Dogmatisme Relativisme

désir,la volonté de sauver sa vie et de jouir de plaisirs; sa conduite est commandée par l'intérêt. Cette conception qui subordonne les régimes politiques aux organisations économique et sociale,est menacée par l'oscillation entre le relativisme intégral et le dogmatisme,justifiant le fanatisme. Le deux objectif de toute politique ,d'après les philosophes étaient la paix à l'intérieur de la collectivité et la défense de la collectivité vis-à-vis des autres collectivités.L'objectif premier de tout ordre

théodicée lucide qu’il mettra en œuvre dans la Profession : il s’agit de répondre à l’argument de Voltaire, qui dénonce l’optimisme de Leibniz dans son Poème sur le tremblement de terre de Lisbonne. Voltaire, on l’a vu, opposait la réalité du fait au dogmatisme global de l’idée. Rousseau prend la défense de Dieu sans pour autant nier l’existence du mal ni tomber dans un optimisme excessif. Il ne cherche pas à convertir le mal en plus grand bien, mais il distingue le mal général et le mal particulier

étudiées dans la structure sociale et dans les rapports de force entre les classes sociales. 2) La position du chercheur. Peut-on échapper à cet ethnocentrisme de classe ? Il n’y a pas de vérité absolue mais il ne faut pas tomber non plus dans le relativisme absolu, i.e., toutes les connaissances se valent. De fait, toutes les connaissances ne se valent pas les unes des autres. Pourquoi ? Certaines connaissances sont le produit d’une démarche rationnelle rigoureuse qui est donc la démarche scientifique

de l’individu. Le problème est de pouvoir orienté sa conscience vers les idées de bien et de justice et vers l’autonomie du jugement selon KANT. L’autonomie du jugement symbolise le courant des Lumières, qui lutte contre l’obscurantisme et le dogmatisme. Elle précédé l’autonomie de la volonté. Etre autonome dans son jugement: penser par soi même, ne pas dépendre d’un tiers pour penser. Dans le texte « Qu’est ce que les Lumières? » Kant écrit que c’est passer de l’Etat de minorité à l’état de majorité

du lecteur-auditeur ; un effet de vie. Qui est Marc-Mathieu RUNCH ? RUNCH est un professeur émérite de littérature générale et comparée à l’Université de Metz en France. Il a publié de nombreuse ouvrages tels que : Le pluriel du beau Genèse du relativisme esthétique en littérature du singulier au pluriel au centre de recherche de littérature spiritualité de l’université de Metz en 1991. Qu’est ce que l’effet de vie ? Mise au premier plan de la valeur esthétique de l’oeuvre d’art, l’effet de vie est

sensation », la thèse principale de Protagoras, résumée dans la formule: « L'homme est la mesure de toutes choses, de l'existence des existants et de la non-existence des non-existants », signifierait donc que l'Homme, dans ce monde où règne le relativisme absolu, peut bien émettre simultanément des jugements contradictoires, puisqu'aucun principe ne peut venir les contredire. Accusé d'impiété, Protagoras s'exile ; il périt noyé alors qu'il cherche à gagner la Sicile. Gorgias 487 - 380 av JC Gorgias

croyances…). Alain explicite ça dans une citation célèbre « penser c’est dire non ». Donc dans l’opinion on a des réponses, des certitudes opposées en philosophie au questionnement constant, au doute. Il y a une tolérance philosophique à opposer au dogmatisme de l’opinion. Le philosophe s’interroge sur les préjugés et tente d’aller plus loin. Philosophie et science Jusqu’au 19°s la philosophie était la science suprême, philosophes et scientifiques étaient les mêmes personnes. Au 19°s se produit un

trouve dans les différents systèmes juridiques existant prouveraient bien qu’il serait futile de tenter d’établir un modèle de justice. Ce relativisme éthique que défend Kelsen impose en fait aux sociétés de choisir parmi ces systèmes par ailleurs jugé tous équivalent en déterminant pour elle-même de manière subjectif, ce qui est juste ou injuste. Ce relativisme éthique est difficilement tenable, il identifiera 6 critères possibles de justice concrète : A chacun la même chose : peut s’appliquer dans

que ce critère se réfère à des valeurs universalisme, qui sont issue de sens commun des démocraties occidentales et ont été établis en Europe, les aspects du dogmatisme: une forme d'arrogance culturelle nierait les droits des cultures à la spécificité et à la différence. Droit d'homonisme (*) : donne dans nos sociétés occidentales un relativisme qui fait que par exemple des démocraties admettent sur leur territoire des pratiques au niveau institutionnel, qui mettent en question des principes d'égalité

grand nombre d’États, de systèmes politiques hétérogènes. Ces derniers ne marchent pas toujours au même pas encore moins dans la même direction. Dans l’effort d’intelligibilité de leur fonctionnement et de leurs orientations, la prudence et le relativisme s’y imposent comme exigences bien que ces deux critères ne soient pas suffisants pour être à l’abri du risque de passer sous silence certains faits en apparence insignifiants mais pourtant fondamentaux parce que participant des réalités sociopolitiques