Doha

persistent tel que la présence de barrières. Par exemple, les normes iso: si les pays sous développés ou en développement veulent vendre des biens aux pays industrialisés il faut que ces biens réponde à des normes iso. De plus, échec du cycle de Doha: les USA, L'Europe, la Chine et l'Inde ne sont pas parvenus à s'entendre sur les importations agricoles et les tarifs douaniers... Par ailleurs, le FMI a pour rôle de de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi

le 11 février 2008 NOTE DE SYNTHESE ------------------ ACCORDS DE PARTENARIAT ECONOMIQUE THEME : « LES APE : UNE CHANCE OU UN RISQUE POUR LA COTE D’IVOIRE » Problématique Le cycle de négociations commerciales de l’OMC (dit de Doha pour le développement) est dans l’impasse. Ces négociations avaient pour objectif affiché de rendre le commerce plus juste ; elles ont été bloquées par les Etats-Unis et l’Union Européenne (UE) qui ne souhaitaient pas corriger les règles biaisées et

difficultés de l’OMC sont liées aux fortes divergences entre les Etats Membres. Chacun d’entre eux peut agir et utiliser son véto pour s’opposer lors des accords. C’est ce qui explique l’immobilisme de l’OMC : il a fallu 12 ans pour que les négociations de Doha aboutissent à un accord à Bali, qui sera finalement d’une portée limitée. Pour Sébastien JEAN mettre d’accord les presque 160 membres de l’OMC relève du tour de force même sur des sujets secondaires. Il devient donc important qu’un groupe de pays

d'aider les gouvernements à régler leurs différends commerciaux et d'assister les exportateurs, les importateurs, et les producteurs de marchandises et de services dans leurs activités. Depuis 2001, le cycle de négociation mené par l'OMC est le Cycle de Doha[3]. Bien que l'OMC ne soit pas une agence spécialisée de l'ONU, elle entretient des liens avec cette dernière[4]. Le siège de l'OMC est au Centre William Rappard, à Genève. Le 26 mai 2005, le Français Pascal Lamy obtient le poste de directeur général

économique et monétaire . b) Une remise en cause de la souveraineté économique et des frontières. - Par les organisations internationales. Les enjeux des négociations de tarifs douaniers à l'OMC.Les pays du tiers monde dénoncent souvent ( Seattle 1998- Doha 2001). la mise en place de tarifs qui leurs sont défavorables. C'est un commissaire européen qui négocie les traités commerciaux internationaux aux sommet de l'OMC. On a donc ici un transfert de compétences. - Par les entreprises transnationales. -

économistes défendent très majoritairement le libre-échange, il est régulièrement critiqué par la société civile, et malgré la baisse des tarifs douaniers, les barrières protectionnistes subsistent sous d’autres formes. Les négociations du cycle de Doha continuent de piétiner, relevant plus que jamais des différends Nord-Sud. Dans ce contexte, de plus en plus de pays recourent aux accords préférentiels régionaux pour pallier les carences du multilatéralisme. Ce tableau sombre ne doit toutefois pas

«  la seule frontière que trace l’UE est celle de la démocratie et des droits de l’Homme »   1993 nouvelles frontières de l’Europe sont celles des droits de l’homme Nouvelles frontières  technologiques :cf Internet, santé malgré génériques depuis Doha ,pauvreté .Emergence d’une world class , une ère des nomades décrites par J Attali ,avec ses branchés , ses technodépendants , ses détenteurs de pouvoirs , ses bénéficiaires … et les autres . Conclusion : « La dynamique de l’interdépendance serait

France et l’Allemagne. Il s’ensuit que l’Europe ne peut pas se positionner et trouver sa place dans le monde. Chaque pays européen défend ses intérêts propres, comme la controverse sur le démantèlement de la PAC le montre : dans le cadre du cycle de Doha, la Grande-Bretagne veut bien négocier le « chèque britannique » si la PAC est réformée et la France refuse catégoriquement le démantèlement de la PAC et en appelle à la générosité britannique pour financer le budget européen. La voie de l’Europe unifiée

fait que l’APC devra s’adapter au Programme de développement pour l’après‑2015 et à ses objectifs de développement durable (ODD). L’enjeu est à présent de convenir d’un programme de travail qui puisse servir de tremplin à la conclusion du Programme de Doha pour le développement. Les recherches laissent à penser que la conclusion d’un accord de fond pourrait favoriser les progrès vers la réalisation des ODD et être considérée comme un acompte sur le financement du Programme de développement pour l’après‑2015

pays donné est consenti à tous les pays membres, traitement national (mêmes règles pour les produits importés et pour les produits fabriqués localement) transparence des règles la libéralisation permanente par la négociation (actuellement cycle de DOHA initié en novembre 2001, qui est toujours en cours). Mais, il y a des exceptions pour la Santé Publique. « Principe général dans les accords de l’OMC : aucune mesure de libéralisation des flux de commerce ou de biens, de services ou des droits