Don Juan Respect Des Règles Classiques

Le théâtre est alors devenu un genre littéraire, et le dramaturge un créateur conscient de son art. De son côté, l'acteur (exclusivement masculin) acquiert un statut spécial, mais élevé, dans l'échelle sociale ; il n'a pourtant guère l'occasion de donner une impulsion personnelle à ce qu'il joue : il porte un masque à l'expression figée dans une grimace de douleur ou de rire, tandis que ses cothurnes, ses vêtements aux rembourrages voyants et une coiffure très en hauteur sont censés évoquer le gigantisme

ne me paraît plus une position moralement défendable. C’est l’évolution de ma réflexion à ce sujet que je voudrais partager avec vous ce soir. Dans notre quotidien, nous en faisons tous l’expérience, nous sommes tenus de nous plier à une série de règles. Je vous suggère de les classer en 4 catégories. 1. Les morales, comme celles que nous proposent d’anciennes sagesses, des religions, des philosophies, mais pas seulement elles 2. Les contrats, qui créent des obligations entre les parties

par exemple, endormissement de Bartholo pendant la leçon de piano, etc...) - collage (procédé facile et peu épuisant pour l'auteur) de chansons, de fandangos espagnols sur des airs empruntés au folklore - comique de personnage : des stéréotypes (Don Bazile, le faux dévot, l'homme de la défroque) - comique de situation : la confrontation des maîtres et valets, leitmotiv littéraire depuis Plaute (Titus Marcus Plaute, vers 250 à 184 avant notre ère, auteur de la Marmite, du Soldat fanfaron), jeux

français est des plus disparates aujourd’hui. Si chacun, dans la pratique, fait ce qui lui plaît, les programmes officiels mettent l’accent sur des exigences précises. On n’écrit pas comme on veut : la langue a ses règles comme nous le rappellent l’orthographe et la grammaire et leur respect permet de se comprendre. Ajoutons à la correction de la langue, la clarté de l’expression. On n’interprète pas un texte de n’importe quelle manière, là aussi, il conviendra de s’appuyer sur une méthode précise.

traitiez, mon parti est pris, j'aurai du moins le plaisir de vous aimer toute ma vie. » déclare le Prince durant l’acte II pour séduire la belle paysanne. Sous une apparente « liberté de choix », Silvia ne peut que se sentir aimer de cet homme qui la respecte, et qui lui jure un amour éternel. Ces bonnes manières ne peuvent que faire pencher Silvia vers un destin plus noble, et cette dernière n’y manquera pas puisqu’elle épousera le Prince et Arlequin se contentera d’une servante du palais. L’amour entre

« l’alchimie du verbe ». À 20 ans, il renoncera à toute forme de poésie. B Les principaux repères • Des poèmes de forme traditionnelle. Les vingt-deux poèmes des Cahiers de Douai sont de facture conventionnelle. Le lycéen brillant met en pratique les règles qu’il a apprises, recourant principalement à l’alexandrin et à l’octosyllabe, adoptant souvent la forme du sonnet. • L’héritage du romantisme. Rimbaud admire Victor Hugo et on entend l’écho du vers et de la sensibilité hugolienne dans « Le Forgeron » :

récapitule les différences entre les deux textes. À la maison pour mardi 16 septembre : lire Boitelle de Maupassant + recherche lexicale. Acheter La Dimension fantastique. S2 : Histoire et caractéristiques du genre (1 heure) Objectif : donner aux élèves quelques éléments historiques sur le genre de la nouvelle. Support : document dactylographié « Petite histoire de la nouvelle » Activités : - lecture du document et explication des éléments incompris. - énumération des caractéristiques

se réfèrent pas au même contexte ou ignorent l'identité de leur interlocuteur. Les personnages - bavards ou silencieux - rompent à tour de rôle, sciemment ou inconsciemment, toutes les règles assurant une communication efficace7 et les scènes deviennent souvent de véritables dialogues de sourds, source classique de comédie. Tout en nous montrant le pouvoir d'action de la parole, Hugo nous montre des situations où elle n'a pas l'effet voulu, voire l'effet contraire, et exploite ainsi la parole

inconnue dans une oreille amie – et discrète – nul besoin de mensonge, normalement. Alors, dans quel but falsifier la parole et les faits ? La pièce met en scène un quatuor, sur la trame « A aime B mais doit épouser C, qui aime D ». Ce canevas va donner lieu à un empilement de ruses, mises en place par les personnages pour parvenir à leurs fins, et connaître, dans ce but, les véritables mobiles et sentiments des autres. Si le ressort théâtral, et sa capacité à déclencher le rire, sont bien connus

quelques années dans les salons parisiens. Le mouvement qui se développe dans les salons parisiens ( chez Mlle de Scudéry, chez Mlle de Sablé et à l'hôtel de Rambouillet, dès 1608 ) est le fait d'une société noble et oisive qui cherche à se « donner du prix » en se différenciant du «  commun », du « banal », du « vulgaire ». Cependant, il faut se garder de deux erreurs fréquemment commises. 1) La Préciosité n'est pas une tendance ridicule même si c'est un courant dont les excès portent à sourire