Doha

Ecole Nationale de Commerce et de Gestion – Kénitra - Méthodologie de recherche La flexibilité : « Cas de l’entreprise Peugeot » Réalisé par : Soukayna HADDAJ Narjiss AGOUJIL Nada ESSAOUFI Doha GHAZI Bouchraya SIDIMOHAMED Saad BOUMAIT Encadré par : Prof. BENABDELHADI La flexibilité est une politique de gestion des moyens de production pour s’adapter aux fluctuations rapides de la demande et de l’environnement. Cette flexibilité est une des composantes de sa réactivité industrielle

émergents ont fait remarquer que des obstacles techniques subsistaient à leur développement. Ces obstacles sont beaucoup plus importants depuis la libéralisation du marché à l’échelle mondiale. Les pays en développement ont demandé par le programme de Doha en 2001, des règles pouvant favoriser leur développement. La rupture n’existe pas seulement entre pays développés et pays en voie de développement, les contentieux peuvent naitre sur la qualité des produits mis dans le commerce, c’est ainsi que l’ORD

et un certain consensus sur l’adoption de ce traité par les pays signataires, certains pays ne se sont pas engagés ou se sont retirés du protocole de Kyoto. En effet, le protocole a été remis en question même s'il a été reconduit lors du sommet de Doha en Décembre 2012, où une seconde période d'engagement a été fixée du 1er Décembre 2013 au 31 Décembre 2020. Plusieurs critiques sont adressées sur la façon dont les objectifs du protocole sont menés, notamment sur les sanctions face non respect de

représentants de Hong Kong ont informé le Conseil général de l’Organisation que le territoire avait déposé son instrument d’acceptation du Protocole concernant l’Accord auprès du Secrétariat de l’OMC le 8 décembre. Les premières années, de Singapour à Doha La facilitation des échanges est devenue un sujet de discussion à l'OMC lors de la Conférence ministérielle de Singapour tenue en décembre 1996 (C'était la première Conférence depuis l'entrée en activité de l'OMC le 1er janvier 1995), les Membres

GUERRE EN IRAK par le commandement américain qui exerce l’autorité en matière d’accréditations et de violations de règles sur le terrain. L’accréditation des journalistes Installé à la base militaire d’Al-Sayliya à une quinzaine de kilomètres de Doha la capitale du Qatar – au début de la guerr –, le Centcom (Central e Command) accrédite les correspondants de guerre et donne les nouvelles de guerre. Chaque jour, des conférences de presse (briefings) sont organisées par le centre des médias de la

régulation ( Les grandes instances internationales de régulation comme l'OMC connaissent depuis quelques années des échecs récurrents dans la mise en œuvre de nouvelles normes de régulation : Seattle en 1999, Cancun en 2003, suspension du cycle de Doha en août 2006, etc. ( L'internationalisation des échanges, le développement des firmes transnationales l'existence d'institutions internationales posent le problème de la souveraineté nationale dans l'espace mondial. En effet, les politiques nationales

ces dernières de soumissionner pour de grands projets de construction et de transports publics aux États-Unis. - Raviver la flamme multilatérale : le TTIP comme contrepoids économique et géopolitique : Après l’échec du cycle des négociations de Doha menée par l’OMC , ce nouvel accord vient sanctuariser la politique commerciale américaine. La création du TTIP succède à l’ALENA . Les USA sont également engagés depuis 2011 dans la négociation d’un accord commercial de même envergure avec "Trans-Pacific

primordiaux tout comme la production afin qu’une croissance économique est lieu. Figer les flux n’est pas une solution et adopter un plan protectionniste peut amener à long terme un fossé vers une économie croissante. Il faudrait se pencher sur le cycle de Doha, pour penser à une prochaine remontée. Cette ronde de négociations porte sur la libération du commerce international.

progressive des barrières protectionnistes pour favoriser la croissance mondiale sans nuire aux industries naissantes ou en difficultés. Après l’échec de la conférence de Seattle (1999), L'OMC a lancé un nouveau cycle de négociations (Conférence de Doha de 2001). I. Instruments protectionnistes On classe les instruments protectionnistes en deux grandes catégories : les droits de douane et les nouveaux instruments protectionnistes (ou instruments non-tarifaires). Cette dernière catégorie regroupe

dès lors que les raisons dépassent ce principe de précaution. C'est l'idée de l'agriculture "durable", qui nécessite un respect par les producteurs d'un ensemble de conditions sociales et environnementales, relevant d'un choix politique. Le cycle de Doha a ainsi permis de niveler certaines pratiques à l'échelle internationale pour déréguler certains marchés. Cependant de nombreux pays, et pas seulement ceux qui composent l'Union Européenne, utilisent des barrières tarifaires ou non-tarifaires. Les