Distraire Le Spectateur

d’un partage d’idées, mais bien à des profits importants, contrairement aux écrivains où le public cible principalement plus intellectuel que la moyenne. De ce fait, l’idée principale derrière le film n’est pas de faire réfléchir le spectateur, mais bien de le distraire. Dans le roman, oui il s’agit d’une bonne distraction, mais les questions d’ordre sociologique et culturel soulevées sont beaucoup plus importantes que le divertissement du lecteur. En somme, certaines ressemblances sont bien présentes

dans un film il n’y pas vraiment de place pour l’imagination du spectateur. Il peut se mettre à la place d’un personnage s’identifier a travers le caractère, les manières d’agir. C’est un moyen d’évasion pour le lecteur. c) Une distraction, lors d’un moment inoccupé, on peut lire cela détend. Un texte peut être adapté en pièce de théâtre en film. Molière écrivait ses pièces pour passer devant la cours et étaient censé les distraire. III/ Des œuvres crées pour un large public. a) Différentes

lui reste à l'annoncer à Bérénice et celle-ci doit l'accepter. Leur passion n'est jamais mise en doute, à aucun moment la vie d'un personnage n'est en danger : rien ne vient distraire l'attention. Le très grand art de Racine consiste à « faire quelque chose à partir de rien » (préface de Bérénice), à créer chez le spectateur « cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie » à partir d'un sujet que l'on peut raconter en une phrase. La tension atteint son paroxysme à la fin du

définissent exhaustivement les trois règles du théâtre classique : l’unité de temps (l’action se déroule en vingt-quatre heures), l’unité de lieu (un seul lieu, matérialisé par l’espace de la scène) et l’unité d’action (une seule intrigue). « Jamais au spectateur n’offrez rien d’incroyable, Le vrai peut quelques fois n’être pas vraisemblable. » : Le théâtre classique représente des situations réalistes. « Que le trouble toujours croissant de scène en scène A son comble arrivé se débrouille sans peine » :

seulement son fils Titus qui l’inaugure en l’an 80, le quatrième étage réalisé, avec des festivités sans précédents de 100 jours où furent massacrés 2000 combattants et 9000 animaux sauvages. L’amphithéâtre pouvait accueillir entre 50 000 et 75 000 spectateurs, pouvant assister à des chasses d’animaux sauvages (Venationes), à des combats de gladiateurs (Munera) et à d’autres spectacles publics (voir « Les jeux au Colisée »). Domitien, frère et successeur de Titus, achève le monument en faisant construire

peut-être, l’art cherche à agrandir notre perception du réel. L'art nous détourne-t-il de la réalité ? l’art est là pour transporter le spectateur dans un autre monde, un monde qui n’est pas le monde réel, mais un monde irréel, tissé par le désir. Le cinéma est en ce sens le prototype postmoderne de l’art comme éloge de la fuite. Dans la salle obscure, le spectateur se coupe de la réalité, il laisse les soucis, les angoisses, la lutte continuelle de sa vie quotidienne pour se donner l’extase d’un rêve

une conscience dans le public en lui offrant une série de dialogues qui le mettront à penser sur divers problématiques sociales. Armand Gatti -dramaturge français- a dit : « Je n´arrive pas à considérer le théâtre comme une façon d´amuser, de distraire ; je préfère le considérer comme un moyen de libération de préjugés, d´injustices » Cette pensée a été partagé par divers dramaturges tout au long l´histoire du théâtre. Marivaux, dans son piéce L´école des mères nous montre son clair message

l’émetteur (le média), du récepteur (le public) et le canal de transmission lui-même, qu’il soit direct ou filtré (régulateurs, qualité de l’image et du son, fatigue ou incompréhension du public, etc.). D’ordinaire destinés à informer, éduquer et à distraire les masses, les médias possèdent en réalité des usages beaucoup plus complexes, qui interagissent profondément avec les activités politiques, économiques, sociales et culturelles d’une nation. Poussés à l’extrême, ils deviennent même les supports

l’objet aimé pour cela on peut à peine l’assimiler avec l’haine mais n’est qu’une stratégie pour se rapprocher de son rival. Avec cette définition on comprend mieux la signification du titre, contrairement aux signifiés populaires. Si les pistes pour distraire l’attention du lecteur ne sont pas en réalité le but du roman alors la description prend l’importance. La description comme manière pour l’ambiance de l’œuvre pour égaler le lecteur à l’écrivain. La description à qui peut l’importe l’ignorance du

du visage, des paroles de Marcel. Ses bras et ses genoux sont repliés près d’elle, ainsi le souvenir de ce moment magique reste encore et encore… « Et puis il a dit… : tu as l’air d’une fée." Nous voyons seulement le buste des personnages, le spectateur assiste vraiment à la confidence amoureuse d’Edith. Nous assistons aux premiers émois d’Edith et Marcel, des moments remplis de rêve, de douceur et d’amour. Une autre scène à caractère romantique montre les retrouvailles de Marcel et d’Edith