Dogmatisme Relativisme

dimension de l’apparence. Deuxième position : celle développée par les sceptiques : Il faut écarter une confusion : différence entre les sceptiques modernes et les anciens. Ce doute moderne c’est ce qui constituerait aux yeux des anciens un dogmatisme. Contradiction sur laquelle insiste Descartes. Si l’on illustre la position sceptique : « toute vérité est inaccessible » : on s’expose d’emblée à une contradiction : il n’y a pas d’accès à la vérité comme vérité. Les sceptiques anciens ne tombaient

société il est évident qu'il faut que les individus aliènent leur droit subjectif au profit du contrat social. Les valeurs ne peuvent être que décrétées. « C'est l'autorité et non la vérité qui fait la loi », tout est relatif en terme de valeur relativisme. Les droits de l'homme ne sont pas applicable sans l'autorité de la loi. Pratiquement tous les articles des droits de l'homme renvois à la loi de concilier ce droit avec l'ordre public. → Les droits naturels de l'homme ne sont pas applicables

l’effort commun de tendre vers l’arbitrage approprié à la question débattue, d’accepter de commencer sans avoir d’emblée de critères définis, mais qui se préciseront à mesure que l’on avance. Deux sortes d’attitudes diamétralement opposées, le dogmatisme et le relativisme, excluent la possibilité de se rallier à cette condition décisive pour dialoguer. Le dogmatique exige dès le départ des critères clairs, sans équivocité. Le relativiste admet « tout et son contraire ». Le premier est installé dans ses

importent les mots, l’essentiel est de comprendre que, le droit étant une matière dialectique, son étude ne peut atteindre la certitude absolue. C’est par une réflexion sur la méthode de travail du juriste qu’il est possible de dénoncer la vanité du dogmatisme 114 sans sombrer dans le scepticisme (2). Au final, il faudra s’interroger sur la pertinence de la séparation de l’étude du droit et de son objet. 1. – Qu’est-ce qu’une science ? Il est temps que les juristes admettent la nécessité d’une réflexion

l'essentiel, une discipline scolaire ou universitaire, parmi d'autres. » Profils didactiques du philosophe Les philosophes se divisent, quant aux idées, en de nombreuses doctrines : rationalisme/empirisme, spiritualisme/matérialisme, dogmatisme/scepticisme/relativisme... Mais ils se distinguent aussi, au sein du mode de vie philosophique, par leurs profils de penseurs, leurs styles de pédagogues, leurs manières en méthodologie. • Platon oppose les « Fils de la Terre » aux « Amis des Idées »25. Il

cette discipline (en dépit de sa relative jeunesse) car contrairement à beaucoup d’autres sciences, il est impossible d’y avoir accès sans en connaitre son origine et les étapes de sa croissance. Même si chaque chercheur a une tendance naturelle au dogmatisme, l’anthropologie telle qu’on la présentera ici a des ambitions plus modestes et plus tolérantes en ce qu’il faut bien admettre qu’il n’y a pas de consensus absolu sur ses principes, ses théories et ses concepts. On pourra en critiquer le traitement

raisonnement qui établit la nécessité d’un résultat qui ne laisse aucune place au doute. Une preuve peut être matérielle et ne prend pas toujours la forme d’un raisonnement. Dogme/dogmatisme : Est dogmatique celui qui propose ou impose une affirmation qu’il donne pour vraie en refusant qu’elle soit discutée ou examinée. Le dogmatisme est la prétention à détenir la vérité doublée de l’affirmation doctorale et catégorique d’une opinion, d’une conception, sans admettre la critique. Doute : Du latin, dubitare

l’ignorance. Nous retrouvons ici l’ironie au sens socratique puisqu’il s’agit d’interroger en feignant le non savoir. C’est exactement ce que dit Socrate : moi, Athénien, je ne sais rien, mais toi, Thessalien, tu sais. » On sait que Socrate refusant le dogmatisme considère qu’il ne sait rien et qu’il est vrai que Ménon sait au sens où il peut, par le dialogue, découvrir. Mais il est aussi vrai que l’ironie socratique est moquerie : il montrera à Ménon son incompétence. Et Socrate de dire à Ménon que sa question

différents groupes. Il utilise la biographie pour comprendre comment émerge les centres d'intérêts des individus. Il ne s'inscrit dans aucun courants particuliers. Il fait peu de référence à des théories, à des courants de pensées. Il rejette le dogmatisme. Il veut qu'on prenne de la méfiance par rapport au savoir. VII – Goffman Goffman a réalisé des études sur les îles Shetlands, de 1949 à 1951. Goffman considère que les échanges en communication sont comme une pièce de théâtre : on joue un rôle

Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207 Bibliographie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209 CHAPITRE 10 La laïcité à l’épreuve du relativisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 211 Anne-Marie Drouin-Hans Les paradoxes de l’idée de laïcité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212 Laïcité et éthique : une mise au pluriel douloureuse ?. . . . . 213 Penser