Doit On Distinguer De Bons Ou De Mauvais Désirs

CORRECTION DE LA DISSERTATION Accomplir tous ses désirs, est-ce une bonne règle de vie ? Introduction L’homme est un être de désir : il désire ce qu’il n’a pas, ce qu’il n’est pas, et qu’il se représente comme objet de satisfaction. Mais il est aussi un être de devoir, qui s’impose des règles à suivre pour ne pas déroger à sa dignité d’homme. On pourrait alors croire que son devoir lui prescrit d’accomplir, au sens de satisfaire, tous ses désirs : si le désir est manque, souffrance, aspiration

conditionnement?  la conscience morale n'est elle que le résultat de l'éducation ?  l'éducation est-elle suffisante pour qu'apparaisse la conscience morale ?  Quel est le sens de l'expression : " science sans conscience n'est que ruine de l'ame" ?  Doit-on dire que sans la societe la conscience humaine ne s'eveillerait pas ?  Notre conscience est-elle révélée ou trahie par notre expression corporelle ?  La conscience de soi implique t'elle la connaissance de soi ?  La conscience de soi est-elle

un être qui ne semble pas posséder cette conscience est un être mauvais ou non. La première question que nous pouvons alors nous poser est de savoir quelle est l’origine du bien et du mal. Un animal fait du mal, mais il n’est pas mauvais pour autant. Il n’a pas conscience de ce qu’il fait, c’est-à-dire qu’il n’a pas la connaissance de sa propre réalité et ne peut ainsi la juger. La conscience est donc ce qui distingue l’homme de l’animal et lui permet de fonder une responsabilité morale

différences individuelles; l’immobilité est préférable au mouvement, ce qui implique aussi l’Acte comme étant supérieur au changement; le plaisir issu d’une vertu est meilleur que celui venant d’un intérêt individuel; la Mesure (ou la « juste moyenne ») doit prévaloir sur les excès ou le manque; C’est en partant de ce constat qu’il est possible d’effectuer une comparaison valide entre la conception que se fait Aristote de l’être humain et celle que nous nous faisons actuellement aujourd’hui, en Amérique

est merveilleux (brillant, illusoire ?) 2° il est absent : le désir est manque Or, nous vivons à travers une continuelle projection dans nos désirs, dans le sens où nous sommes sans cesse jetés à la poursuite de leur satisfaction, mais quels sont ces objets que nous poursuivons ? Ne faut-il pas distinguer entre LE désir (la faculté de désirer) et LES désirs (les objets du désir)? Et quel sens et quelle valeur faut-il accorder au désir ? I/ Les obscurs objets du désir.     Trivialement, nous pourrions

seul bien est ainsi le plaisir. Le paragraphe 10 que nous étudions évoque clairement l'intention de l'auteur qui nous invite à distinguer les avantages et les inconvénients d'un désir afin de choisir les bons et refuser les mauvais, car ce sont ceux là qui font de nous des êtres malheureux à la recherche de plaisirs toujours plus luxurieux. Nous devons ainsi faire les bons choix pour parvenir à une > . Par conséquent, faut il rechercher tous les plaisirs ? Epicure nous répond que non. Au contraire

aujourd'hui la volonté. La volonté est cette faculté qui, éclairée par la raison, donne toute sa puissance au désir légitime et s'oppose de toutes ses forces au désir qui ne l'est pas. - Le nihilisme : Cette volonté de traiter raisonnablement ses désirs ne doit pas être confondue avec les diverses formes de renoncement gratuit, de sacrifice pour le sacrifice, que Nietzsche désigne sous le nom de nihilisme. La morale occidentale, selon lui, s'est singularisée tout au long de son histoire, par un culte

conscience de ses contradictions et de ses ignorances. Il ne peut alors absolument pas refuser la conclusion de l’examen puisque c’est lui qui se contredit lui-même. Cependant, il ne peut y avoir de conclusion que si l’autre joue le jeu : il doit dire ce qu’il pense, ne doit pas changer d’avis et tenir sa place jusqu’au bout. Pourtant il n’y a pas de conclusion dans le Gorgias puisque Calliclès quitte la discussion. A la fin du dialogue, les 3 interlocuteurs pensent la même chose qu’au début. Enfin

Nos désirs sont-ils toujours ceux des autres ? INTRODUCTION Nos désirs relèvent-ils d'une expérience personnelle ou sont-ils le résultat d'influences externes ou des aspirations des autres? Il faut préciser tout d'abord que le désir est propre à l'homme. Il désigne d'abord un manque par rapport à un objet imaginé ou rél et qui doit être source de satisfaction. Il se distingue du besoin dans la mesure où il n'est pas lié à une nécessité vitale. Désirer, c'est ressentir un manque. Le désir

la raison, Nietzsche l’appelle la volonté de puissance. La volonté de puissance est une force conquérante et dominatrice, qui sous sa forme la plus haute, consiste à créer et à donner forme à un monde. Par conséquent, pour cette volonté, le possible doit donner lieu à une exploration : tout monde est également ce monde voulu par un sujet et auquel sa volonté de puissance s’affronte, traversée par une force de création destructrice. Le désir d’impossible n’est donc qu’un élément d’une rhétorique permettant