Dissertation Apologue

Ce corpus est constitué de trois apologues, écrits à des siècles différents. Le premier est une fable écrite au XIIIème siècle par un anonyme, puis traduite en prose par G. Rouger. Elle se nomme « Le prud’homme qui sauva son compère ». La seconde intitulée « L’huitre et les plaideurs » fut écrite par Jean de la Fontaine en 1678. Enfin, le troisième est un conte philosophique, extrait du chapitre 6 du roman Zadig écrit par Voltaire en 1747. Les dénominateurs communs à ces 3 textes sont la

adhérer qqn à sa thèse par un raisonnement ou des preuves. - Persuader c'est faire adhérer qqn à sa thèse en ayant recours aux sentiments du locuteur. -Délibérer, c’est débattre de deux opinions différentes en vue de prendre une décision. - Apologue : du grec "apologos"= récit détaillé. un récit bref, sous forme allégorique. l'apologue contient un enseignement moral et a une portée didactique. Le récit a un double sens avec une argumentation indirecte ce qui implique un jeu avec le lecteur

et leur composition sur plus de trente années. Les fables ont tous une moral et expose le projet didactique de l’auteur. Oeuvre unique en son temps, elle tente d’établir un véritable art de la Fable, tout en reconnaissant ses sources : les grands apologues de l'Antiquité. L’ambiguité de l’œuvre fait son originalité. La fontaine ne s’inspire du genre ancestral de la Fable que pour mieux s'en démarquer. En effet, si la fable composée de 41 vers hétérométriques, « Le Chien et le Loup », reprend une thématique

cette descente du silence, le pigeon regretta son ambition, et la tranquillité de son colombier. «Il expire plein de douleur, condamnant sa vaine ambition et regrettant le doux repos de son colombier où il pouvait vivre en sûreté avec son ami.» Cet apologue de Fénelon nous conseille donc de réfléchir à deux fois, consulter autour de soi, avant de se lancer dans un projet précipité afin d'éviter les surprises, et les regrets. Dans la fable de La Fontaine, «Le Loup et le Chien», un loup, rachitique

Depuis toujours, les apologues sont une partie intégrée de notre culture littéraire, et, a travers l’histoire, ont souvent eu une portée didactique, qu’il s’agisse des Fables du grec Ésope, qui est considéré comme le fondateur de ce mouvement, ou des Contes d’Andersen, en passant par La Fontaine et les frères Grimm. Cette technique, celle d’utiliser des apologues est elle la meilleure pour faire passer son message ? Nous étudierons pourquoi les apologues sont souvent utilisés dans un but didactique

Défintion d’un apologue * "Apologos" en grec : "récit détaillé" ; synonyme de fable, terme issu du latin récit. Il désigne un "court récit exposé sous forme allégorique, et qui renferme un enseignement, une leçon de morale pratique". L'apologue cependant n'est pas à confondre avec le terme "apologie", qui désigne un discours qui défend ou justifie quelqu'un ou quelque chose (Apologie de Raymond Sebond de Montaigne). * 4 caractéristiques : récit (genre narratif : sous-genre), bref ("la

peut-on dire que Le Vicomte pourfendu est un apologue ? Un apologue est un bref récit ouvertement fictif à visée argumentative ; le Vicomte pourfendu répond à toutes ces caractéristiques En effet tout d’abord le Vicomte pourfendu est un récit puisqu’on nous raconte l’histoire du vicomte Médard de son départ à la guerre, en passant par la vie qu’il mène après avoir été pourfendu, puis finalement recousu par le docteur Trelawney… En outre comme tous les apologues nous trouvons ici du merveilleux, en effet

LECTEUR? La fiction littéraire est une œuvre du genre littéraire dans lesquels l'imagination a une place pondérante. Elle est souvent utilisée dans une pièce de théâtre, dans un roman, ou même dans une poésie (poésie engagée). Ces textes sont des apologues, ils servent à faire passer un message au lecteur. Il est normal de se demander si les textes que ce genre de littérature produit sont efficace malgré la complexité des moyens utilisés, sont de bon moyens de convaincre et persuader le lecteur. Nous

Le corpus que nous allons étudier est composé de trois apologues qui abordent tous le thème de la querelle judiciaire. Les deux premiers textes sont des fables : la première est écrite par un auteur anonyme, elle est intitulée « Le Prud’homme qui sauva son compère » et fut publiée au XIII° s ; la seconde, « L’Huître et les plaideurs », fut publiée par La Fontaine dans son recueil Fables en 1678. Le dernier texte est un extrait du chapitre 6 du conte philosophique Zadig, publié par Voltaire en

Intro : Pour de nombreux enfants, la découverte de la littérature passe par celle des contes et des fables, que ce soit dans le cadre familial ou scolaire. A la fois narratifs et argumentatifs, les apologues -contes, fables ou paraboles - se caractérisent par la réflexion qu'ils proposent au moyen d'un récit attrayant. A l'occasion d'un spectacle de Fabrice Lucchini consacré aux fables de La Fontaine, la réflexion suivante est parue dans un journal : « Il y a longtemps que les fables