Doctrine Portalis

uniquement retracer les événements et d'examiner les réalisations architecturales de la seconde moitié du XXe siècle. Il est aussi de comprendre les idées qui les sous-tendent, et ce qui fait le ressort de la conception même des projets : questions de doctrines ou de théorie, plus ou moins clairement énoncés, éphémères ou durables, locales et nationales ou de résonance internationale. La seconde moitié du XXe siècle est marquée par un bouleversement social sans précédent : exode rural, croissance extraordinaire

Karl Marx Issu d’un milieu bourgeois allemand et libéral, très éduqué et a beaucoup lu. Le philosophe Karl Marx est très imprégné des doctrines de Hegel qui l’a beaucoup inspiré. Karl Marx a aussi beaucoup été influencé par la pensée de Feuerbach dans son combat contre Dieu et contre la Religion. Marx rejette aussi la philosophie en tant qu’essentiellement religieuse. Il affirme contre Hegel que la vraie réalité n’est pas celle de l’esprit mais bien la réalité matérielle, sociale et économique

tradition du contrat social, et l’autre « l’idée de la société conçue comme un système social organisé de manière à produire le plus grand bien possible après une addition prenant en compte tous ses membres, ce bien étant un bien complet spécifié par une doctrine englobante »[2] à laquelle il associe notamment l’utilitarisme. Rawls voit ces deux visions comme foncièrement antagonistes, l’une étant l’image inversée de l’autre : Il y a une opposition fondamentale entre ces deux traditions : l’idée

fanatique et belliqueux s’est réduit à la région, voire au départment. Nationalisme Le nationalisme c'est le sentiment de vif attachement à la nation, c’est-à-dire d'une grande exaltation de l'idée nationale ; c'est également une doctrine politique qui affirme la primauté de l'intérêt national, sur les intérêts particuliers de ses composantes d'une part et sur les intérêts des autres nations d'autre part. Le nationalisme c'est la volonté d'un peuple, d'une identité commune, de posséder

rationalité est très efficace pour frôler à peu près l'exactitude. D'un autre côté, il y a le relativisme, une doctrine qui était soutenue par les Sophistes qui exprime que tout est relatif, que les valeurs dépendent en fait des circonstances et sont variables de cas en cas. Cela veut donc dire que chaque opinion se vaut. Mais que vaut l’opinion qui soutient que tous les opinions se valent? Une doctrine contradictoire ne peut se tenir debout . Malheureusement, il devient donc absurde selon ce concept de

d'ethnocentrisme. Certaines formes d'expression du racisme, comme les injures racistes, la diffamation raciale, la discrimination négative, sont considérées comme des délits dans un certain nombre de pays. Les idéologies racistes ont servi de fondement à des doctrines politiques conduisant à pratiquer des discriminations raciales, des ségrégations ethniques et à commettre des injustices et des violences, allant jusqu'au génocide. Origines du racisme Historiens et ethnologues ne sont pas d'accord

les fidèles. Les ouvriers s’écartent de l’influence religieuse qui a pourtant été très présente au fil des siècles de notre histoire. Cette période va tomber en même temps que le pontificat du pape Pie IX. Il va développer à partir de 1848 une doctrine ultraconservatrice. Il rédigera deux document capitaux dans l’histoire de l’église qui condamnent les théories modernes et scientifiques : L’encyclique quanta cura (1864) Le syllabus, une liste de 80 propositions condamnées par l’Eglise Quelques

Dans ce texte, Karl Marx, socialo-communiste allemand énonce un jugement selon les doctrines matérialistes sur la moralité. Pour Marx, l’application des doctrines matérialistes sur la moralité aboutit aux modèles socialiste ou communiste. Le problème étudié par cet extrait est de définir ce qu’est la vraie morale pour un penseur matérialiste. Ce que veut démontrer Marx ici est que si l’homme est formé par les circonstances, il faut former les circonstances humainement. C'est-à-dire que puisque la

Le texte de la Lettre nous parvient grâce au doxographe Diogène Laërce, qui le retranscrit au livre X de ses Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres1,5. Consacré à Épicure, le livre X de Laërce reproduit également deux autres lettres, et un ensemble de 40 maximes dites « capitales »1. Jusqu'à la publication en 1888 de maximes issues d'un manuscrit du Vatican, la retranscription de Laërce constitue l'intégral du corpus attribué à Épicure1. La Lettre à Ménécée est ainsi l'une des

naturel et histoire, qu’il est rationnel de croire en Dieu. Léo Strauss, ne fait rien d’autre que d’élaborer une variante du raisonnement pascalien. Sa démonstration s’appuie sur l’irréfutabilité de l’existence de Dieu. Freud fait remarquer que « les doctrines religieuses sont soustraites aux exigences du rationnel », pour ajouter : « puis-je être contraint de croire à toutes les absurdités ? » Le problème du rapport entre croyance en Dieux et rationalité se trouve ainsi soulevé. Plus précisément : est-il