Dom Juan Acte V Scène 2

Définition du mot théâtre : -Construction ou salle destinée aux spectacles se rattachant à l’art dramatique. -Petite scène où l’on donne un spectacle sans acteurs (théâtre de marionnettes). -Entreprise de spectacles dramatiques. -Aménagement artistique d’un parc (théâtre de verdure). -Le cadre, le lieu où se passe un événement. -Art visant à représenter devant un public une suite d’événements où des êtres humains agissent et parlent. Genre littéraire : Un genre théâtral est le résultat d'une

défauts, cf  Tartuffe, Les Précieuses ridicules, Le Bourgeois gentilhomme, L’Avare de Molière) -comédies de mœurs (dénonce vice sociétés cf Les femmes savantes de Molière, traitant de l’éducation des femmes) -grandes comédies (a intension morale : Dom Juan) BUT rôle social = fonction ludique plaire et instruire (théâtre divertissement a la base), fonction morale (corrige mœurs par le rire = castigat ridendo mores), critique (dénonce ses cibles par satire) FONCTION CRITIQUE EX liberté de l'auteur

Ange Maxime SOMMAIRE Lecture Méthodique Données méthodologiques ……………………………………page 2 Étude des œuvres ……………………………………..page 4 Œuvre 1 : L’aventure ambiguë, roman …………………………………page 7 Œuvre 2 Les rayons et les ombres ………………………………..page 16 Le groupement de textes théâtraux

nombreux vers. Ainsi Madame Pernelle accuse « visites », « bals », « conversations » d'être « du malin esprit toutes inventions» (v. 152). Selon les propos de Tartuffe, les vêtements et les accessoires des femmes sont assimilables aux « parures du diable» (v. 210). La croyance au diable va jusqu'à se faire ressentir à travers le lexique: dans l'exclamation de Dorine (v. 767), « Diantre soit fait de vous si je le veux!», « diantre », déformation de « diable» relève d'une imprécation sur le point d'être

comique de caractère. Exemples : -Agressivité de Mme Pernelle(Acte I , scène 1) -Insolence et franc-parler de Dorine(Acte II , scène 2) -Hypocrisie de Tartuffe(Acte III , scène 4)

Dom Juan, acte v, scènes 5 et 6 I) Un dénouement spectaculaire et baroque 1) Utilisation d’ »effets spéciaux » qui font appel à des machines Goût de l’époque pour les machines (voir cours sur la mode des pièces à machines) qui est une expression de la sensibilité baroque. 2) Utilisation d’éléments surnaturels : le spectre qui se transforme (d’abord femme, prend l’apparence de la mort), puis une statue animée et douée de parole. 3) Des thèmes baroques : la transformation, l’impermanence, et

composant de nombreuses comédies de caractère visant à dénoncer, par le rire, des comportements humains. Le comique moliéresque a traversé les siècles : certains de ses personnages sont devenus des archétypes, ses pièces sont très souvent mises en scène et il tient une place majeure dans l’enseignement actuel. Le Tartuffe ou l’Imposteur est une comédie en cinq actes (comportant respectivement 5, 4, 7, 8 et 7 scènes) et en vers (1962 alexandrins) de Molière représentée pour la première fois au château

femmes La Jalousie du Gros-René La Critique de l'école des femmes L'Impromptu de Versailles Le Mariage forcé La Princesse d'Élide Tartuffe Dom Juan L'Amour médecin Le Misanthrope Le Médecin malgré lui Pastorale comique Le Sicilien ou l'Amour peintre Amphitryon Les Fourberies de Scapi Les Femmes savantes Le Malade imaginaire Résumé : Ecole des femmes : Acte I Scène 1 : Chrysalde / Arnolphe C’est l’histoire de deux amis qui discutent. L’un, Chrysalde préfère les femmes intelligentes et belles et l’autre

Hypocrites de Scarron, Les Provinciales de Pascal. L’hypocrite est par définition un personnage théâtral. En le mettant sur scène, Molière n’a qu’à forcer le trait d’un acteur né, tout en ostentation, et à transposer sur scène le masque qu’il porte déjà dans le monde. Orgon raconte sa rencontre à l’église avec un Tartuffe qui feint l’humilité. Plus tard, on voit apparaître sur scène un Tartuffe qui, apercevant Dorine, ordonne à son valet de resserrer sa discipline (ostentation d’une mortification du corps

délibérer, l’apologue Problématique : quels genres au service de l’argumentation ? Groupement de textes, étudiés en lecture analytique : 1. La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, (1668), Livre I , fable 5. 2. Marivaux, La Colonie (1750), scène 9 (extrait) « On nous traite de charmantes… », depuis « Arthénice : Venons-en à l’esprit… » jusqu’à « …notre coquetterie même est un prodige ». 3. Voltaire, Candide ou l’Optimisme (1759), Chapitre XIX, « Ce qui leur arriva à Surinam »