blâme, distingue ce qui est noble de ce qui est vil, "le beau et le laid moral". A. L’éloge de Jaurès l’orateur - Sa rhétorique : « D’où venait la vertu ensorcelante […] et la volonté révolutionnaire » => Jean Jaurès envoûte son auditoire à sa façon de

 Expressions familières « à vue de pays » Origines populaires  Bon orateur : connecteurs logiques, discours construit, thèse « rien d’égal au tabac », argument « il purge l’esprit… »  Semble cultivé : « Philosophie : Aristote » Erreur car le tabac n’existe pas sous l’Antiquité = Comique AXE III. Une scène d’exposition qui crée la surprise 1. Messages implicites Registre épidictique  Eloge du tabac : termes mélioratifs « il n’est rien Eloge du théâtre d’égal » l.2, « purge les cerveaux