Dithyrambe

l’évaluation de faits actuels. Ses critères sont ceux du beau et du laid, du vil et du noble. Son procédé central est l’amplification (hyperboles, métaphores, accumulations, répétitions, gradations). (le portrait ; l’oraison funèbre ; le panégyrique ou la dithyrambe (célébration des qualités d’un personnage) ; l’hymne (célèbre la grandeur d’un héros, d’un dieu, de Dieu) ; le pamphlet (« De L’Horrible Danger de la lecture », Voltaire) ; le blason (poème de louange portant sur un élément du corps féminin) et

Dans l'examen, une des questions était qu'est-ce que l'imitation selon Aristote? Maman : Si je me souviens bien selon Aristote tous les arts sont des imitations. Par exemple, à cette époque, on parlait de poésie tragique, de comédie, d'épopée, de dithyrambe, du jeu la flûte et de la cithare. Papa : Si je me souviens bien on pouvait les distinguer de trois manières différentes : ce qui est imité, avec quoi on imitait et la manière dont on imitait. Maxime : Ah! C'est ça "l'objet", "le moyen" et "la

l’avenir ! cieux inexplorés ! vers tout ce qui est solitaire je jette maintenant l’hameçon : répondez à l’impatience de la flamme pêchez pour moi, le pêcheur des hautes montagnes, ma septième, ma dernière solitude ! — Frédéric NIETZSCHE, Dithyrambes à Dionysos, (1888) in Poésies (Mercure de France) L’esprit du feu (extrait) Feu  Devant lequel je suis seul ce soir Avec mes mains et cette armure végétale Où se brise mon sang Profitons du moment Pour tout dire Steppe, rouge beauté

origine célébrées à Athènes dans le courant de mars à avril. Au cours de ce mois, 6 jours étaient consacrés à des concours de théâtre. Différents registres étaient interprétés au cours de cette semaine, les deux premiers jours avaient lieux des dithyrambes, concours musicaux, puis les quatre autres journées s'organisées autour de tragédies, de drames satyriques et de comédies. Les petites dionysies, avaient quant à elles lieux en décembre. Il s’agissait la de fêtes de villages, au cours des quelles

représentations théâtrales ont toujours lieu lors de fêtes religieuses. Ces fêtes débutent par une marche dans la cité et se terminent par le sacrifice d'animaux. En Grèce , le théâtre naît à Athènes à la fin du VIeme av. J.-C. Il nait des hymnes ( dithyrambes) en l'honneur du dieu Dionysos ( dieu du vin et de la fertilité ) mais il se transforme peu à peu en pièce de théâtre  : la voix du chef de chœur et du chœur entier se répondent. C'est un theatre qui se veut civique et politique. A Rome , le

tragédies et les comédies étaient les deux formes théâtrales les plus courantes à Athènes. Parlons tout d’abord de la Tragédie. Elle était la seule forme de théâtre jusqu’à l’arrivée de la Comédie. Sa principale caractéristique est la reprise du dithyrambe entre le chœur et les personnages. Bien que ces pièces soient crées en l’honneur de Dionysos aucune (mis à part les Bacchantes d’Euripide) n’y est vraiment liée. On met plus en scène la mythologie comme la Guerre de Troie, les exploits d’Héraclès

dis-culper < culpa (en latin) = la faute  coupable, culpabilité. - une apologie : c'est UN éloge (nom masculin ! ) = texte / discours qui vise à défendre ou à justifier une personne, une doctrine, en en faisant l'éloge, en en disant du bien. SYN. : un dithyrambe, une louange, un panégyrique ... ANT. : attaque, condamnation, critique, une diatribe, une philippique * Voc : * une philippique : fait allusion aux discours violents que prononça l'orateur grec Démosthène contre le tyran Philippe de Macédoine.

à la ritualisation des conduites. La poésie de circonstance est devenue un discours codifié à l’usage des grandes cérémonies: ‘’les épithalames pour le mariage ; les nénies et les thrènes pour les funérailles ; les péans pour la victoire ; les dithyrambes pour les éloges ; les hymnes, les psaumes, les litanies pour l’adoration des dieux, l’énumération de leurs noms, le catalogue de leurs attributs.’’ On retient notamment Les Carmina de Sidoine Apollinaire, recueil de 24 poèmes dédié à diverses

- Les costumes -Le décor et la musique L’histoire du théâtre débute avec les cérémonies religieuses de la Grèce antique. En effet, il est issu du dithyrambe (chant en l'honneur de Dionysos). Les participants de cette cérémonie orgiaque dansaient et chantaient des histoires sur leur dieu autour d’un autel, les chansons joyeuses donnèrent la comédie, et celles tristes, la tragédie. Peu a peu le culte

les troupes romaines victorieuss en 197av mené par le consul Titus Quinctius Flamininus à Cynoscéphales en Théssalie. Il s'engage en 195 sous les ordres de Marcius Portus Cato, dit Caton l'ancien qui est aussi d'origine sabine à qui il fait une dithyrambe, Caton reçoit un triomphe à Rome en 194 pour avoir régler le problème d'une province Romaine, L'hispanie Citérieure (espagne) Une éloge qui continue de rependre le mythe de Caton voulu par Tite-Live. Il est ensuite volontaire lors de la guerre