Dogme

l'enfer ? A partir du XVIIème siècle, la philosophie a souligné l'impossibilité de rapprocher la raison de la religion, c'est-à-dire, d'un ensemble de croyances et de rites. Ainsi, Pascal affirme que la foi, c'est-à-dire une croyance ferme en un dogme, est une de « ces vérités du coeurs » inaccessibles aux exigences de la raison. De même, il n'y a pas pour Kant de connaissance possible de Dieu. On ne peut apporter de preuve de son existence. Il faut distinguer ce qui procède de la raison et peut

politiques de l'état.D'une part, L'individu doit être capable de penser avant tout par lui-même, de faire confiance à son jugement, sans l'intercession du spirituel. D'autre part, L'indépendance des pouvoirs executif, judiciaire, et législatif est un dogme politique pour lequel des milliers de personnes sont mortes et qui est un des fondement des démocraties moderne. La laicisation de la société a aussi pour but, de mettre sur un pied d'égalité toutes les religions et donc à fortiori, tous les hommes

pensée scientifique et technique, les musulmans y ont excellé, tout héritage venu d'ailleurs (de la Grèce, de Byzance, de la Chine, de l'Inde, de Rome, de la Russie) étant accessible et jugé profitable. La simplicité et la relative rationalité du dogme musulman lèvent les obstacles dogmatiques que l'on trouve dans d'autres traditions religieuses. À l'évidence, « l'attitude atomistique envers l'existence affecte la vie [sociale et politique] en bien des façons » (B. Lewis) : urbanisation, architecture

progrès de la réforme protestante. Mais dès le début de la réunion, deux tendances s’affrontent : celle de Charles Quint, soucieux de se concilier les protestants, entendait privilégier les réformes disciplinaires et passer rapidement sur les points du dogme qui faisaient problème (la grâce, le libre-arbitre, la justification, les sacrements, etc.). Le pape voulait au contraire commencer par une condamnation des erreurs des protestants et marquer nettement les différences dogmatiques avec la réforme.


Démythification : ôter à quelqu'un ou à quelque chose son coté mythique (pour le faire rentrer dans la norme) 
dialectique : art de la discussion, du dialogue, de la rhétorique 
diatribe : critique amère et virulente
 
dogmatique : qui concerne le dogme (principe établi, enseignement reçu et servant de règle de croyance, de fondement à une doctrine) 
empathie : identification affective à une personne ou à une chose
 
éponyme : personnage qui donne son titre à une œuvre 
esprit critique : esprit

disant donc que la religion naturelle empêche le citoyen de commettre des crimes puisque prônant un Dieu de paix et que le Christianisme au contraire poussera le citoyen aux meurtres et à la guerre au nom factice de Dieu et impliquant donc que le dogme permet la manipulation de la foi. « La même chanson sert pour les mariages et les naissances, ainsi que pour les meurtres » l.9 : la chanson opère une condensation elle est un raccourci drastique de la vie humaine dans le sens où elle met au même

est, chez les catholiques une exclusion de la communauté chrétienne et de la communion ecclésiale. Cette sanction, ne peut être prononcer que par un évêque, et seulement pour de très sérieux motifs. L'excommunication exclus l'individu réprimendé du dogme religieu, il ne peut être racheté par la prière. Canon 9 : " Si un prêtre ou un diacre a commis un crime capital, qu'il soit chassé et de son office et de la communion ". A ce moment précis le clercs est exclu de la communauté chrétienne et ne peut

manière surprenante.» (Cahier Bleu, page 89, paragraphe 3) On peut voir dans cette citation que les croyances se basent plutôt sur les sentiments du cœur que sur la raison. Méthode 2 : Il s’appuie sur la foi en une vérité révélée (qui constitue le dogme) dont l’origine sacrée fait autorité. Ceci veut dire qu’une affirmation qui s’appuie sur la foi en une vérité qui révèle quelque chose venant d’une source sacrée ne peut être justifiée, car cette chose est incontestable et indiscutable. «La défense

poser des problèmes éthiques basés sur des jugements injustes et non objectifs. Une solution viable serait l’établissement et le respect de normes universelles et objectives qui répondraient au bien-être des humains sans toutefois édifier un nouveau dogme religieux ou philosophique. Psychologie La troisième et dernière discipline exploitée est la psychologie qui est essentiellement la dimension personnelle de toutes les causes et conséquences nommées dans les deux autres disciplines. La première

religion civile qui garantit l’amour des lois, c’est parce que la religion, dans sa dimension spirituelle, peut être source de conflits et de divisions. II/ La religion comme cause de divisions (guerres et conflits) 1/ le fanatisme Le seul dogme négatif de la religion civile de Rousseau, c’est la condamnation de l’intolérance. L’Empire romain a connu une grande expansion parce que justement il était très tolérant à l’égard des autres religions. La tolérance = le garant de la paix et du développement