Dom Juan Transgression

National de Strasbourg Mary Stuart de Friedrich Schiller, mise en scène de Stuart Seide, du 12 au 28 janvier 2011 Ciseaux, papier, caillou de Daniel Keene, mise en scène de Daniel Jeanneteau et Marie-Christine Soma, du 14 au 22 janvier 2011 Dom Juan de Molière, mise en scène de Julie Brochen, du 8 mars au 18 avril 2011 Pôle Sud Sho-Bo-Gen-Zo, , Josef Nadj, Cécile Loyer, Joëlle Léandre et Akosh S., les 1er, 2, 3 et 4 février 25 ue1 langues vivantes étrangères coef. 1 — ects 3 un module

poèmes) ; Les Peintres cubistes, méditations esthétiques, 1913 ; Le Poète assassiné, 1916 ; Calligrammes, 1918, (poésie) ; Les Mamelles de Tirésias, 1917(théâtre) ; Les Onze mille verges, Mirely ou le petit trou pas cher, Les Mémoires d’un jeune dom juan 1907 (roman érotique).Apollinaire présence une personnalité multiple :André breton dit de lui qu’il est « le lyrisme personnellement ».Son œuvre est à la fois expression personnelle et exaltation verbale(mélancolie,motif de l’envol de l’inflammation

com/fr/2010-2011/amphitryon. ‹ Molière, Dom Juan, ⁄66∞  p. ⁄⁄·-⁄¤⁄ Objectifs : Analyser une autre pièce baroque de Molière, écrite dans les mêmes années qu’Amphitryon, à un moment où le dramaturge cherche à renflouer les caisses de sa compagnie avec des pièces à machines et à grand spectacle. Il s’agit de montrer que l’esthétique classique n’avait pas supplanté totalement l’esthétique baroque et permettait des écarts par rapport aux règles. Le personnage de Dom Juan est ici envisagé sous le masque

Indochine, . . . . . . . . . . . . . où . . . .la . . .rencontre . . . . . . . . . . . . entre .......... une . . . . .Européenne . . . . . . . . . . . . . . . et . . . un . . . .Asiatique . . . . . . . . . . . . créée . . . . . . . une . . . . . transgression . . . . . . . . . . . . . . . . . .des . . . . règles. ............................................................................ – Argument 2 : elle peut donner une vision idéalisée du monde. Exemple : La . . . .Princesse . . . . . . . . .

poésie, notamment burlesque (D'Assoucy, Saint-Amant), soit dans le roman, satirique (Sorel, ‘’Francion’’, 1626) ou de fiction philosophique critique (Cyrano de Bergerac, ‘’L'autre monde’’, 1657). Molière semble en avoir été influencé, son Don Juan (‘’Dom Juan’’, 1665) étant un «athée foudroyé», censure obligeant, car, sous Louis XIV, le libertinage fut combattu, et se fit décent. Quelques figures aristocratiques (Bussy-Rabutin, Saint-Évremond) qui en entretenaient la tradition littéraire se virent

com/fr/2010-2011/amphitryon. ‹ Molière, Dom Juan, ⁄66∞  p. ⁄⁄·-⁄¤⁄ Objectifs : Analyser une autre pièce baroque de Molière, écrite dans les mêmes années qu’Amphitryon, à un moment où le dramaturge cherche à renflouer les caisses de sa compagnie avec des pièces à machines et à grand spectacle. Il s’agit de montrer que l’esthétique classique n’avait pas supplanté totalement l’esthétique baroque et permettait des écarts par rapport aux règles. Le personnage de Dom Juan est ici envisagé sous le masque

formule frappante qui réalise un effet de chute. De Du Bellay à Mallarmé, en passant par Baudelaire, le sonnet brille par la perfection de sa forme, et constitue le genre poétique noble par excellence. Mais qui dit contrainte, dit également transgression. Au fil du temps, les poètes, à l’ image du poète maudit Tristan Corbière, enfreignent les règles du sonnet. À l’aide de divers effets, on tente l’octosyllabe, le vers impair, les enjambements et les contre-rejets et autres licences poétiques,

parvenues. La période classique Le classicisme codifie le théâtre de manière très précise, reniant tout ce qui n’entrerait pas dans les régles. Ce qui donna lieu à la querelle du Cid en 1636 ( Corneille) mais aussi à un rejet de Tartuffe (1669) ou Dom Juan de Molière , pièce plus baroque que classique. Tout semble calculé pour ne pas heurter la cour . Règles du théâtre classique selon Boileau : Nicolas Boileau 1636-1711, Art poétique (chant III), les règles de la tragédie classique : Vos

le mythe de Faust et Dom Juan sont des premières figures de ce surhomme. Le poète de la Renaissance est au-dessus de nous, à mi-chemin entre le ciel et la terre. Il interprète les desseins de Dieu pour nous. Il ne connait pas de frustrations. Les chevaliers du Moyen-âge remettent de l’ordre dans le monde. Faust est le grand héros du mythe germanique. Il est parvenu à se rehausser jusqu’à Dieu. Il a fait un pacte avec le diable. Tout ses désirs amoureux sont réalisés. Dom Juan n’a pas de contraintes

par l‟italique, les capitales, la taille des caractères (plus rare), etc. l‟auditoire, les réactions étant partiellement mesurables et comparables Chez Molière déjà, les suggestions graphiques des variantes articulatoires des paysans (ex. Dom Juan, acte II : les marques verbales, on le voit bien dans cette pseudo-transcription, sont mêlées aux marques paraverbales (piquié pour pitié, mais un lexique et une syntaxe caractéristique). Nombreux exemples chez R. Queneau d‟un effort pour imiter