Dogme

l’Espagne et l’Italie sont condamnés ; or, le Créateur d’un tel ordre ne peut être aussi barbare, et donc le dogme de la Révélation tombe par terre. Les dogmes sont donc des ferments d’intolérance, car la religion révélée n’accepte pas les autres ! Le problème est identique pour le salut éternel. On n’est sauvé que si l’on accorde foi aux autres dogmes de la vraie religion (et notamment au dogme de la révélation). S’il n’y a qu’une seule vraie religion, l’Asie, le nouveau monde et l’Afrique (mal connue)

élaboré sur presque toute l'étendue de l'ère du Christianisme, c'est pendant les 150 dernières années que le malin a échaffaudé son détournement de culte... [pic]Il faut donc considérer comme une falsification grave tout ajout aux Ecritures et tout dogme concernant implicitement tout ce qui est marial comme ;   - la virginité perpétuelle de Marie : Alors que la Bible dit : [pic]" [...] Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle ait enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus ". (Mat 1/25)

comment dans le même temps ce même mortel peut être le Dieu Absolu qui ne meurt pas ? Ceci est un problème auquel nos prêtres veulent nous faire croire et que nous devons tout simplement accepter sans même avoir la possibilité de mettre en doute ce dogme inconcevable. » Puis il continua en disant : - 11 - - « Le fait est que lorsque Dieu, que nous croyons être Un, est Un de manière absolue, cela signifie que Dieu est Un dans l’essence naturelle de Son existence, dépourvu de tout élément différent

le rapport communautaire à une forme de transcendance se retrouve dans le fonctionnement d'une organisation totalitaire, de part le caractère surnaturel, immanent qui la représente. L'adulation de masse pour le personnage déifié qui représente le dogme du système est alors un élément principal qui permet d'affirmer que le rôle totalitaire repose sur des besoins que l'Homme comblait autrefois avec la foi religieuse. Dans un contexte contemporain ou la pratique religieuse tend à s'épuiser dans les

curiosité/points d’intérêt | Organe symbolique | Religion (théologie) | Système (idéologie) | Modèles (iconologie) | Notoriété (suivi quantitatif) | Classe spirituelle (détentrice du sacré social) | Eglise (prophète et clergés)Le sacré social : le dogme | Intelligentsia laïque (professeurs et docteurs) le sacré social : la connaissance | Médias (diffuseurs et producteurs) le sacré social : l’information | Collectivités ou virtuelles ou réseaux (fans, membres, followers, tribus, etc.) | Moteur d’obédience

unifiée. Quand on parle de LA religion grecque, on omet les spécificités de chaque cité qui agit comme elle le souhaite. Certains attributs des dieux sont valorisés dans une cité et non dans une autre… Il n’y a pas d’homogénéité. 6. Il n’y a pas de dogme de foi dont on aurait imposé et surveillé l’observance. 7. Le question de la création du monde diffère elle aussi : elle est peu importance dans la religion grecque, à l’inverse de la religion juive et chrétienne où ce processus est révélé dans

qu’elles soient : les mouvements évangélistes, l’Islam, le bouddhisme, etc. Les époques les plus in sécurisantes sont les plus prometteuses pour les religions. En promettant un monde meilleur dans l'au-delà, avec pour seule condition de se plier au dogme, le croyant est conditionné à subir les pires injustices ici-bas. S'agenouiller ou se prosterner devant quelque chose dont on ne pourra jamais prouver l'existence, est indigne de l'homme.. En cela, la religion déresponsabilise l'homme. Le peuple est

tribunaux du Saint-Office vérifient à leur manière cette loi biologique. Ils brûlent les gens en vertu de rêveries aussi mal fondées que les décisions des aveugles sur les couleurs. Voltaire installe le Saint1 Office dans la religion indienne ; le dogme dont il s’agit est que pour faire son salut il convient de tenir en mourant une vache par la queue. Au lecteur de chercher l’application – ce qui n’était pas fort difficile l’année où le chevalier de La Barre fut décapité pour crime d’impiété.

1) Les lumières mettent en question la religion car pour penser par soi-même et de ce fait, défendre leur idéologie, il faut d’abord disposer d’une entière liberté d’examiner, de questionner, de critiquer, de mettre en doute : plus aucun dogme ni aucune institution n’est sacré. Cependant, La tutelle sous laquelle vivaient les hommes avant les Lumières était, en tout premier lieu, de nature religieuse ; c’est aux institutions religieuses que vont s’adresser les critiques les plus nombreuses

rien pour l’un comme pour l’autre, une source d’égarement. Ce qui | |signifiait également que leurs poitrines demeuraient encore bien large sur le sujet auquel cas, cela voulait dire qu'ils différaient sur des | |choses qui touchaient au Dogme [Al 'Aquida] à l’exemple de genre de question : « est-ce le Prophète - prière et salut sur lui – a réellement vu| |son Seigneur de ses propres yeux ou ne l’a pas vu ? » ou « quant au supplice dans la tombe, est-ce le corps et l’âme qui le subiront