Discours épidictique

Genre : discours fictif proche du réquisitoire Registre : Polémique/Epidictique (blâme). Mouvement littéraire : les lumières : mvt philosophique du XVIIIe siècle qui essaye de propager le savoir à tous. III/ Le texte : Thèmes principaux : La cruauté ; l’injustice ; la tolérance ; liberté d’une vie naturelle ; la colonisation. Problématique : En quoi ce texte est-il persuasif ? Introduction : Diderot imagine le discours d’un

Acis (de façon directe ou pas) mais rapporte aussi ses réponses, parfois de façon déformée. Mais le locuteur est aussi présent sous un autre plan : il met en scène une situation (au présent de narration) avec un discours plus ou moins injonctif (« vous abordez »...) => il s'agit du discours du moraliste qui interpelle le lecteur au même titre qu'Acis (questions et réponses ont alors disparu). 2. Un faux dialogue – En fait, la réalité est différente car le narrateur est finalement l'unique interlocuteur

vers heterometrique par Samivel il sagit De l'education des crabes , Le texte quatrelui est un sous forme de Bd qui est appeler Fluide Glaciale, Pour finir le texte cinq est sous forme de discours il s'agit de La contreverse de Vailladolid de JC CARRIERE. Dans ce corpus nous pouvons voir la variete du discours argumentif car les fables proposer sont des maximes il s'agit dun texte bref qui porte critique morale ou politique. Dans sa Fable Esope fait passe une critique sous forme humoristique en

(question oratoire pour les registres épidictique et polémique), exprimer un doute, une perte des repères, curiosité, interréssé… Le registre polémique peut aussi s’exprimer par l’emploi d’apostrophes (adresse directe au destinataire. ex: toi! Untel! ...). - l’emploi d’injonctions et du mode impératif témoignent de la supériorité d’un personnage par rapport à un autre (au théâtre, ou dans un discours au style direct), invitent un lecteur à la réflexion (registre épidictique (blâme le plus souvent)), le prennent

personne, apostrophes, questions rhétoriques, répétitions, images marquantes, etc.) qui ont pour fonction d’accroître l’effet du discours sur le destinataire. Le registre didactique Il cherche à enseigner quelque chose au lecteur. Il se fonde sur un vocabulaire clair et précis, une structure rigoureuse soulignée par l’emploi de nombreux mots de liaison. Le registre épidictique Il cherche à provoquer l’admiration ou le mépris du lecteur par l’emploi des catégories de l’éloge et du blâme. Qu’il loue

dialogique, où l’on retrouve la double énonciation. C’est un discours « adressé » [ce n’est pas le cas du soliloque qui est un pur discours auto-réflexif, ne s’adressant à personne, niant toute destination même imaginaire et auquel le spectateur n’est pas censé assister — celui-ci devient alors une sorte de « voyeur » (vision traditionnelle du spectateur)]. Cette forme est difficile à mettre en place au théâtre, ou alors sous la forme d’un discours parfaitement incompréhensible, qui ne laisserait aucune

la civilisation dont il fait lui-même partie (il est toujours plus facile de critiquer de l'extérieur que de l'intérieur). - La première personne utilisée par Montaigne est un signe du genre = l'essai C) Le mélange des registres - Registre épidictique = accumulations, hyperboles -> éloge des indigènes - Registre fantastique = description des européens (métaphores "peau luisante et dure" + "monstres fascinants") => Le mélange des registres crée un contraste supplémentaire entre indigènes et

l’auteur fait une dédicace. Cette dédicace met l’accent sur la présence du fabuliste, vers 3 « Vous puis-je offrir mes vers », il y a mise en valeur du destinataire. C’est un panégyrique : un texte qui vise à faire l’éloge. Il appartient au registre épidictique, avec l’utilisation du vocabulaire du compliment et de la flatterie. C’est donc un éloge de Mr de Barillon, le dédicataire, écrit de manière excessive et hyperbolique. La Fontaine multiplie les compliments et prend une posture de courtisan. C’est

registre polémique et le blâme. ZOLA utilise des termes péjoratifs comme "misérablement" (l.26), "grattés" (l.27) et "regrattés" (l.27) pour parler peintures des autres peintres. Le registre utiliser dans l'ensemble de ce texte est le registre épidictique, car il y a l'éloge et le blâme.

plus y échapper). Vers 21 rejet de « je les vues » Vers 22 hyperboles. Qualité héroïque Vers 23 hyperboles. Qualité héroïque du père de Chimène. Vers 21 à 23 registre épidictique (éloge et blâme) Vers 24 redondances. Argumentation épidictique. Vers25 // de construction + hyperbole qualité héroïque + registre épidictique Vers28 à 28 effets d’attente. Alexandrin martelé. Augmentation de la transition. Vers 29 entre autorité et honneur. Impératif + négation, interdiction. Plus le choix ne prit