Distraire Le Spectateur

membres de l’église, le moine, ainsi que les deux nonnes sont habillés d’habits sombres, grisâtres, mais qui sont délimités pour les deux nonnes d’un voile blanc. Ces deux voiles blancs ainsi que le luth que tient la première nomme, attirent l’œil du spectateur et apportent de la lumière à la composition. La planche de bois qui fait office de table amène également de la clarté par sa couleur ocre-jaune. Au second plan, nous avons un groupe de trois paysans qui ne se distinguent que par leurs expressions

exemple : quand elle décide de répondre au Grand prieur pour se moquer de la méchante épigramme qu’il lui a écrite19 ou encore se rue chez on ami disparue, Desyveteaux, dès qu’elle apprend où il demeure. Le discours de Ninon est aussi ce qui révèle au spectateur ses traits de personnalité. Par exemple, quand elle s’inquiète d’avoir été une mauvaise hôtesse20 pour Scarron, qui lui a rendu visite pendant son absence: « Oh mon cher ami ! vous étiez chez moi, et j’étais absente . Ne vous êtes vous pas ennuyé

I. Définition du libertinage 1. Tenter d’élaborer une définition avec les élèves 2. Donner la définition finale (distinguer libertinage de mœurs et libertinage d’esprit) II. Contexte social III. Caractéristiques du libertinage 1. Le Spectateur Français, Marivaux : contrôle et manipulation 2. 4e de couverture de La Nuit et le Moment, Crébillon : importance du langage et goût pour l’esthétique 3. La Philosophie dans le boudoir, Marquis de Sade : éducation des femmes, refus du mariage

entre la prose et les vers, la répétition des voyelles. Séance 3 : la scène avec le tailleur, acte II, scène 5 Support : Le Bourgeois gentilhomme, acte II, scène 5 Objectif : analyser le comique de mots. Pour faire rire le lecteur et le spectateur, Molière utilise différents procédés : - la gradation : le garçon tailleur qui utilise successivement des titres de noblesse de plus en plus élevés afin d'obtenir un pourboire de plus en plus important : "gentilhomme", "monseigneur", "votre Grandeur"

THÉÂTRE Le théâtre (du grec theaomai, « ce que l’on voit ») est un art du spectacle. Il s’est constitué, en particulier aux XVIIe et XVIIIe siècles, grâce à des codes qui ont subi des crises et ont évolué avec le temps mais sont tou- jours à l’œuvre (distraire et instruire, refléter un état de la société, sonder la conscience des hommes). Le Siècle des lumières a fait monter le questionnement philosophique, poli- tique, moral, social, religieux sur la scène. Le théâtre d’aujourd’hui est tribu- taire du

est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents. Il se propose même de lui donner de l'argent pour l'aider à conquérir ces femmes volages. Horace lui raconte assez naïvement qu'il n'a pas attendu ses conseils et qu'il est déjà parvenu

variait. Les acteurs disposaient de 4 éléments mobiles sur roulettes, dont deux paravents de 4m de large sur 2m50 de haut, un escalier (2m de haut) et un piano duquel se détache un divan. Le décor était modifié par les acteurs eux-mêmes à la vue des spectateurs, selon le lieu où ils se trouvaient. Les paravents délimitaient l’espace, ils formaient les murs de la maison de Colin, qui se resserrent ; un couloir ; un chemin ; etc. Un divan amovible était intégré au piano. Ils étaient tour à tour le lit

satisfaits, plus stressés, plus énervés, plus susceptibles, moins confiants envers eux même (et donc aussi envers les commerciaux)… Toutefois on ne peut generaliser ces impressions a toutes les situations. Les clients d’un restaurant ou les spectateur d’un evenement culturel ou sportif reagissent plus positivement à la foule. On pourrait meme penser qu’ils la recherche. On pourrait ansi distinguer les activités ou espaces facilités par l’affluence et ceux génés par la densité (visite de monument

cela depuis toujours. Le théâtre est un art vivant par excellence. Selon les époques et les courants, il est le lieu du divertissement mais aussi quelque fois de l’amusement. Dès l’antiquité grecque et latine, le peuple se déplaçait pour se distraire. Même s’il était question à ses origines de processions religieuses, le peuple se rassemblait et trouvait dans ces rites, une forme de divertissement. Nous pourrions également aborder le genre de la farce. Très prisée au Moyen-âge, ce genre privilégie

qui suppose généralement tout un travail littéraire stylistique, et qui malgré cela, parvient à dire des « vérités », à prendre dans le sens d’un message délivré par l’auteur. Le roman n’est pas à voir comme une œuvre fictive uniquement destinée à distraire son lecteur ; au contraire, c’est un support pour faire passer un message théorique, à l’instar d’un essai. Cependant, le message délivré par l’auteur se cache derrière la fiction et la forme que prend son écriture. Cela s’explique par le fait que