Dogme

analytique : 2 Dom Juan : L'éloge du Libertinage Auteur : Molière Résumé de Dom Juan : C'est une pièce de théâtre écrite par Molière durant la Querelle de Tartufe. Cette querelle a duré 5 ans (1664-1669) car la pièce de Tartufe critiquait beaucoup le dogme religieux de l'époque. L'histoire parle d'un jeune noble Dom Juan qui séduit toutes le femmes qu'il rencontre et les quittent une fois qu'elles aient succombé à son charme. Courant littéraire : La pièce de Dom Juan appartient au mouvement baroque

qu'il observait dans la nature. Cependant les grands progrès techniques ont permis à la science d'évoluer et de toucher de nombreux domaines. Elle propose une connaissance objective du réel et s'oppose au scepticisme. La science se différencie du dogme religieux en prouvant les théories qu'elle avance grâce à des démonstrations expérimentales qui suivent une méthode particulière. En effet la science est définie, structurée, standardisée grâce à la démarche scientifique. Ce cheminement est un ensemble

INTRODUCTION 1ère PARTIE : COMMENT L’EGLISE CONTRÔLAIT LA VIE INTELLECTUELLE : ENTRE DOGME ET DEVELOPPEMENT I) Le monopole du savoir 1) La théologie : reine des sciences 2) Une hégémonie dans toutes les sphères de l’enseignement : l’inexistence de la science laïque 3) Un savoir dogmatique II) L’omniprésence de l’Eglise 1) L’inquisition : la justice de Dieu 2) Des relations houleuses III) En faveur du développement des Sciences 2ème PARTIE : L’EFFRITEMENT DU POUVOIR

jugement propre et libre" : ainsi donc la condition essentielle de l'acquisition de la béatitude religieuse est l'exercice autonome du jugement, c'est-à-dire la liberté de pensée dans toute son étendue. Il est donc exclu qu'aucun préjugé ou aucun dogme entrave, contraigne ou interdise le libre exercice du jugement si l'on veut que la religion soit préservée! Limiter par la loi la liberté de pensée, par exemple en cherchant à imposer une interprétation des textes ou une forme précise de célébration

politique (mais aussi théologie et philosophie) doivent absolument être distinguées. Comme lui, il défend farouchement le pouvoir politique de toute emprise religieuse et prône une totale autonomie de l'État, dont la légitimité ne se fonde plus sur aucun dogme théologique, mais uniquement sur des principes rationnels. Néanmoins, chez Hobbes, cette autonomie de la sphère politique n'entraîne pas pour autant la liberté d'expression dans l'espace public : certes, « la pensée est libre », nous dit Hobbes - c'est-à-dire

de vie communes qui peuvent parfois être incompatible et pouvant être accepter uniquement par des débats argumentés qui rendent limitant ainsi un dialogue collectif notamment la bioéthique. Ces valeurs peuvent êtres différentes selon les croyances (dogme établit) ou universalisables dans des sociétés libérales ou pluralistes au dépend de ces valeurs même si elles peuvent être mélioratives la réduction du risque de violence de différentes catégories sociales pouvant être légale ou pas. Si une solidarité

-1766) Il dit que ce n’est pas parce qu’on doit philosopher par soi-même que l’on ne doit pas lire les philosophes. Il faut apprendre à philosopher avec eux mais ne pas faire d’un philosophe un argument d’autorité. Il n’est pas un modèle absolu ou un dogme (une vérité incontestable). On doit porter un jugement sur l’auteur même si on s’initie : on commence à penser. Mais, c’est difficile de porter un jugement : la première chose doit être comprendre le texte, ce qui est déjà philosopher et donc déjà

comme par exemple la religion. De façon à ce que nous ne doutions pas de ces idées, notre éducation à été basé seulement sur cette idée, et on ne nous a pas appris d’autres concepts. Il en est de même pour la vérité, elle est en quelques sorte un dogme reconnu depuis des millénaires. Ces vérités primitives sont évidentes, mais indémontrables. Il existe des vérités dont nous avons une certitude absolue de leur véracité. De plus nous sommes certains qu’elles sont véridiques où que nous soyons dans

même royaume. • Les tensions montent et, à la fin du xvie siècle, les guerres de religions éclatent. Elles prennent plusieurs formes : intolérance religieuse (les bûchers de sorciers, les condamnations à mort de personnes contestant tel ou tel dogme n'ont jamais été aussi nombreux) ; iconoclasme (destruction d'œuvres d'art religieuses par les protestants s'opposant au culte des images de l'Église catholique) ; conflits armés et massacres, comme celui des protestants à Paris la nuit de la

par la séparation juridique. La liberté de culte permet à toutes les religions l’extériorisation, l’association et la poursuite en commun de buts spirituels. Ainsi comprise, elle s’interdit toute approche anti-religieuse. Pas plus qu’il ne défend un dogme religieux, l’Etat laïque ne promeut une conviction athée ou agnostique. De même, le spirituel et le religieux doivent s’interdire toute emprise sur l’Etat et renoncer à leur dimension politique. La laïcité est incompatible avec toute conception de