Domaine Intellectuel Et Artistique Humanisme

Français Le mouvement Humaniste I/ Pour commencer : 1. Définir le mot humanisme : L’Humanisme est un mouvement littéraire qui fut créé au 15ème siècle en Italie avec l’arrivée abondante de scientifique venant de Constantinople. Au 16ème siècle pendant que la guerre fait rage entre l’Italie et la France les idées humanistes et les arts de la Renaissance Italien s’étend jusqu’en Europe. L’Humanisme consiste à mettre en avant et croire en les qualités et valeurs de l’Homme. Les Humaniste

émane de l'Evangile. Les Jésuites (un des ordres écclésiastiques) chez qui se recrutent les confesseurs des rois : sont les gardiens d'une tradition qui s'opposent à l'esprit nouveau se querellent avec les philosophes (Voltaire) animant la vie intellectuelle sont en conflit avec les Jansénistes plus ouverts au renouvellement de la pensée Le catholicisme, religion d'Etat conduit à l'exclusion des protesants l'élimination de ceux qui affichent leur incroyance sont condamnés à mort (Chevalier

infinie. L’idée que la poésie est un langage divin remonte dans la nuit des temps ; elle est considérée comme le premier mode d’expression des pionniers de l’écriture en particulier, des génies littéraires en général dès l’origine de la création artistique. Le mot y est alors figure. Le vers, dit-on, a précédé la prose. La poésie est prophétique et a généré la théologie païenne, la philosophie et les lois. La métaphore, dans le langage des premiers hommes, occupe une place majeure, bien plus que les

classique. Le XVIIIe siècle est tout à fait contraire : c’est une période de « mouvement » qui finit par une crise violente. Un nouveau système politique s’instaure, provocant un changement social et moral au même temps. Tout cela, avec une révolution intellectuelle, aboutit à la Révolution Française. Quant à la littérature, l’idéal classique laisse sa place au préromantisme et les idées des auteurs vont étroitement liées à celles de la Révolution. 2.1. Histoire La grandeur du règne de Louis

19 p. 25 3 I Quels attendus ? Apparent consensus. L’opinion française, dans sa majorité, approuve l’idée de renforcer l’étude du religieux dans l’École publique. Et pas seulement pour cause d’actualité traumatisante ou de mode intellectuelle. Dès les années 1980-1990, débouchant sur le rapport du recteur Joutard de 1989, les raisons de fond ont été maintes fois et sous divers angles développées qui militent, en profondeur, pour une approche raisonnée des religions comme faits de civilisation

Avant l’intervention de Vésale dans le domaine de la médecine, comme cité précédemment, les dissections étaient rares et les dessins, provenant de Galien, comportaient plusieurs lacunes, d’autant plus qu’ils ont été recopiés mainte reprises par des étudiants. Par ailleurs, ces dessins étaient réalisé en deux dimensions ce qui enlevait énormément à la précision mais, plus encore, ces mêmes dessins étaient réalisés par des artistes désirant amener un sens artistique au corps humain. Toutefois, les médecins

éditions du PUF par l’ influent professeur d’ université Charles-André Julien. Cet éminent professeur, nouvellement titulaire de la chaire d’ Histoire de la colonisation à la Sorbonne, jouissait d’ une grande notoriété dans le monde universitaire et intellectuel s’ intéressant aux questions ayant trait à l’ empire colonial français. Dans ses directives pour la conception de l’ Anthologie, le professeur Charles-André Julien suggéra à Senghor de retenir « quatre ou cinq jeunes poètes » parmi ceux qui affirmaient

1945 : « Une culture vivante suscite un type d'homme. Elle suppose des méthodes pour transmettre la connaissance et former la personnalité. Enfin, elle entraîne la création d'institutions éducatives. Ainsi la culture populaire a besoin d'un humanisme, d'une technique, d'une organisation propres - faute de quoi, elle risque de rester prisonnière d'un enseignement périmé. » Lors d'une réflexion sur la place de la culture, Joffre Dumazedier conceptualise la notion de « développement culturel

illettrés, sous-traité pour le travail manuel. Organisation d’une abbaye Cloître : centre de l’abbaye (carrefour) Eglise abbatiale : activité spirituelle Ecurie, cour : activité économique Scriptorium, salle capitulaire (salle de réunion) : activité intellectuelle Dortoirs, réfectoires : activité matérielle. C / La paroisse au centre de la vie quotidienne La vie s’organise autour d’un prêtre et d’une église. Les chrétiens forment une communauté appelée la paroisse. Le prêtre s’occupe du soin des âmes (c’est

voie maritime vers l’Asie permettant d’accéder à ces ressources. Ils sont aussi influencés par les nombreux récits qui évoquent la présence d’or en Afrique et en Asie. A cela s’ajoutent les découvertes scientifiques et techniques réalisées dans le domaine de la cartographie, de l’orientation et de la navigation, qui permettent des voyages plus lointains : gouvernail d’étambot, boussole sur pivot, perfectionnement de l’astrolabe, portulans, caravelles. Ces caravelles sont maniables, légères, rapides